Chapitre 10

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La brûlure de la corde

Intensité: 2/5

 
 
Tous les garçons étaient dans la cuisine avec Ryder et Anna, mangeant leur dîner en paix. L'absence de Katie me révoltait. Ils ne faisaient pas attention à son alimentation, et c'était tout simplement grotesque. Harry racontait quelque chose à Anna lorsque Louis l'interrompit.

«Ne t'inquiète pas de ne pas encore voir Katie camarade La main de Louis frappa mon épaule, en devinant la raison pour laquelle j'étais si en colère sur ma nourriture. «Nous allons essayer de nouveau dans quelques jours, alors tu peux faire ce que tu veux d'elle Louis rit et prit une bouchée de nourriture dans sa bouche.

«Excusez-moi.» Je me levais, puis sortis de la pièce.
 
Je me dirigeai vers le salon, cherchant désespérément à échapper aux garçons. Je m'assis sur le canapé et regarda un match de football quand je réalisais à quel point ils étaient négligent avec le dîner de Katie.

Je pourrais la sortir de là.

Prudemment, je me levai et me glissai vers la chambre à coucher où ils la gardaient. Je pris de toute urgence la clé dans ma poche et la poussa dans la serrure, ouvrant la porte.

Elle était là.

Ses mains étaient attachées grâce à une corde derrière elle dans le dos de la chaise, ses pieds étaient attachés aux pieds de la chaise, et sa tête pendait sur son corps. Ses cheveux sales cachaient son visage. Lentement, elle leva la tête et me regarda. Je la regardais aussi et vis la façon dont elle était griffée, blessée et ensanglanté.
 
«S'il te plaît ne me blesse pas.» marmonna-t-elle légèrement puis elle baissa de nouveau sa tête, n'étant plus en mesure de le garder levée. Je me précipitai vers elle, désespérée de l'éloigner de la chaise. «Que fais-tu me demanda t-elle faiblement.

«Je te sort d'ici.» grognai-je, arrivant enfin à défaire le nœud de son pied gauche. Katie gémit quand la corde desserra sa cheville. J'arrivais à défaire la droite plus vite que la gauche, puis passais à ses mains derrière elle. Dès que le nœud fut dégagée de ses mains, elle s'effondra. Je me précipitais à genoux devant elle.
 
Elle gémit. «Mes mains, Niall. Je ne peux plus sentir mes mains.» me murmura-t-elle.

Je hochais la tête, sachant que les nœuds avaient été probablement trop serrés. «Je sais, bébé, je sais.».

Elle soupira et tomba dans mes bras, évanoui. Je savais qu'elle n'aurait probablement pas pu se porter jusqu'à sa chambre. Je la laissait tomber sur moi, passa mon bras sous ses jambes et sortis de la chambre. Je pouvais entendre le rire des garçons venant de la cuisine, soulagé du fait que j'étais en sécurité. Je l'emmenais dans sa chambre, la plaçant délicatement sur son lit. Elle ouvrit les yeux, se recroquevillant de peur.

«C'est bon tu es en sécurité maintenant.» lui dis-je. Katie soupira de soulagement et cligna des yeux lentement. J'étais heureux que ma tentative de sauvetage soit réussite, je ne les laisserais pas recommencer.
 
Je me dirigeai vers la porte et la ferma, verrouillant pour que les garçons ne puissent pas entrer sans clé. «Que t'ont ils fait?» Je m'agenouillais au bord de son lit, curieux.

«Ils m'ont enseigné à être poli.» Elle commença à trembler, évidemment traumatisée par les événements qui avaient eu lieu derrière la porte fermée. «Et chaque fois que je n'écoutais pas ou ... ou ne faisais pas bien les choses ... ils prenais les cigarettes de Zayn ... et...» elle ne pu continuer et fondit en larmes. Elle ma montra son poignet gauche alors que des marques rondes s'attachèrent à mes yeux. Ils l'avaient brûlée. Je fis courir mon doigt sur les marques de brûlure, alors que sa peau frissonna au contact.

«Oh! Elle est partie!» Zayn cria dans le couloir. Katie gela de peur et plongea sous la couverture comme si elle allait la protéger.
 
