☆Chapitre 20☆

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De la cendres.

Voilà tout ce qu'il restait. Il y a quelque année, l'endroit devait être magnifique. Mais le feu avait ravager toute la végétation.
Sophie posa un pied à terre, une main sur le cou de l'alicorne scintillante. Cette dernière s'éloigna pour trouver un peu d'herbe fraîche à manger, elle ne semblait pas du tout inquiète d'être dans un lieu inconnu avec aucun cristal de saut.

Tout étais parfaitement silencieux, pas un bruit, mis à part le vent. L'atmosphère était pesante, stressante, lugubre.
L'alicorne les avaient emmené sur une grande prairie, une forêt toufue d'un côté, une rivière clair de l'autre. Et des cendres. Une voix dans la tête de Sophie lui hurlait de fuir, tandis que l'autre lui disais d'explorer les lieux.

Elle s'avança. Regardant autour d'elle, à la recherche d'indice. Elle arrêta son regard sur la forêt. Des arbres, des sapins, grand ou élancé, gros ou petit, un sentier escarpé au millieu.

Bronte.

Ce paysage, elle l'avait vu dans l'esprit de Bronte. Silveny s'approcha de la rivière pour boire, Sophie s'approcha de l'alicorne et...

Son transmetteur vibra.

-SOPHIE, OÙ EST TU ? Hurla grady a travers le transmetteur.

Elle avait sa petite idée. Mais ça n'allait sûrement pas plaire à ses parents adoptif.

-Je suis dans une clairière. Aucune raison de s'inquiéter, Sylvenie est avec moi et je peu invoquer un cristal pour revenir à Havenfield.

Grady sembla se détendre. La voie d'Edaline retenti alors.

-Tu va rentrer dans combien de temps ? Tu va bien ? Sylvenie aussi ?

-Oui, on va bien, lui répondit elle, choisissant de ne pas répondre à la première question.

Elle avait encore quelque hypothèse à vérifier avant de rentrer à Havenfield.

-Bien. Reviens le plus vite possible.

-Oui oui, mais... Sylvenie mange... alors je vais attendre un peu.

C'était sûrement la pire excuse qu'elle pouvait trouver, mais Édaline et Grady décidèrent de la laisser tranquille.

Elle rangea son transmetteur. Silveny s'était approché près des cendres, et regardait Sophie en hénissant. Sophie s'approcha. Silveny s'écarta, et regarda un paquet de cendre tout en grattant de son sabot le sol. Sophie la regarda, ne comprenant pas ce qu'attendais Silveny. Le cheval ailée la regardais,puis regardait le sol,avant de re regarder la jeune fille. Sophie s'accroupit et commença à gratter le sol, sous le regard attentif du cheval étincelant.

Ne trouvant rien, elle se releva. Silveny continuait à gratter le sol. Alors, au millieu de la cendre blanche, apparu un fin collier orné d'un cygne noir. Un collier semblable à celui de Jolie.
Son hypothèse étais confirmée.

-Sylvenie... Pourquoi tu m'a emmener ici ? Comment connais tu cet endroit ? Murmura Sophie en saisissant le pendentif pour le reagrder.

Elle leva les yeux vers l'alicorne. Celle ci regardait un point fixe derrière la jeune fille, sans bouger, ses yeux dorée ecquarquiller. Sophie se retourna.
La.
Dans la forêt.
A côté de l'ancienne maison de Jolie.
Une silhouette noir encapuchonné, la fixait.

Sophie se pétrifia. La silhouette s'immobilisa.
L'alicorne henni et cabra, et Sophie se releva précipitamment, posant une main rassurante sur le cou du cheval. La silhouette regarda derrière elle, et sans que Sophie ai eu le temps de réagir, elle s'enfuya dans la forêt.

