chapitre 36

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Coucou Bonjour

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- tu viens ? M interpelle de nouveau Alvarez pendant que j avais le regard dans le vide suite à l affirmation de Rosa.

- euuh oui oui je dis en secouant la tête et revenant sur terre.

- bien donc allons y .

Il dit en me tournant son large dos et suivant le médecin qui c'était montré bien stoïque.

Je les suivis alors silencieusement et egoissé vers une pièce qui semblait être le bureau du docteur.

- asseyez vous je vous prie. Elle dit une fois s être installée sur son fauteuil. Nous fiment  de même et voilà que nous etions à présent face a face, la table de bureau nous separant.

Mais le docteur se leva de nouveau et presenta ses excuses avant de sortir de la pièce et me laisser seule avec Alvarez qui se tenait à ma gauche. Un lourd silence reignait dans la pièce avant qu Alvarez ne se racle la gorge et tourne son regard vers moi

- il faut que tu appelles Olga, Ziria.

- pourquoi ? Je demande à la fois epuisée de cette situation et angoissé à l'idée que Alvarez apprene la vérité de cette maniere. Même si j avous que c'était quand même le dernier de mes soucis, ma fille était entre la vie et la mort seigneur !

- ne jous pas l inconsciente Ziria, il faut qu elle appelle au moins sa fille pour lui informer ! ce ne sont pas nos enfants. De plus il y'a de forte chance que nous ne soyons pas compatible !.

- nous serons compatibles. Je dis sachant bien que nous sommes ses parents. Mais lui ne le savait pas.

Je vis sa mâchoire se contracter violemment avant qu il ne ferme ses yeux. Un violent courant paralysa mon corps. Il les rouvra et ces derniers étaient plus noires et brillaient d une lueur dangereusement mystérieuse.

- appelle Olga et informe lui de la situation afin qu elle soit présente avec les parents ou au moins la mère des enfants il dit d une voix plus rauque et se retenant, je vois bien, de me manger crue.

je souffla resigner, apres tout, Olga était aussi comme la grand mère des enfants, elle se devait d être au courante. Voyant que j etais d accord il sorti son téléphone de sa poche et composa je ne sais quel numéro avant d entamer la discussion.

tu es chez toi ? Commence t il directement avant de grimacer de douleur... Son bras.
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-bien évidemment, as tu le numéro de ta gouvernante ?
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- ma question était simple pourtant, il dit avant de souffler.
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il prit le stylo, parmis les nombreux dans la boîte sur la table ainsi qu une feuille et nota le  numéro
........
- bien je te remercie. Il conclut avant de raccrocher pendant que mes yeux etaient encré dans les siens, car oui il n avait pas cesser de me regarder. 

- elle n'a pas de téléphone pour l instant mais m'a donné le fixe de la maison, il dit en prenant le papier où il avait écris  le numéro. Il le composa sur son téléphone et me tend ce dernier, il etait tellement plat que j avais peur qu il glisse de mes mains.

- je peux ? Je dis en me levant afin de parler en privé avec Olga. D un hochement de tête il m accorda la permission de sortir avec son téléphone et au même moment la douce voix maternelle de Olga repondit.

-Bonjour Olga !

- mon Dieu C'est Ziria ?

- oui Olga ! Et je ne sais pourquoi des larmes ont commencé a inonder  mon visage

Déteste Moi {Terminée}Where stories live. Discover now