Teach Me Some LOVE

CHAPITRE 2 : CAMERON

De magnifique yeux verts, de long cheveux noir corbeau, de fine jambe avec de belle fesse bombé, une belle posture digne d'une danseuse, un visage fin mais avec de belles petites joues. Mon dieu cette créature est divine.

"Mademoiselle si vous avez fini de rêvasser, cela sera gentil de votre part d'écouter un minimum mes explications sur le manque de respect qu'apporte le retard."

Et cette divine personne est ma nouvelle professeur. Pourquoi chaque fois que je rencontre quelqu'un elle doit être si inaccessible à croire que l'univers s'acharne sur ma vie amoureuse déjà bien chaotique.

" Donc comme je disais. Cette année est votre dernière et ce pour le reste de votre vie. Alors il serait bête de la gâcher avec des exclusions et voir même une expulsion définitive de mon cours. Si j'étais vous, je viendrai à l'heure et ce jusqu'à la fin de l'année scolaire. Si un seul retard vous arrive à mon cours la sanction sera celle dit précédemment.

Je vous demanderai bien évidemment un comportement digne de personnes de 25 ans et une écoute à mon cours des plus assidue. "

Putain elle rigole pas cette prof. Elle a beau être magnifique c'est un vrai monstre. J'ai l'impression d'être de retour en primaire et je déteste ça. Elle est froide et strict et même si ça à un côté sexy ça va vite me faire chier du coup je décide de lui dire le fonds de ma pensé.

" Vous êtes au courant que nous ne sommes pas en primaire madame ? "

Elle m'avait vachement énervé avec son comportement condescendant et son air supérieur.

"Je suis bien au courant mais vu que vous vous êtes comportez à mon cours comme des enfants, je vous traite comme telle."

Putain, elle est ridicule, comme si arriver en retard est un crime passible de mort. Je sais que c'est pas très professionnel mais c'était le premier jour et je trouve ça gonfler de direct nous punir et nous traiter comme telle.

"Et quel comportement d'enfant avons-nous eue à part notre retard ?"

Je lui ai sorti ça d'entre mes dents car la colère montait en moi.

"Rien que la façon dont vous vous adressez à moi. Je ne suis peut-être pas plus âgé que vous ou autre mais je mérite le respect. Je suis votre professeur, madame ?"

"Cameron Wilson, madame ?"

"Julia Harris. Encore une chose que vous aurez su sans votre retard à tous. Malgré tout, je ne désire pas partir sur une mauvaise note avec vous. Je vous demanderai donc de ne plus arriver en retard à mon cours et surtout pour vous madame Wilson ne plus vous montrer condescendante avec moi."

Mais sérieux pour qui elle se prenait cette femme. Je ne l'aimais décidément pas. Bien que je ressentais une forte attirance pour elle. Elle était d'une beauté à s'en rendre dingue.

Finalement, on hocha tous la tête telle des enfants pris la main dans le sac. Elle se retourna et je pu légèrement baver sur son fessier bien beau.

Elle se retourna et je levai vite les yeux. Elle n'avait sûrement pas dû me voir la maté.

"Aussi, il serait intéressant que vous commenciez à postuler vos stages de fin d'étude dès maintenant car sachez que plusieurs de vos camarades ont déjà postulé durant l'été. Sur ce, passez une bonne journée et on se voit vendredi, à l'heure."

Elle nous sourit légèrement. Et laissez-moi vous dire que même si son sourire était léger il était suffisant pour que mon coeur chavire encore. Mais qu'est ce qui me prenait ? cette prof était froide et irrespectueuse et moi je craquais sur elle, en mode masochiste.

On partit et ayant eu notre seul cours de la journée, on décida tous de rentrer. On voulait se reposer et commencer les recherches de stages comme nous l'avait conseillé madame Harris.

D'ailleurs son nom me disait quelque chose. C'est donc une fois rentré que je m'enferme dans ma chambre et je commençais dès recherche et non pas sur mes stages mais sur Julia Harris.

Bingo.

Julia Harris avait 32 ans. C'était une jeune auteur qui avait écrit un grand best-seller. Un thriller plein de péripéties qui avait conquis l'amour du monde entier et du mien aussi. Sa plume était un don de Dieu et elle écrivait si bien que j'avais dévoré son livre de 600 pages en une journée même pas.

Julia Harris était aussi la plus jeune à jamais avoir été engagée à l'université de New York. C'était un petit prodige du roman policier et comme elle avait elle-même fait ses études à la NYU, ceux-ci avaient décidé de mettre leur poulain en avant. Un bon coups de communication pour eux.

Cette femme m'intriguait et je ne savais décidément pas pourquoi. Sûrement par sa beauté, mais aussi par sa froideur. Mais encore pour son talent et son mystère. Car oui malgré qu'elle soit populaire, elle évitait la presse à scandale à tout prix. On ne savait rien sur elle, ni sur ses proches et encore moins sur sa vie amoureuse même si on lui prêtait plusieurs relations avec des hommes mais aussi avec des femmes.

En ayant vu ça j'avais sauté de joie mais je me rappelai tout même que ce n'était que des rumeurs et qu'en vérité elle devait être en couple avec un homme avec la bite cramoisi.

Une fois, toutes mes recherches sur madame Harris fini, je décidai d'enfin me lancer dans mes recherches de stage. Et je savais déjà où je désirai postuler. Harper Collins House.

Cette maison d'édition était de loin ma préférée, elle publiait des livres qui me passionnaient et me rendait chèvre à chaque lecture ou chaque publication. Mon rêve ultime serait d'être directrice là- bas. Mais ce n'est qu'un rêve.

Lorsque j'eu fini tous mes envois de CV à toutes les maisons d'édition auxquelles je souhaitais être engagé. Je me décidai à descendre voir mes petits colocs.

Notre appartement ou plutôt notre loft avait été payé par nos parents. Tous super heureux qu'on vive ensemble car pour eux on est plus discipliné ensemble que séparés même si c'est encore pire que bien. Malgré tout on a une bonne cohésion de groupe et les disputes sont très rares.

Nous avons un grand salon avec une grande baie vitrée. La cuisine se trouve au fond de la pièce et entre le salon et la cuisine se trouve une grande table à manger où on peut mettre 10 personnes. Sur cette étage-là se trouve la chambre de Sean avec sa salle de bain et en haut il y a donc Hunter, Hailey, Lauren et moi-même. Le loft est dans le style industriel mais aussi assez moderne. Franchement on est tombé sur une pépite avec cet appartement. C'est aussi un grand piège à fille ou mec ce qui est vraiment très sympa. On a décidé d'insonoriser nos chambres pour des raisons plus qu'évidentes et surtout après l'incident Hunter.

Etant 21 heures et ayant faim, je décide de commencer à préparer le dîner. Je nous fais de simples pâtes à la crème car la flemme de cuisiner ce soir. On se retrouve tous à table pour notre dîner du soir obligatoire. Car une règle dans la maison, si tout le monde est là, on mange tous ensemble. On a fait cette règle car nos parents n'ont jamais pris la peine de le faire avec nous.

Finalement après avoir mangé on regarda tous la télé et un à un on alla dans notre chambre pour dormir. Je fus comme à mon habitude la dernière fois.

Une fois installé confortablement, je cherchai encore des informations sur Julia Harris qui hantait mes pensées. C'est dingue j'ai vu cette femme peut être 5 minutes et elle fait partie entière de mon cerveau.

Surement un coup de foudre de passage. N'ayant rien trouvé, ni réseaux ni petit copain, je décidai d'éteindre mon pc et de relire le livre de madame Harris. Et ce fut comme ça que je m'endormis paisiblement.

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Bonjour/Bonsoir,

Voici le deuxième chapitre. J'espère que vous avez aimé ce chapitre.

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Bonne soirée/journée

xLuce