La jeune fille se retourna et recula, scrutant chaque recoins de la prairie. L'alicorne henni et poussa gentiment son bras. Sophie la regarda, et comprenant que l'alicorne avait peur, elle saisit le collier orné du cygne et claqua des doigts en pensant au cristal de foyer qui devait être sur son bureau en ce moment. Elle posa une main sur le cou de l'alicorne et fit apparaître un rayon lumineux.

Au moment de sauter, il lui sembla apercevoir une silhouette violette parcourir la lisière de la forêt, se cachant plus ou moins.

Tu deviens folle, se dit elle, se dépêchant pourtant de sauter en compagnie de l'alicorne.

Quand elle arriva au pied du panacier, elle s'effondra contre le tronc de l'arbre, tandis que l'alicorne marchait tranquillement à côté de la jeune fille. Sophie fourra son nouveau collier dans une poche de son pantalon avent de fermer les yeux, essayant de mettre de l'ordre dans ses idées.

Grady et Edaline accoururent en l'entendant arriver.

-Sophie, que s'est t-il passé ? Lui demanda anxieusement Édaline.

-Oui oui, répondit machinalement Sophie.

Ils la regardèrent, inquiet,encore quelque instant avant de passer un lasso sur le cou de Sylvenie pour la ramener à son enclo, tandis que sophie fermée les yeux. Elle enfouit sa tête dans ses genoux replié.

-Vous allez bien ? Demanda une voix aigu.

Sophie rouvrit les yeux, et trouva en face d'elle une créature avec des pouces vert, qui lui adressait un sourire,montrant ses dents verte. La gnomide avait de grand yeux gris et étais vêtu d'une robe faite de brindille tressé. Ses cheveux étais coiffé en tresse alambiqué, où des fleurs semblable a celles qu'elle tenait dans la main était accroché.

-Oui... Oui très bien, répondit la jeune fille.

La gnomide fronça les sourcils.

-Vous êtes sûrs ? Demanda t-elle gentiment.

Sophie soupira. Non, elle étais loin d'être sûr.

La gnomide ferma les yeux,et se mit à chantonner. Un chant doux, rassurant, apaisant. Elle s'accroupit et plaça ses mains devant elle, paume face au sol, tout en continuant de chanter. Alors, sous les paumes des mains de la gnome, sur le sol, apparurent des petites fleurs, pleine de vie et d'énergie.

Le chant de la gnomide changea, se teintant de mélancolie et de tristesse. Des feuilles vinrent s'enrouler autour des fleurs, tel un film en accéléré, avant de faner et de disparaître dans la terre. Le chant de la gnomide étais puissant, retranscrivent touts les sentiments de la jeune fille dans une petite mélodie. Petit à petit, Sophie fermit les yeux, attrapant le collier du cygne et le serrant dans sa main, jusqu'à se sentir légère, vide de toute émotions négative.
Quand le chant de la gnomide cessa, les yeux de Sophie été bordé de larme.

- Merci beaucoup, euh...

-Flori, lui répondit la gnomide.

-Désolée, je suis nouvelle et je ne connais pas encore tout le monde.

-Aucun problème, je suis heureuse d'avoir fait ta connaissance ! Il est tard, vous devriez aller vous coucher, lui conseilla Flori.

En effet, le soleil avait disparu depuis longtemps du ciel, laissant voir les milliers d'étoile qui constellé le ciel.

Sophie se leva doucement et se dirigea vers l'entrée d'Havenfield, jetant au passage un regard à l'alicorne roulé en boule au centre de son enclos. Et cette nuit, elle dormit profondément, le chant de la gnomide résonnant dans sa tête.

Nda : j'espère que se chapitre vous a plu, j'ai vraiment aimé l'écrire !
Petite question : je corrige souvent les fautes d'orthographe dans mon livre après l'avoir publier comme j'ai parfois des commentaires qui me signal des fautes dans le livre, et je voulais savoir si vous receviez des notifications quand les chapitres avait été modifié.

Gardiens des citees perduesWhere stories live. Discover now