Chapitre 64

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Je monte dans la limousine du Sénateur et c'est toujours un réel plaisir de ne pas me retrouver avec ses hommes dans le dos, j'arrive ici à voir la ville et les passants je rêvasse en les voyant si souriant si heureux j'aimerais tellement être ses petits corbeaux ou pigeons qu'ont nourris aux pains secs car même eux son heureux et libre ... La route est longue je ne sais à quel moment je finis par m'assoupir dans le siège ce sont les coups sur la vitre qui me réveille ...je me tire et regarde où est que je me retrouve ... au milieu de nulle part, rien ne m'indique qu'une âme vivante habite près d'ici en plus il pleut ce sont les coups de l'eau qui m'ont tiré de mon sommeil... J'essaye de me rapprocher de la fenêtre qui me séparer du chauffeur et lui demande où est-ce qu'on est

Chauffeur : on en a pour une demi-heure vous pouvez vous reposer

J'ai mon ventre qui gargouille si je savais qu'on allait mettre autant de temps j'aurais pris de quoi manger . Comme s'il avait deviné ma question il me demande de me retourner il y a un Buffet juste à côté à l'intérieur se trouve de la nourriture , je l'ouvre et voir un bon sandwich au poulet, je ne me fais pas prier pour engloutir toute cette bonne nourriture... Un champagne de grande qualité repose dans un pot je le fais sortir et sirote cette bonne boisson à bulle, une fois de plus je finis par m'en dormir cette fois c'est le chauffeur qui me demande de descendre nous sommes enfin arrivés

Nous arrivâmes donc ensemble le chauffeur et moi au chalet du sénateur Il est déjà bien tard et il fait déjà nuit. C'est un endroit est très bonne classe qui donne sur une plage de la ville dans laquelle nous allons séjourner. Je suivis donc le chauffeur, traînant ma petite valise bleue derrière moi, pour entrer dans un hall d'entrée très accueillant au sol et au comptoir recouvert entièrement d'un marbre brun de bonne qualité. Lorsqu'il nous aperçoit , un homme d'une trentaine d'années aux yeux bruns, élève le regard et nous accueille dans une française pure avec un aimable sourire. Le chauffeur s'avança donc et annonça ma venue pour le weekend avec leurs patrons Toute la conversation se poursuivit en Français soutenue digne des aristocraties

Au bout de quelques minutes, après que nous ayons finalement discuté sur ma venue ainsi que celle du patron je monte ranger mes affaires dans une chambre

Maison Close [En corrections]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant