L'ESCLAVE DU CHEIKH.

Epilogue

Coucou tout le monde ... j'ai finalement écrit un épilogue... car certaines de vous l'on demander. Ce Roman je pense que nous l'avons écris 📝 tous ensemble.

Je m'explique:
A travers vos commentaires de nouvelles idées 💡 jaillissaient. Mais surtout je voulais vous produire un livre à la hauteur de vos attentes.

Peut-être que je n'ai pas reçu... ou peut-être que j'ai réussi. Mais le plus important c'est que j'ai essayé et que je sors grandie.

Vous avez pu constater que dans mes chapitres je fais souvent référence à des refrains de chansons.

Alors c'est parce que je voulais partager avec vous deux passions : l'écriture et la musique 🎶.

Je vous remercie pour tous vos messages et vos commentaires.

Et j'invite aussi ceux qui lisent sans commenter à penser 🤔 à laisser un petit mot. Au de-là des votes ... pour moi le plus important c'est de vous lire à mon tour !

Alors RDV dans l'indomptable Jade ! 🤗

Dix mois plus tard...

Affalé sur le dossier de son bureau, Kaleb c'était assoupie leur petite fille dans les bras. Ce petit monstre avait de l'énergie à revendre, toute la nuit elle avait malmené le pauvre roi.

Kaleb avait décidé de la veiller pour donner quelque instant de répit à Sadia qui n'avait pas complètement repris des forces après l'accouchement. Pour Kaleb cela avait été un supplice de tous les instants de la voir ainsi souffrir sans pouvoir rien y faire. Il l'avait supplié d'avoir recours à la périduranne mais c'était sans compter sur l'entêtement de sa petite femme. Mais au final il y'avait eu plus de peur que de mal.

Et pas un jour ne s'écoulait sans qu'il ne remercie le ciel pour cette renaissance.

Aux côté de Sadia il était devenu un homme nouveau très loin de la caricature que les média se plaisaient à dépeindre des années plutôt. La paix était revenue sur le bel Emirat, et des années de prospérité et gloire se profilaient pour les nouvelles générations.

La princesse Yasmine faisant partie de cette génération, pour qui le roi balisait le chemin. A peine avait-elle poussé son premier cri que des paris se comptant en milliard avait été fait sur prochain mariage.

Au grand dam de Sadia qui trouvait cette situation grotesque. Les gens n'avaient décidément rien de mieux à faire que de parier sur le mariage d'un nourrisson.

Sadia caressait de grand projet pour sa fille. Elle la voulait cultiver, attentive au besoin de son peuple, respectueuse des valeurs religieuses et traditionnelles. Mais par-dessus tout elle voulait que sa fille soit maître de son destin.

Alors le moment venu, avait-elle dit à Kaleb :

« Ce sera à Yasmine de faire le choix de l'homme avec qui elle voudra partager plus qu'une simple vie, mais toute une éternité »

Ce jour-là, la petite avait gloussée alors qu'elle se trouvait dans les bras de son père. Kaleb et Sadia avaient alors échangé un regard complice, avant de partie dans un fou rire.

Oui, cela ne faisait aucun doute Yasmine avait hérité du fort caractère de sa mère. Mais malheureusement pour Kaleb la petite n'avait pas pris les beaux  yeux ambrés de sa mère comme il l'avait voulu.
Ses iris étaient vert-émeraude... Comme ceux de son père.

Sadia c'était réveillée légèrement paniquée ne sentant plus la présence de son bébé. Elle fit défiler son regard dans la pièce avant de se décider de sortir du lit.