Chapitre 86

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Je ne laisse jamais transparaître le malaise dû à sa présence, il m'intimide tellement qu'a la limite cela devient dérangeant, il est si jeune la quarantaine et déjà il a en son sein une multitude d'entreprises qui couvre son business de Drogue, il impose le respect à des hommes Deux fois plus âgés que lui. Son visage souvent de marbre et son Regard froid sont déstabilisants mais il dégage malgré lui un charme fou Qui force à l'admiration et à la crainte un homme extrêmement mystérieux, chacun de ses gestes est calculé, autoritaire avec les hommes charmeurs avec les Dames. Ses cheveux rasés, la boule à zéro sa barbe noire corbeau lui donne un aire virile et le fait paraître âgé.
Tandis que mes jambes son croisé je sens sa main droite posée sur ma cuisse il remonte vers le haut de celle-ci, je me tends légèrement à se contacte sans rien dire. Lui également ne dit rien il se contente de conduire sa main arrive près de mon entrejambe effleurer du bout des doigts mon fin tissu qui le recouvre. Je serrais pour ne pas avoir une réaction inappropriée

M: de la dentelle fine... je ne t'ai pas fait venir pour Que tu baises avec eux

Moi: pourquoi avoir Demandé à ce Que je m'habille de la sorte ?

M: on peut toujours les laisser croire Dit-il avec un sourire charmeur

Il enfonce son doigt plus profondément et fait des rondelles avec son doigt, je tourne la tête pour ressenti de plaisir, il roule à toute vitesse l'adrénaline et au summum avec lui pas de demi-mesure il gare sur la chaussée d'un endroit assez désert il descend son pantalon je sais ce qu'il me reste à faire..., je me courbe et lui fais une bonne pipe sans oublier de Tous lécher il remonte son pantalon et nous filons au rendez-vous

Trente minutes de route il gare devant une magnifique Maison . Les bling-bling ne manquent jamais à Paris. Il sort de la voiture me tend la main pour m'aider à sortir il m'avance son bras Que je prends sans rien dire sachant que la galanterie fait partie de notre rôle de ce soir. Je rentre dans la magnifique Maison Sans m'attarder sur le décor et la beauté des lieux, car Tous ici respire le luxe nous ne sommes pas seuls d'autre homme nous attendent vers la piscine Où se déroulera le dîner.

Inconnu : oh mio caro amico Maestros come estar wow wow wow cosa sono questa belisima ? (Il viens m'embrasser je crois savoir que c'est Notre rendez-vous )

M: tutto va bene, mio ​​caro amico, Julio la donna è un frutto che mangia a due

Je ne comprends pas grandes choses à leurs conversations Mais je sais qu'il parle de Moi bizarre. Nous allons nous assoir sur la table Qui es dressé pour cinq personnes il me fait signe de m'asseoir à ses côtés attend que les autres arrivent en attendant il discute en Italien avec ce vieux monsieur du nom de Julio.

Un serveur des plus nerveux vient à notre table avec une belle bouteille de vin rouge, ils nous serrent le précieux liquide dans trois verres les mains légèrement tremblantes le Regard de ses deux hommes sont aussi dur que froid Alors je comprends aisément sa réaction. Moi je les connue il n'y a pas quelques Mois et d'après ce que je sais sur lui tout le monde n'a pas le privilège de le voir donc c'est difficile quand on l'aperçoit de lui adressé la parole

Deux minutes plus tard Deux hommes nous rejoignent des larges lunettes Noires cachent leurs yeux Et ils s'avancent prudemment vers nous Tous d'eux serrent la main de Maestros Et de julio Et m'embrasse la main

M: je ne parle jamais affaires le ventre vide (une manière de dire qu'ils sont en retard)

Julio: alors on passe directement à la dégustation des plats ....cuisiniers (cria-t-il)

Tous juste dix minutent nos plats nous sont servis nous commençons à manger dans un profond silence on entend que les cuillères et les fourchettes. Nous ne sommes pas là pour négocier des contrats comme a le fait Dans les entreprises ici on joue à l'illégalité

Maison Close [En corrections]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant