Maison Close [En corrections]

Chapitre 99

C:Merde vous en avez mis du Temps j'aurais passé de l'autre côté en 5minutes de retard

S: c'est quoi Tous ce bordel de Quoi m'accuser vous....

Police: trafic d'armes blanchiment d'argent et vente illégale de drogue et la liste est longue ... monsieur Maestros quant à vous nous avons eu tout le Temps d'établir un dossier consistant sur vous grâce à votre garde du corps Cendro Qui en faite s'appelle Michael Qui travaille avec La police... mec qu'est Qui t'a pris de foutre Tout ce bordel ...

Centro Où Michael je ne sais plus se relève et s'étire comme si Tous ces membres était engourdi

C: vous en avez mis du temps je vous ai alerté il ya près d'une heure de cela merde

Police : et tu penses qu'ils sont combien à l'intérieur... bref mets toi au travail

Je ne comprenais rien à Tout ça j'étais toujours agenouillé les mains derrière le dos et le sang qui coulait toujours de ma bouche et de mon nez. Maestros lui n'arrivaient pas à parler il a été vraiment amoché par Cendro le sénateur avait déjà des menottes autour du bras ...

S: laisse moi ça ne vas pas je suis le sénateur de ce pays

Police : ça ont le sais et vous serez bien traité en prison

Cendro vient finalement me chercher et me remet sur pied Mais je ne tiens pas bien longtemps avant de m'écrouler toute cette Histoire ma faire perdre les boules...

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J'ai toujours les yeux fermés Et un brouhaha me single les tympans, mes paumes, mes mains, Et mes épaules je suis tétanisé. Aux files du Temps que mon esprit prend conscience que je suis dans une Chambre d'hôpital, le bruit se fait de Moins en Moins fort, jusqu'à ne plus entendre aucun bruit, juste son souffle à Côté de Moi Et mon coeur Qui palpite.

C: c'est terminé tu peux maintenant te relever ouvres les yeux

Refusant obstinément de faire ce qu'il me demande, il passe une main sous mon menton, me relevant avec force mais j'ai peur... j'ai peur de ce qui va se passe autour de moi... peut être je suis Dans un rêve et si j'ouvre les yeux je vais certainement revoir cette arme posée sur ma tempe Et voir tous ses gardes de corps me tabassé, la douleur que j'ai reçue je ne veux plus revivre ça. Ou peur d'être je serais à nouveau seul Et renvoyer au manoir avec ces monstres qui nous manipulent, qui s'en foutent de nous de notre vie qui font comme si notre vie ne tenait à rien Et qu'il était libre d'en faire ce qu'ils veulent Non je n'ai pas envie de retourner.

C: ouvre les yeux et Regarde- Moi ma belle... je suis là tu es en sécurité, j'empêcherais quiconque de te faire du Mal, je suis tellement désolée pour Tous ce qui t'est arrivé

Doucement mes paupières laissent pénétrer la lumière Dans les yeux je plonge aussitôt ceci dans son Regard bleu azur son regard de loup sauvage qui ma tant faire Desiré. Un ruisseau de larmes coule sur ma joue, la tension se relâche d'un coup, mon corps entier se met à trembler. Centro me plaques contre sa torse nue parsemée de pansement refusant maintenant de me relâcher, attendants patiemment que ma pression retombe. Je sanglote et laisse cette peur quitter mes veines jusqu'à avoir épuisé mon stock de larmes.

C: eh! ça va

Moi: Oui (abaissant ma tête car je sais à quel point je suis défigurée) remet Ton tee-shirts les infirmières arrivent par là.

C: Dit plutôt que tu ne veux pas qu'elle se rince les yeux sur mon beau corps

Moi: au Moins Toi tu n'as pas perdu ton sens de l'humour après Tout ça

C: ah ça Non! Ça fait partie de Moi Et ça je ne vais pas m'en défaire maintenant

Moi: eh bien c'est super

Je me tends sur le lit et tourne la tête

C: je sais Tous namysita (je toune la tête un peu choquer) je travaille avec La police Et j'ai travaillé sous couverture afin de faire tomber le gang de Maestros Et tu es apparue... Bon j'ai un peu creusé de Ton Côté . Tu vas te Demander pourquoi Toi ? Parce que tu n'es pas comme Toutes les autres prostituer (je fronce les paupières) excuse--moi mais tu en as dans La jugeote Et tu ne te comportes pas en Tant que... entre griffe alors plus je creusais plus je trouvais des informations sur d'autres gangs donc j'en ai fait une pierre deux coups j'ai monté Deux dossiers Et Quand j'allais te déposer je m'informais et j'ai pu entrer un soir et j'ai eu à tirer des informations à une fille du manoir et là j'en ai informé mon patron Et voilà. Pour ce soir Tout ça n'était pas prévu mais nous avons préféré agir avant que ça ne  finisse mal

Moi: eh Moi maintenant je retournerais là-bas où vous allez m'emprisonner

C: Nom tu es libre

Moi: Quoi ?? Comme ça libre je ne serais pas poursuivi par tous ces gens ma famille ne sera pas persécuté

C: non calme toi... tu as été très intelligente en ne disant rien sur Ceux Qui t'on envoyer tu as été loyale avec eux donc ils se doivent de l'être avec Toi ...

Moi: mais Quoi ? (Je savais qu'il y avait un mais)

C: nous allons démanteler ce manoir

Moi: non je rêve pince moi ... prouver Moi Que c'est vrai

C: tu n'a qu'à me croire juste sur parole ( se met-il à rire )

Ils se lèvent et portent son teeshirt, je redeviens nerveux tout à coup. Qu'est-ce que ça veut dire ? Avons-nous Tous régler ? je suis libre ? Et lui Et Moi qu'est-ce qu'on fera ?

Bordel je crois que je m'égare !

Moi: donc ?? je murmure en me relevant aussi

À peine ai-je relève la têté que je sens Deux lèvres sur les miennes. Les mains de Cendro sont sur mes joues, encerclant mon visage ses lèvres se mouvant avec les miennes ses lèvres rencontrant les miennes et Tout ça Sans Que je fasse quelque chose

Je n'ai perdu alors aucun Temps à répondre à son baiser, Mais mes mains sont pendante de chaque côté de mon corps. Me reprenant, j'encercle son cou je le colle plus à Moi je veux faire dure ce moment ça fait du bien putain Sans contrainte sans rémunération derrière. Son parfum ambré imbu de sueur caresse mes narines, s'infiltrant en Moi, s'appropriant mes poumons qui s'enflamment sous cet effluve de parfum Qui me rassure.