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Deux policiers armés jusqu'au dents viennent de pointer leurs armes sur mes ravisseurs,le sourire sur les lèvres de DUNCAN sénior,disparaît immédiatement,malgré ces protestations il fut menotté,alors que je souriais intérieurement tout en remerciant le seigneur,Mr GOMEZ qui était abaissé à mon niveau pour faire sa salle besogne,me tourne violemment et plaque un couteau sur ma gorge.
-Un seul geste de travers et je lui tranche la gorge
-Poser ce couteau Mr ou je crible votre tête de balle
-Vous êtes pas en position de force,laisser moi passer
L'arme du policier toujours pointée sur nous,il décroche son interphone
-À toute les unités un ravisseur tiens la victime en guise de force repliez vous
Mon cœur bat à 1000km/l'heure car la lame du couteau se fait plus insistante sur ma gorge,je peux sentir le corps de mon ravisseur trembler,il a aussi peur que moi.
-LAISSEZ MOI PASSER OU JE LUI TRANCHE LA GORGE
Tout espoir disparu de mon cœur quand je vus le policier se mettre sur le côté pour nous laisser passer,mes larmes reprirent leur trajectoire.
Arrivée au dehors,il m'entraîne jusqu'à une voiture sous le regard impuissant des policiers.Un policier caché à sa gauche s'interpose entre nous,mon ravisseur sorti une arme de je ne sais où et tire deux balles dans la tête du policier,le sang du policier se repens sur mon visage et je me mets à crier de terreur.
-FERME LA SALOPE
Tout mon corps tremble,il me pousse dans une voiture,s'assoit à côté de moi,pose sa main qui tiens le flingue à l'extérieur pour menacer les policiers.
Soudain un bruit de verre se fait entendre dans la voiture et avant que je ne comprenne quoi que ce soit je vois Mr GOMEZ vaciller.Quelqu'un assis à l'arrière viens de lui cogner la tête avec un objet lourd et en verre.Sans demander mon reste j'ouvre la portière et me mets à courir difficilement,j'ai mal à la jambe.
Une autre portière s'ouvre derrière moi, je ne prends pas la peine de me retourner
-ILVA cours,cours vers les policiers
Adams???
Je me retourne et je vois Adams tirer Mr GOMEZ par le col de sa chemise.Il se jette sur lui et se met à l'asséné de coups,je ne l'avais jamais vu si en colère.
Une policière vient me mettre à l'abri en entourant mon corps d'un manteau que je reconnais à l'odeur appartenir à Adams.Les policiers séparent tant bien que mal Adams de Raymond qui fut menotté par la suite.
Assise à l'arrière d'une voiture de police,Adams vient en courant vers moi et en criant mon nom,je sort de la voiture et il me réceptionne directement dans ses bras,il resserre son étreinte,on dirait qu'il a crue que j'allais dissoudre.
-Pardonne moi mon amour,je suis tellement désolé
Il m'as appelé mon amour,il m'as appelé mon amour,sa voix fut lointaine,puisque mes forces se mirent à m'abandonner.





Je viens de me réveiller, je suis dans des draps propres,ça sent la lavande.Suis je chez ma mère ?
-Mam's???
Je ne peux pas me lever ma jambe droite me fait souffrir,je me redresse et observe la chambre,ma vision est un peu floue je n'arrive pas à distinguer correctement mais je peux dire que je ne suis pas chez ma mère,ou suis je donc?le lit est immense
-Chuuuut calme toi ma belle,tu es en sécurité
Mme BLACKMORE ?
-Qu'est-ce que je fais ici ?
-Vous ne vous rappelez plus de ce qui s'est passé hier ?
-Oui,il y'a eu l'embuscade,ensuite Adams m'as enlacé,mais je ne me rappelle plus de rien d'autre,ou est Adams ?
-Euh Humm il est sorti
Elle est embarrassée et me répond avec hésitation
-Il y'a un souci?vous me cacher quoi?ou est Adams ?il est blessé ?ou est il?
-Chuuuut,il vas bien puisque je vous le dis,il est juste parti dans les bois avec son père
Dans les bois?je comprends donc,on est dans leur maison de campagne
-J'ai dormis pendant longtemps?
-Oui, il est 15h
-Oh mon Dieu,je suis matinal d'habitude
-C'est due au sédatif que le docteur vous a administré
-Je vois,je dois appeler mes proches,il vont s'inquiéter
-Ne vous en faites pas,Adams s'en est occupé
-Merci,Mme
-Hey je ne suis pas si vielle que sa,si?peut importe,appeler moi Laëtitia
J'acquiesce de la tête et lui souris,cette femme est tellement adorable
-J'ai demandé à ce qu'on vous coule un bain au jasmins,vous pouvez y aller si vous voulez
-Merci Mme,euh non Laëtitia
-Vous avez de beaux yeux,je ne l'ai jamais vu de si près,la dernière fois vous avez mis des lentilles
-Oui,les gens me regardent bizarrement,j'aime pas trop
-Qui ne tomberait pas en admiration devant vous ?vous êtes tellement belle
Mes joues rosirent aussitôt,comment elle fait pour être si douce?
-Je ne vais pas vous embêter plus,je vous laisse prendre votre bain,on m'as dit que vous aimez les lasagnes,je vais en faire préparer pour vous par l'une de nos meilleures cuisinières
-Merci beaucoup Laëtitia
-Vous aimé beaucoup trop remercier pour rien ma petite.
Elle claque une bise sur ma joue et sort comme elle est rentré,une petite fusée cette dame.

Une belle erreur Where stories live. Discover now