IMPORTANT :
J'étais très très jeune lorsque j'ai écris cette fiction, ne la prenez donc pas à 100% au sérieux s'il vous plait.
Certains thèmes sont très lourd, je ne les traiterez pas de la même manière aujourd'hui mais essayez de garder à l'esprit que j'étais jeune et excusez moi d'avance pour certaines maladresses.
Vos retours, toujours d'actualité, me font énormément plaisir, merci du fond du coeur.
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La vrai définition de la dépression est: trouble mentale caractérisé par des épisodes de baisse d'humeur (tristesse) accompagnée d'une faible estime de sois et d'une perte de plaisir ou d'intérêt dans des activités habituellement ressenties comme agréables par l'individu. C'est ce que je vis depuis huis mois maintenant. Moi qui aimais sortir avec mes amis, faire du sport ou encore rire est devenu presque impossible du jour au lendemain. Il n'y a pas eu de raison particulière à cette dépression.
Au début je croyais que c'était juste de la fatigue, que ça passerait. J'étais triste, j'avais la flemme de tous. Mais les semaines suivantes, j'ai eu de moins en moins envie d'aller a l'école, de voir mes amis ou d'aller à mon entraînement de basket quotidien. Ma mère qui commençait à s'inquiéter m'a emmené chez un médecin spécialisé. Il a confirmé toutes ses craintes: sa fille traverse bien une dépression.
Et puis tous c'est enchaîné très vite. On m'a envoyé chez un psy, j'ai du prendre des médocs, ma mère a même pensé à m'envoyer dans un centre pour enfants dépressif. J'ai vraiment commencé à flipper. Je ne disais rien à la psy, je ne comprenais même pas pourquoi j'étais dans son bureau. Il n'y a pas eu de raison à ma dépression, qu'est-ce que je pouvais lui dire? Alors je lui mentais. Je me suis inventé des problèmes. Des faux amis, des faux ennemies. J'avais une sorte de double vie.
Les médicaments n'on jamais fait de réels effets, disons que c'est juste une excuse pour que les médecins puissent m'envoyer au lycée. Ça m'a fais tellement chier. Bien sûr je n'ai pas peu retourner dans mon ancien lycée, "c'est trop risqué" arrête pas de dire ma psy. Ma mère m'a donc inscrit dans une espèce de pension. Je dois y rester toute la semaine et je reviens pour le weekend. Et le pire dans tout ça, c'est que tout le monde va se connaître. Je sais comment ça se passe au lycée; t'es nouveau tant pis pour ta gueule, t'avais qu'à être là avant.
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Voilà le prologue j'espère que ça vous a plus :)
Je vais essayer de garder un rythme d'un chapitre par semaine et je posterais le premier chapitre dans quelques jours.