Je pris immédiatement des mesures, enlevant ma chemise et la jeta à travers la pièce. Katie me regarda de dessous la couverture. Je retirais mes vêtements avant de sauter sur elle et de déchirer ses vêtements moi-même.

Elle cria sans comprendre ce que je faisais. Sous la couette, j'enlevais mon boxeur et le lançai à travers la pièce. Je détachais son soutien-gorge alors que les garçons entendaient le son de ses cris.

«Katie!» essayais-je d'attirer son attention quand elle commença à m'attaquer avec ses ongles pour me faire descendre. Mes mains trouvèrent les siennes et les gardèrent emprisonnés fermement. Nos yeux se rencontrèrent intensément «As-tu confiance en moi?».
 
«Non.», elle tremblait, se tortillant sous mon emprise. Des poings frappèrent contre la porte, les garçons exigeaient qu'elle ouvre immédiatement. La colère dans leurs voix lui faisait de toute évidence peur vu la façon dont elle se recroquevilla dans le lit avec un regard terrible.

Je la regardais et descendis vers le bas. «Eh bien, tu vas devoir.» grognais-je alors que l'un des garçons se jeta contre la porte. Nerveusement, son attention se détourna de moi entre ses cuisses vers la porte avant qu'elle ne s'ouvre et que j'enterre mon visage dans son noyau.

Il y eu le silence de leur côté pendant que Katie laissa échapper un gémissement sale quand ma langue tournoya autour de son clitoris d'une manière taquine diabolique. Il était faux, quoique je pouvais dire qu'en tenant ses hanches elle laissa échapper un frison indésirable.

Louis parla finalement, «Nom de dieu.»
 
Sur ses mots, je levai les yeux vers Katie qui serrait les draps du lit, ses lèvres entrouvertes laissaient échapper des souffles laborieux quand ma langue fit un autre tour autours de son nœud. Encore plus de frissons parcoururent son corps alors que je glissais ma langue entre ses plis, tous ses endroits sensibles étant testés par mon muscle lisse.

Au-dessus de moi, elle soupira mon nom alors que la porte se ferma doucement. Nous étions seuls, et ma langue était encore dans sa crevasse humide. Ses yeux rencontrèrent les miens lorsque la porte fut fermée, comme si elle attendait que je m'arrête maintenant mais je lui coupais la parole d'un orgasme bien mérité. Après toutes les semaines difficiles qu'elle avait endurée, peut-être qu'elle saurait apprécier d'avoir du plaisir.
 
Donc, je n'arrêtais pas. En fait, je soufflais chaudement et durement contre son clitoris avec mon nez pressé contre elle, ma langue glissant encore agressivement entre ses murs.

Elle aimait sûrement vu la façon dont elle eut le souffle coupé. Ses paupières battirent et elle déglutit difficilement, sa pomme d'Adam roula avant qu'elle ne pousse un gémissement, me surprenant. Sa main se plaqua sur sa bouche quand il sorti et je rit contre son sexe, maintenant je savais qu'elle ne pouvait pas résister au plaisir que je lui procurait.

Soudain, elle se débattit contre moi se reculant avant qu'elle ne laisse échapper un soupir, sa semence féminine se répandit sur ma langue, collant et doux. Enfin, je reculai et essuyais mon visage propre de son résidu, un sourire béat sur le visage.
 
«Je t'avais dit que tu pouvais me faire confiance.» lui dis-je. Katie me regarda avec des yeux graves et une expression têtu.

«En fait, je ne peux pas.» cracha t-elle. «Tu es trop prétentieux.» Tout dans mon corps se tendit à ses mots, une moitié de moi eut envie de la frapper au visage avant qu'elle ne parle de nouveau, «Merci.»

Je me ravisais. «Je t'en pris Ma mâchoire était probablement sur le sol. Elle avait été méchante une minute, puis reconnaissante celle d'après, ça n'avait aucun sens, mais je n'allais tout de même pas remettre en question sa gratitude. «Pour une fois que tu me le dis.»Je me posais à côté d'elle, mais elle se leva tout de suite et alla dans la salle récupérer ses vêtements.
 
Pour la première fois, je réalisais que j'étais honteusement dur, ma queue se dressant fièrement contre mon ventre, rouge à la pointe et palpitante de désir.

«Vas-tu partir?» me demanda t-elle, haussant un sourcil.

«Non!» Haussais-je la voix. Elle me regarda quelques secondes, remuant inconfortablement. Je fixais durement ses yeux puis mes yeux commencèrent à se promener le long de son corps. Je regardais sa poitrine, son ventre maigre, et ses longues jambes que j'avais toujours rêvé de voir s'emballer autour de moi, et je sentis mon sexe grossir encore plus à tel point que s'en était presque douloureux. Je voulais être à l'intérieur d'elle.

«Tu me regardes murmura-t-elle en regardant le sol. Je pouvais faire ce que je voulais.

«Je suis autorisé à le faire.» lui grognai-je, m'efforçant de cacher le fait qu'elle me rendait encore plus excité.
 
Elle roula des yeux. «Désolé.» Elle haussa les épaules.

«Ne m'oblige pas à te tirer de nouveau sur mes genoux bébé.» grognais-je quand elle tira sa chemise sur sa tête, sans soutien-gorge dessous avec ses mamelons qui traversaient furtivement le tissu blanc. «Parce que je le ferrais et ensuite je me tiendrai droit dans cette belle, chatte serrée qu'est la tienne.

Elle tressaillit à ces mots avant de me regarder une fois de plus. «Je suis désolé. Je ne devrais pas être impoli alors que tu m'asaidé.» Son ton était légèrement sarcastique, et je savais pourquoi, mais il y avait aussi un peu de sérieux.

Je léchais mes lèvres et lui fit signe de se rapprocher de moi. Elle se dirigea vers le lit de nouveau, debout au-dessus de moi. Dans cette optique, je pouvais voir les poches noirs sous ses yeux et ses côtes dépassé furtivement à travers sa peau. «Tu veux m'aider?»Je lui fit clin d'œil à cette suggestion.

«Non.» dit-elle soudainement et cligna des yeux lentement. Je croyais qu'ils lui avaient appris la leçon.
 
«Tu me le dois tu te souviens? Plus d'une fois en fait.» Je rapportais des souvenirs de plus tôt quand je l'avais déshabillée. Les yeux de Katie s'élargirent et elle fronça les sourcils tristement avant de grimper sur le lit au-dessus de moi. Elle resta immobile, me regardant. Je m'attendais à ce qu'elle pleure et me supplie de ne pas le faire.

«Que veux-tu que je fasse?» me demanda t-elle tranquillement, ne me regardant pas dans les yeux. J'étais complètement choqué par cette action. «Je ne veux pas te devoir quelque chose. Que veux tu que je fasse?» recommença t-elle un peu plus hostilement.

«Tu sais ce que je veux.» murmurai-je solennellement. Mon sexe était encore coincé contre mon ventre, mais il grandi plus difficilement quand elle me regarda avec une expression innocente.

Elle soupira et se mordit la lèvre. «N-Niall, je suis vierge.», murmura-t-elle.
 
Mon cœur tomba presque jusque dans mon estomac et mes yeux sortirent hors de leurs orbites. Le regard qu'il y avait dans ses yeux montrait qu'elle ne mentait pas, et la façon dont elle se trémoussait sur les hauts de mes cuisses montrait qu'elle était très mal à l'aise. Je me sentais presque mal quand je pensais que j'avais failli prendre sa pureté la première fois, durement, beaucoup trop rudement pour ses murs vierges.

«Alors...?» Je haussais les sourcils. «Suce moi seulement». Je lui donnais un paresseux sourire arrogant.

Ses yeux étaient toujours fixés sur mon sexe, avec un regard intimidé. «Je ne sais pas le faire non plus.» murmura-t-elle, embarrassée. «Je n'ai jamais fait ce genre de choses avec quelqu'un avant.»

«Eh bien...» j'inspirais profondément. «vas-y à l'instinct.» grondais-je, un peu en colère qu'elle ne puisse pas être en mesure de me donner une satisfaction suffisante.
 
«O-Ok.» murmura-t-elle. Négligé pendant trop longtemps, mon sexe revint à la vie quand sa main alla à sa rencontre, et je poussais un gémissement doux. Hésitante, elle porta sa main sur toute la longueur de mon sexe et donna un petit coup, une sensation de plaisir traversa mon corps. «Tu aimes Ses yeux se posèrent sur moi pour se rassurer.

«Crache sur ta main.» commandais-je. «ça lubrifiera plus rapidement.(pour celle qui ne savent pas du lubrifiant est pour faire glisser plus facilement)» Elle fit ce que je dis avant de retourner sur mon sexe, cette fois, elle découvrit le liquide pré-éjaculatoire sur mon conseil et étala ainsi, faisant mousser mon sexe.

Une fois de plus, sa main me pompa, un peu plus rapidement cette fois avec la brillance de mon muscle dur et, à partir de ce que je pouvais dire, elle était plutôt confiante. Des veines protestèrent contre sa main, me provoquant des contractions musculaires et lancinantes tandis que sa main faisait des merveilles sur moi. Un regard perplexe tomba sur son visage avant qu'elle ne me lâche et elle fit courir ses ongles jusqu'à la partie inférieure de mon arbre, me provoquant un soupir de plaisir.
 
Katie me regarda nerveusement avant de se pencher, ses cheveux tombant sur son visage. Avant qu'elle n'engloutisse mon sexe, elle s'arrêta et cligna des yeux avant de placer ses cheveux derrière ses oreilles pour empêcher qu'ils ne tombent à nouveau. Elle s'apprêta encore une fois à avaler mon sexe vers le bas, mais elle secoua la tête et ses cheveux tombèrent à nouveau, cachant les larmes qui commençaient à lui monter aux yeux. Je pouvais sentir sa nervosité.

Je pris la parole, «Katie, écoute.» Elle me regarda hostilement.

«Non, Niall.» elle me gronda. «Je ne veux rien te devoir.» Ses mots disaient quelque chose, mais ses yeux en disaient une autre.

«D'accord.» ai-je marmonné. Pour lui faire une faveur, je ramassais ses cheveux en une queue de cheval les tenant dans mes mains et la regardai. «Tu fais ce que tu veux.
 
La pointe de mon sexe fut entouré dans la chaleur de sa bouche qui me procura un sentiment que je n'avais plus vécu depuis trop longtemps. Lentement, sa bouche descendit vers le bas, et je lâchais un crie, la sueur sur mon front augmenta considérablement en quelques secondes. Elle descendit un peu plus loin, sa langue massant les veines de mon sexe, avant qu'elle ne commence à Bouger sa tête, pour aller toujours plus loin à chaque fois.

«Parfait.» marmonnais-je. «Putain de parfait.», lui sifflais-je. Un de mes mains plongea sur son menton et lui releva pour que ses yeux regardent vers moi, sa bouche bâillonnée autour de mon épaisseur. «Tu es si belle avec mon sexe dans la bouche.».
 
Quand elle détourna le regard, je jetais ma tête en arrière et gémit, reprenant mon souffle. Par erreur, j'avançais mes hanches plus loin vers le haut dans sa bouche, ses dents mordillèrent alors un peu ma longueur. Je hurlais de douleur, mais poussais la tête de Katie vers le bas quand elle essaya de se relever alors qu'elle s'était rendu compte qu'elle m'avait blessé. Un moment de douleur en valait la peine quand elle faisait me sentir tellement incroyable.

«Continue lui grognais-je comme un avertissement. Le regard dans ses yeux était un peu inquiet, mais elle continua quand même. Puis, ça arriva.

Je suis venu. Des bruits d'étouffements et de gémissements remplirent la salle en même temps, mais je ne pouvais me concentrer que sur ma semence qui se renversait en bas de sa gorge et mon cerveau qui explosait, le plaisir me consumant. Trop tôt, le sentiment disparu et la bouche chaude de Katie disparu aussi.
 
«Tu es malade.» dit-elle fixaient le plafond. Elle était posée à côté de moi, un peu haletante. Un de ses pouces essuya certaines goûtes sperme de ses lèvres avec dégoût.

Je levai les yeux au ciel, personne ne l'avait forcé. C'était elle qui avait dit qu'elle voulait le faire. Je laissais ça de côté, c'était moi qui avait décidé de la sauver, pour moi.

«Tu veux faire quelque chose?» lui demandais-je, roulant pour me retrouver au-dessus d'elle sur mes coudes. Elle ne soutenait pas mon poids qui n'était pas le plus léger, au lieu de cela elle me regardait avec un regard vide.

