Chapitre V: Couché à la belle étoile.

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Nous partons le lendemain à l'aube. Ça va être une journée dure, que ce soit mentalement et physiquement car le Leader a décidé de ne plus faire d'escapade dans une ville ou village jusqu'à Tucson ce qui vas être long, très long.. Des journées à en plus voir le bout, des nuits gelés sous un ciel étoilé en entendant les loups et les coyotes dans la pénombre.  Voilà ce qui vas nous attendre pendant une semaine entière, on vas devoirs simplement se débrouillés avec ce que nous offres la nature. Même si nous avons fait des provisions. 

Niyol marchait d'un pas rapide, il était déterminé d'aller enfin pouvoir ce dégourdir les membres comparer aux autres chevaux qui tirais la gueule en savant ce qui allaient leurs arriver. Et pour tant ils ont déjà fait des transhumances, ils savaient ce que c'était à par Voltige. Peut-être que Niyol aime ça?

Le matin venais à peine de ce lever et le soleil bouillonnait. La sueur gouttait sur mes tempes et mon nez, ce temps sentais l'orage à cause des rayons du soleil qui piquait. Tout autour de nous, les plaines étaient brûlées à cause de la chaleur aride et le faite que ça n'a pas plu pendant plusieurs jours. 

 - Où allons-nous? Demandais-je, pourquoi nous traversons les plaines plutôt que la route principale? 

 - J'ai pas envie qu'ont tombent sur des chasseurs de primes qui veulent nos peaux. Répond Owen, et personnellement traverser des routes déjà tracé ne m'intéresse pas. Nous allons couper dans la grande nappe et normalement il y aurais une immense foret qui déboucherais après jusqu'à Santa Rita puis nous continuerons jusqu'au sud de Tucson et on remontra. 

 - Nous allons tomber sur des indiens si nous chevauchons que dans des campagnes et des forêts. Réplique Will inquiet. 

 - Je préfère tomber sur des indiens que sur des mecs qui veut voir nos têtes pendus au bout d'une corde. Soupire le Leader. 

 - Ça va durée plus d'une semaine. Interviens le Mexicain. 

 - Et alors? En quoi ça te gêne? Tu monte plus sur une mule! 

Le bras droit et moi commençons à prendre un fou rire à sans tordre le ventre en voyant la tronche que tirais le Mexico, bien entendu ça n'a pas plus à Banjo qui commençait à cracher des jurons dans sa langue natale. 

 - En tout cas si nous chevauchons de l'aube jusqu'à l'arriver de la nuit, nous arriverons très vite au sud de Tucson. Réfléchis Owen.

 - Tu oublie un détail.. Lui fis-je remarqué. Les chevaux. 

Tout le monde s'arrêtait et me regardais bizarrement comme si je venais d'ailleurs, -ce qui est le cas..-

 - Quoi les chevaux? Demanda t-il totalement à l'ouest. 

 - C'est eux qui trimbalent nos culs d'un point A à un point B. Si ont fait pas une pause jusqu'à la tombée de la nuit, les pauvres ils vont tombés avant nous. Expliquais-je d'un ton sec. 

 - Tu veux retrouver l'égorgeur autant que nous, pas vrai? Plus vite on arriveras à Tucson, plus vite on le chopperas à Casa Grande. Et au pire les chevaux ça ce change! Finis le Leader avant de refaire avancer sa monture alezan, Milky-way. 

Les autres suis le mouvement. Je lâche un soupire avant de les rejoindre. 

- Couché à la belle étoile.-

Au milieu de journée, nous arrivons à un point d'eau, les chevaux ce sont précipités pour aller s'abreuver. Nous descendons et remplissons nos gourdes sans un mot. Je mouillais le poitrail de Niyol pour le rafraîchir. 

1| The Red Of The DeserWhere stories live. Discover now