Chapitre 77

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Amélia.

J'étais partie de chez Effy vers deux heures et avait profité de mon temps libre pour allez faire un peu de shopping. J'étais premièrement aller jeter un coup d'œil sur les robes de bal. Quatre mois me séparait peut-être de cette soirée tant attendu mais, c'est moi peuvent passer à une vitesse inimaginable.

J'entrai dans le premier magasin féminin que j'eue vu. D'un côté trônait des robes de soirée, un peu comme celles que comportait mon dressing. La robe que je cherchait devait être bien plus chic que c'est bout de tissus m'arrivant au milieu des cuisses.

De l'autre côté, se dressait des centaines de robes digne d'un conte de fée. Passant par le rouge flamboyant jusqu'au bleu océan, les robes étaient toutes plus belles les unes des autres. Je n'avais aucune idée de quelle type de robe je voulais mais je savais qu'aucune d'elle ne serraient portées par moi le jour du bal.

J'abandonnai ma recherche au bout de une heure et rentrai chez moi. Je trouverai ma robe un autre jour, espérant être accompagner de quelqu'un cette fois-ci.

Comme je m'y attendais, mes parents n'étaient pas à la maison. Ma sœur, par contre, était assise sur le canapé avec devant elle, les lames avec lesquelles j'ai passée tant de temps.

-Tu vas m'expliquer.

-Il n'y a rien à dire.

Je me retournai de façon à être dos à elle et fit quelques pas avant de m'arrêter. Je me retournai et incrustai mon regard dans le sien.

-Ne retourne plus jamais dans ma chambre.

-Et si je te dis que ce n'était pas moi.

-C'était qui alors? Demandai-je, les larmes aux yeux.

Elle baissa la tête un moment et me regarda à nouveau.

-Clémence.

Elle est pas réellement venue chez moi simplement pour venir fouiner dans mes affaires?

-Amélia, viens ici.

Elle tapota la place à ses côté et j'allai m'y assoir. Ma première réaction fut de fondre en larme dans ses bras. Elle me serra contre elle une bonne minutes avant de ses reculer un peu et de me prendre les épaules.

-Pourquoi ne m'as tu jamais rien dis?

Je pris une grande inspiration avant de lui répondre.

-Parce que tu avais probablement d'autres choses de beaucoup plus important à faire.

-Tu es ma sœur, il n'y aura jamais rien de plus important que toi.

Je l'a repris dans mes bras et me laissai pleurer sur son épaule pendant un long moment.

-Je crois que jai un appel à faire maintenant, reniflai-je.

-Je t'aime Amélia, ne l'oublie jamais.

-Je t'aime aussi Emy.

Je montai à ma chambre et pris le téléphone de la maison qui, quelques jours plus tôt, avait été lancé à travers ma chambre. Je repris mes esprits et composa le numéro de ma grande amie.

-Amélia, c'est pas trop le mome..

-Pourrais-tu me dire pourquoi il t'a pris cette envie de venir fouiller dans mes affaires?

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