«Je voudrais prendre une douche s'il te plaît.» murmura-t-elle. Je hochais la tête et sorti du lit, reprenant mes vêtements déposés dans la chambre. J'avais prévu un plan dans ma tête.
 
«Donc, je vais t'emmener à la douche. Une fois que tu es dans la salle de bain, verrouille la porte. Quand tu as terminé, attend que je vienne te chercher. Je serai dans la cuisine, pour te faire à manger, car il semble qu'ils ne t'ai pas nourrit tant que ça Je regardais ses côtes qui commençaient à se voir à travers sa peau. «Fait exactement ce que je dis.» lui dis-je. Elle hocha la tête, en écoutant les directions très attentivement. «Très bien allons-y.» J'attrapais ses bras de manière vicieuse.

«Donne tout ce que tu as.», murmura-t-elle alors que je la tirais dans le couloir. Les cris de Katie volèrent presque immédiatement, mais je continuais à la maintenir serré pour avoir l'air aussi crédible que possible.
 
«Va prendre une douche sale pute!» J'ouvris la porte de la salle de bain avec ma hanche. Je la poussais à l'intérieur et la suivi quand je souvins des brûlures sur son poignet.

Elle s'assit sur le couvercle des toilette, comme elle avait fait quand je l'avais emmené ici pour lui couper les ongles. «Qu'est ce que tu fais?» Elle m'observait alors que je fermais la porte de la salle de bains et tirais le placard ouvert à la recherche de quelque chose pour elle.

Ma main saisit la bouteille puis je me mis à genoux devant elle. «Ton bras, s'il te plaît.» murmurai-je, en regardant ses yeux innocents. Lentement, elle m'offrit son membre blessé et je la regardais avec un air perplexe. Les garçons lui auront laissé des cicatrices.«Lorsque ce sera guérit, ne les touche pas.» commandais-je.
 
Après avoir ouvert la bouteille, je tenais son bras en pressant doucement jusqu'à ce que le gel vert coule sur sa peau , un soupir de soulagement s'échappa de ses lèvres. Je mis la bouteille sur le sol avant de frotter avec précaution le gel alors que Katie abordait un regard de soulagement sur le visage. La main de son bras blessé était placée sur l'une de mes mains, ses doigts froids et délicats s'enroulèrent autours.

Fasciné par la vue depuis trop longtemps, je m'éloignais et saisi la bouteille pour la remettre dans le placard. Je pris une bouteille de Bactine. Il aiderait à éviter que ses brûlures ne s'infecte. Une fois de plus, je m'agenouillai devant elle et lui tendis la main, sur laquelle elle plaça la sienne à nouveau. Et pendant un moment, on aurait presque pu dire qu'elle me faisait confiance pour prendre soin d'elle.

«Cela pourrait piquer.» la prévenais-je. Elle hocha la tête, en se concentrant sur son bras à nouveau alors que j'appuyais doucement sur le pchit, ce qui en vaporisa sur tout le bras.

Elle gémit légèrement de douleur. «Putain.» murmura-t- elle tranquillement dans un souffle, essayant de cacher le mal. Ma main serra la sienne très doucement, lui faisant savoir que c'était fini. Sa main libre saisit mon épaule, enfonçant un peu ses ongles dans ma peau pour soulager un peu la pression .

«C'est bon?» Je la regardai avec des yeux bienveillants. Je jouais de nouveau l'infirmière, mais cette fois, c'était très différent .

Elle soupira . «Oui.» Elle se pencha et me donna un baiser sur la joue . Je sentis mon visage devenir chaud. «Merci, Niall.»

«Il n'y a pas de quoi.», murmurai-je embarrassé en faisant un pas vers la porte. Avant de la fermer, je regardais en arrière vers l'endroit où elle n'avait pas bougé de son siège sur le couvercle des toilettes.

Elle me donna le plus petit des sourires avant que je ne ferme la porte.

Traductrice :

Hello ! :)

Bon je tiens à prévenir l'auteur originale de la fiction n'aimait pas ce chapitre :P

Moi je l'aime bien même si il a été vraiment super dur à traduire

Par contre ça ma choqué quand j'ai vu ce que les garçons lui avait fait ! :O

 

Dites moi ce que vous en avez pensé vos réactions m'intéressent vraiment ! :)

 

My Little Hostage - N.H Dark LemonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant