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Pvd Adams
Je passe ma main sur mon lit et me rend compte que je suis seule.Je me lève avec rapidité et pars dans la salle de bain,elle n'y est pas,je vais au salon,aucune trace d'elle.Je déglutit avec peine,elle est partie.
Je me sens blessé dans mon amour propre,mon égo en a pris un coup énorme.D'habitude c'est moi qui pars dès le matin ou je les chasse de mon lit.Cette femme est vraiment différente des autres .
Quand je l'ai vu apparaître à ce gala au bras de cet homme,j'ai vraiment cru que le monde s'effondrait.Je ne suis pas de nature jaloux,du moins je ne l'ai jamais été,mais je suis de nature possessif.
Elle était splendide dans cette robe qui dessinait son corps à la perfection,c'était la plus resplendissante,je pouvais lire toute la haine que lui lançait les autres femmes présentes.
Quel n'était pas ma joie lorsqu'elle accepta me suivre sans rechigner,j'étais contente qu'elle plaque son petit ami pour moi.Ce qui en a suivi n'était que désir passion et plaisir,je n'ai jamais ressenti ça auparavant.
Je suis allé la manquer chez elle le dimanche quand je me rendais dans la maison de mon père.Heureusement que je ne l'avais pas vu,j'aurais pu annulé cet entrevue familiale juste pour ces beaux yeux.Qu'est ce qui m'arrive ?rien de tout ça n'est normal,on m'as ensorcelé.
Le dîner en famille m'as fait plus de bien que je le pensais,ma sotte de Soeur n'as cessé de me casser les oreilles avec l'histoire de la belle pour qui je l'ai laissé poireauter seule au Gala.Elle voulait tout savoir.
Son manque de discrétion a fait parvenir l'histoire aux oreilles de mes géniteurs qui l'ont de suite rejoins dans la base de taquinerie.J'étais leurs cibles jusqu'à la fin du dîner mais je me suis pas ennuyé.
Je suis rentré chez moi en faisant la promesse à mon père de ne plus me laisser entraîner dans des soirées de folie me marquant négativement au vue de tous.

Apparemment cette Ilva NAWAL est une femme hors du commun,comment peut elle me proposé une relation sans lendemain?les femmes me supplient pour que je leurs mettent la bague au doigts,mais Ilva elle s'en fiche complètement de qui je suis,elle ne veut que du sexe.Cette femme m'intrigue,quel genre de personne est elle?J'avoue que je ne sais pas comment procéder avec elle.

Je me suis réveillé ce mardi matin avec l'envie de la voir,le vide qui opprime mon cœur et mon corps n'as qu'un nom « Ilva ».Je ne sais vraiment pas ce qui me prend tout d'un coup.
J'avance tout droit vers son bureau mais son assistante m'arrête.
-Bonjour Mr
-Oui!
-Mlle n'est pas encore là ,je lance un coup d'œil à la Rolex qui orne mon poignet,09h15.C'est étrange on m'as pourtant dit qu'elle est ponctuelle.Je ne tolèrerai une telle indiscipline dans mon entreprise.Elle se croit ou ici?même pas un mois et madame se comporte comme elle veut,on vas devoir mettre les pendules à l'heure.
-Qu'elle vienne dans mon bureau à la minute où elle se pointe dis je d'un ton sec en tournant les talons sans attendre la réponse.
-D'accord Mr.

15h45 et toujours pas de Ilva dans mon bureau,j'ai pensé à elle toute la journée.Ça m'agace qu'elle m'obsède autant.Je l'appelle mais je tombe sur son répondeur,j'essaye encore mais rien.Elle est sûrement entrain de passer du bon temps dans les bras de son petit ami.A cette pensée mon cœur se serre et une colère s'empare de moi.Je déserre ma cravate qui commence par m'étouffer,je m'approche vers la table basse et me sert un verre de whisky.Qu'est ce qui m'arrive?moi qui ne boit jamais au service,je suis entrain de partir en vrille à cause de cette sorcière,je dois me reprendre.Je recompose son numéro à nouveau et tombe encore sur son répondeur,s'en est trop.Je prends ma veste et sors presqu'en courant de l'entreprise.

J'ai conduit n'importe comment,je ne sais pas pourquoi mais j'ai comme l'impression qu'elle est en danger,nom de tout les pairs de fesses je deviens autre chose,je n'apprécie pas cela,pas du tout.
Je me gare devant chez elle,le gardien me salue poliment.
-Bonjour Mr
-Et ta patronne?
-Elle n'est pas sorti depuis hier
-Très bien ouvre moi,il s'empresse de m'ouvrir.
Ça fait plus de 15 secondes que je frappe mais personne ne réponds, je sens le danger.
J'enlève ma veste que je lance parterre,retrousse ma manche,fait trois pas en arrière.Je prends une grande inspiration et me lance,je reprends le mouvement trois fois,la porte cède en s'ouvrant me laissant choir parterre.Je n'eut pas le temps de me plaindre de la douleur que l'image étendue devant moi me laisse sans voix.
-ILVA ???criai je de toute mes forces

Une belle erreur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant