Déteste Moi {Terminée}

chapitre 37

Coucou bonjour

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Pdv Alvarez

Il était cinq heure exactement quand je me leva et quitta mon lit. À moitié endormi et le corps un peu lourd, je me dirigea vers la salle de bain afin de prendre une bonne douche froide et reveiller ainsi mes sens. J entra dans la cabine de douche et actiona le jet d'eau qui fit par la suite tomber de millier de goutellette sur mon corps. automatiquement je ferma les yeux. Bêtise !

Le visage d'enfant de Ziria m apparut de nouveau. J ouvris mes yeux aussitot en me mandissant intérieurement . Merde Alvarez ça va faire trois semaines qu elle n est plus avec toi que veux tu !.

Je termine ma douche en un rien de temps et retire un complet jogging gris de chez adidas de mon garde linge avant de l enfiler a la hâte. Il fallait que je sorte me defouler...
Une fois vêtu, capuche recouvrant ma tête, -c'est vrai que rare sont les fois où vous me verrez ainsi- je descend mes marches pour me diriger d abord vers ma cuisine. Encore une fois le silence qui reignait dans ma maison me faisait bizarre, et c'est ce que je redoutais, le manque !. Allez Alvarez, longtemps tu as été seul et tu savais que ce jour arriverez, où tout serai comme avant. 

Bêtise ! je ne vais pas nier que je ressentais un vide en cet instant. Peut être vous demanderez ce qui s'est passé ?. Et bien l'opération comme vous l'aurez deviné c'est tres bien passé grâce au docteur et Zola va merveilleusement bien... elle est rentré une semaine apres son operation et depuis je vis avec un poumon, j avous que ça me fais bizarre. Et plus les jours avançaient plus je m attachais à cette petite famille qui malheureusement n etait pas la mienne, non je n etais pas un homme fait pour ce genre de vie et j en etais bien trop persuadé . La encore tout allait bien.

Une semaine après l opération, donc chez moi, le rapprochement entre Ziria et moi devenait trop inquietant. J aurai dû m'éloigner d'elle avant qu il ne soit trop tard... J'aurai dû m'éloigner d'elle avant de commetre l irreparable car depuis je l'ai dans la peau, depuis je n arrive pas à me sortir son corps chaud sous ses petits gemissement qui me parvenaient de loin comme un doux supplice. Oui nous avons couché ensemble et m*rde de toute ma vie je n'ai jamais connu un desir aussi puissant. Un desir aussi ravageur et Dieu seul sait comment je fais pour le supporter jusqu'à lors

Flashback...

Je rentra du boulot et des que je mis pied dans ma maison une bonne odeur de sauce et je crois bien de poulet m accueilli. Cette situation me plaisait bien ! Je pense comme un bon gourmand. Arrivé dans la cuisine tel fut le plaisir pour moi de voire mon petit cuisto travailler robotiquement et de dos à moi. Je ne sais sur quelle pulsion je me plaça derrière elle et souffla dans son cou afin qu elle remarque ma présence. Je la sentit souffler dos à moi, avant qu elle ne se retourne m offrant un sourire qui me procura une sensation étrange dans le ventre.