Regrets (Vilain Deku) - [TERMINÉ]

19. Alliance

Pdv Izuku

Bon, si on faisait un petit bilan de la situation actuelle. All for One est mort, Stain est en total colaboration avec mort, Black W, le nouveau chef de la plus grande organisation de Vilains au monde. Pratiquement 80% des vilains du Japon sont à mes ordres.

Dabi : Izu, téléphone pour toi
Moi : j'arrive...
Dabi : ça va ?
Moi : oui, parfaitement bien. Je pensais à tout ce que j'avais fais pour arriver là. Je suis content
Dabi : t'as de quoi en même temps. Allee grouille toi, le type qui appelle a l'air impatient.
Moi : ok merci

Je me dirige donc vers mon bureau et pris le téléphone posé dessus

Moi : allo ?
??? : c'est toi Black W
Moi : oui c'est moi. À qui ai-je l'honneur ?
??? : je suis Overhaul. Un Yakuza
Moi : un Yakuza ? Wow, ça fait longtemps qu'on en entend plus parler
Overhaul : mon groupe s'appelle Les 8 préceptes de la mort. Tu connais ?
Moi : oui vaguement. Tu en es le chef ?
Overhaul : à vrai dire, officiellement c'est mon père qui dirige le groupe. Mais comme il est malade c'est moi qui donne les ordres. Je t'appelle pour te proposer une alliance.
Moi : aah...une alliance. Ah, au fait. Comment tu as eu ce numéro ?
Overhaul : j'ai mes sources.
Moi : mmh...ça m'embête en fait...qu'un type aussi puissant que toi connaisse mon numéro
Overhaul : tu as donc deux options. Accepter une alliance, ou venir me tuer ainsi que tout mon groupe et mon réseau. Mais ça va être compliqué et ça t'éloignera de ton objectif
Moi : oh, et quel est cet objectif d'après toi ?
Overhaul : tuer les héros. Tout simplement. Mais j'ignore dans quel but. Mais si tu te mets en guerre contre les Yakuzas, ça va te coûter très cher en effectif et en argent. Et en temps surtout
Mpi: ça va, j'ai compris. Je vais te donner une adresse. Tu y viendras, seul. Si qui que ce soit t'accompagne, l'alliance tombe à l'eau, je te tue et mes hommes détruiront ton repaire que je ne vais pas avoir de mal à trouver. Moi aussi j'ai des sources
Overhaul : ça me va.
Moi : bien. Rendez vous dans une semaine, à 1h00 du matin.

Je lui donne l'adresse que j'ai en tête, puis raccroche sans attendre sa réponse. Je note le numéro avec lequel il m'a appelé.

Dabi : alors ? C'était qui ?
Moi : un Yakuza qui veut une alliance entre nos deux groupes. Je lui ai dis que je ne le connaissais que vaguement. Mais j'ai pas mal d'infos sur son groupe déjà. Son budjet, son réseau d'informations, ses effectifs, et même ses planques. Enfin...il me reste toujours une inconnue. Je ne connais absoluement pas son objectif. Il ne fait que de petits délits, pour rester dans l'ombre. Il rassemble des fonds, mais dans quel but ?...ça m'échappe totalement
Dabi : tu vas accepter ?
Moi : je vais d'abord le rencontrer la semaine prochaine. Tu viendras avec moi, ainsi que Himiko. Pendant ce temps, le gros de nos effectifs se rassembleront autour de chacunes de ses planques.
Dabi : ok. Et maintenant, tu vas faire quoi ?
Moi : aucune idée. Une suggestion ?
Dabi : je crois bien oui

Il me sourit et me prend par les hanches et m'embrasse tendrement. Je passe mes bras autour de sa nuque et me colle à lui.

Dabi : t'as combien de temps devant toi ?
Moi : pas beaucoup. Il est déjà 7h, je dois aller bosser. La relève est à 7h30, et faut que je passe à la maison me changer
Dabi : bon, bah juste un calin alors
Moi : ça me va

Il me prend donc dans ses bras, embrassant ma nuque tendrement.

Dabi : Izu...je t'aime
Moi : je sais. Merci...
Dabi : mais de rien.

Il me porte alors dans ses bras et me pose sur le bureau, tout en continuant de m'embrasser. J'entoure sa taille de mes jambes et le colle à moi, pendant que ses mains se balladent sur mon torse couvert seulement d'une chemise entrouverte. Il accède donc aisément à ma peau nue et passe doucement ses doigts dessus. Je frissonne à ce contact et mets ma tête dans son cou et mordille sa peau brûlée.

Dabi : aaah...non pas là...c'est trop sensible Izu, tu sais bien...
Moi : c'est vrai, désolé. Je dois y aller de toute façon.
Dabi : ok. Je te libère

Il rigole doucement, embrasse mes lèvres puis se recule en souriant. Je lui souris à mon tour puis me lève, remet correctement la chemise puis quitte mon bureau. Je retourne dans la piéce principale du repaire, que les membres principaux de l'Alliance ont redécoré ensemble. Blackmist me transporte alors chez moi, dans mon salon où je vois Bakugo en train de mettre ses bottes de héros.

Moi : coucou chéri. Bien dormis ?
Bakugo : oui et toi ?
Moi : ça allait pour 2 heures de sommeil. Bon je vais me changer et on y va
Bakugo : ok, je t'attends...

Ah là là, mener une double vie c'est crevant. Je passe mes nuits éveillé à établir de nouveaux plans et à donnez de nouveaux ordres à mes hommes postés un peu partout dans le pays. J'allume la radio et entends que les journalistes font encore une fois une édition spéciale sur moi et l'Alliance. Les policiers, encore une fois, n'ont aucunes pistes pour me trouver, et c'est tant mieux.
En entendant cela, encore une fois, comme tout les matins, je m'imagine une vie entière où je ferais à la fois le mal et le bien, sans que personne ne vienne perturber ça. Rien que d'y penser, ça me fait rire.
Je suis alors interrompu par un claquement de porte. Bakugo est parti sans moi...

Pdv Bakugo

Il est fou...je dois faire quelque chose.. même si j'ai pas de preuves...je sens qu'il prépare quelque chose. Je dois le dénoncer...coûte que coûte, même si en arrivant chez les flics la peur me prend aux tripes