Chapitre 40: Il est l'heure d'entrer en scène .

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-Max empêche le de m'emmener... implora Sadia en s'accrochant à la poutre de la rambarde comme une enfant.

Une insouciance qui ne faisait que renforcer sa beauté envoûtante.

-Je regrette votre altesse répondit son garde du corps l'air moqueur en essayant tant bien que mal de dissimulé le sourire que formait ses lèvres.

-Chéri... je reconnais ma défaite.

Fit-elle en employant son air le plus innocent...

Kaleb fut chamboulé un lapse de temps par ce petit nom qu'elle venait d'utiliser. C'était la première fois sauf erreur qu'elle l'appelait par un terme aussi affectueux.

- Redit-le ! exigea-t-il d'une voix remplit de désir.

Il s'approcha d'elle doucement, et s'arrêta sur ses jambes nues.

-Je reconnais ma défaite, répéta-t-elle, en faisant mine de ne pas comprendre ce qu'il attendait d'elle.

-Pas ça ! grommela-t-il sans se départir de sa voix sombre et sensuel.

-Je ne vois pas de quoi tu parles... Le provoqua-t-elle.

Kaleb aurait juré qu'elle cherchait à le pousser dans ses derniers retranchements. Le roi se retint de sourire.

Les yeux brillants d'une lueur nouvel, Kaleb senti son cœur se gonfler de ce sentiment qu'on appelle L'amour, était ce possible d'aimer une personne au point ou un seul de ses regard vous faisait oublier tout le reste ?

Il se sentait con d'être de l'avouer mais ce petit bout de femme le menait par le bout du nez.

-Très bien ! Abdiqua-t-il en faisant mine de s'en aller.

Sadia coula un regard méfiant à son mari qui remontait les marches, ce n'était pas dans sa nature de rendre les armes aussi facilement.

Elle délia ses doigts de la poutre, et au moment ou elle s'apprêtait à se redresser, elle se sentit soulever dans les aires.

-Kaleb, ce n'est pas loyal. Tu es un tricheur.
Se plaignit-elle accroché à son cou. Sans prêter attention à ses protestations il la ramena dans l'intimité de leurs appartements.

-Chacun ses armes... Il est temps de recevoir
ton châtiment jeune femme. Annonça-t-il avec un sérieux déconcertant, qui fit disparaitre le sourire de la jeune femme à l'instant.

Remplacé par une chaleur inopportune au creux de ses seins.

Kaleb glissa un regard pénétrant sur le corps de sa femme, qui en disait long sur le caractère particulier de la punition qu'il avait en tête.

-Je pense qu'on risque d'être en ...

-Pour le retard qu'on risque d'accusé, ne t'inquiète pas. Il ya quelque prérogative à être Roi. En outre personne ne saurait me tenir rigueur de régler une affaire d'Etat. Coupa Kaleb en la saisissant par la taille pour la renverser sur le lit.

Elle poussa un cri adorable.

-Une affaire d'Etat tu dis... Je ne savais pas que retenir sa femme prisonnière était une affaire d'Etat. Lâcha-t-elle, quand il délaissa enfin ses lèvres pour lui permettre de respirer. Ses baisers étaient exigeant et tellement envoûtant lui donnant l'impression d'avoir des cerises à la place des lèvres.

-Ne me tente pas Sadia, ce n'est pas l'envi qui m'en manque. J'aimerais te retenir ici, dans cette chambre pour toujours.

Susurra-t-il, en faisant glisser lentement une bretelle se sa robe.

L'ESCLAVE DU CHEIKH.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant