Chapitre 41

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Je ne sais plus qui je suis... je ne sais plus où j'en suis, je ne sais plus qui je suis... je ne sais plus qui je suis.
- Prisca tu vas finalement me dire ce qui se passe, hurle ma mère à la porte.
J'entends bien sa voix qui me demande d'ouvrir cette porte. J'entends ses pleures à un certains moment, rien. Je suis couchée là inconsciente. Au fur et à mesure j'entends moins ses pleurs, sa voix et je me dit que je suis heureuse là... que l'endroit où j'irai j'y serai heureuse. Mes paupières commencent à se fermer. Je ne sais pas ce qui se passe, je n'entend plus rien, cela veut dire que je suis morte. Oui je suis sûrement au paradis avec les anges.

Une semaine plus tard.

Arianna

- Tu sais pourquoi elle a fait ça, me demande Iris.
- Elle ne s'est rien fait, essayais je de me le convaincre.
On ne sait pas ce qui s'est passé. Les médecins disent que ça peut-être une tentative de suicide ou un simple problème. On ne peut pas définir. Je ne sais pas pourquoi je suis dans cette école en train de tourner pourtant ma meilleure amie est peut-être en train de mourir.
Giulia n'arrête pas de pleurer, elle s'est isolée et ne veut parler à personne. Elle se sent coupable, car soi-disant elle n'était pas là quand tout ça s'est passé quand Prisca avait besoin d'elle.
L'autre jour à l'école il avait son amie, Caroline qui elle n'a pas voulu quitter l'hôpital et Emeric lui aussi voulait rester près d'elle.
J'espère que ce n'est pas une tentative dd suicide, car je lui en voudrais toute sa vie... toute ma vie.
Et celui-là Kyle. Je ne sais pas pourquoi il ne fait rien, c'est vrai qu'il n'est pas au courant de ce qui se passe. Sa mère me l'as dit ainsi que Giulia et les autres proches et elle nous a fait promettre de ne rien dire jusqu'à ce que Prisca puisse se réveiller. Elle ne veut pas que le nom de sa fille soit salir pas des hypothèses.
- Giulia, demande je en toquant à la porte des toilettes.
- Laisse-moi je ne veux pas parler à personne !
Je restai là, même si elle voulait que je parte.
- Pourquoi elle me l'a pas dit à moi qu'elle l'aimais, demande-t-elle en pleure.
- Parce qu'elle ne voulait tout simplement pas que tu souffres... que tu l'a vois comme une... comme la fille qu'elle ne voulait pas être, lui dis je.De plus, je ne pense pas cette histoire a eu une grande importance, si elle a fait se choix là.

Caroline.

- Faut vraiment que tu te réveille ou je te pète, tu n'as pas le droit de laisser tout ces gens derrière toi... tu as pensé à ta mère, je croyais que tu allais lui acheter une maison... une villa que tu allait lui acheter la plus belle tombe du monde à sa mort qui sera à cent ans je pensais que tu allais être la première femme à mourir à cent vingt ans. Je savais que tout ça n'était qu'un... que des mensonges, tu n'es qu'une menteuse qui ne tient pas ses promesses, terminais je avec des milliers de larmes qui coulaient.
- Caroline tu dois rentrer... tu en as déjà fait, me dit sa mère avant de me serré sans se bras.
- Elle va s'en remettre, c'est une battante, me rassure sa mère et j'y crois.

Alex.

En passant j'entends Giulia et Arianna discuter d'un truc qui a l'air de concerné Prisca et comme elle n'est pas venue depuis une semaine, je me demande ce qui se passe.
- Elle aurait pu me le dire maintenant elle se retrouve à l'hôpital, je me dis que j'aurais pu l'aider, dit Giulia.
- Tout va bien se passer, dit Arianna.
Je me demande ce qu'elle a et comme Arianna n'a pas l'air de m'aimer et ben il nf vaut mieux pas que j'essaye de savoir et comme il n'y a que deux hôpitaux je vais trouver facilement. Je me dépêche de sortir de l'école en cachette pour qu'un professeur ne puisse me voir.
- Alex... il a sonné je crois que tu devrais retourner en classe, me dit monsieur Andrews au bout du couloir.
- J'y vais, lui dis j'en essayant de m'enfuir.
- Tu ne vas pas jouer ça avec moi... tu as cours juste-là, me montre-t-il ma classe.
- Ben je vais au casier, dis j'en dévalant les escaliers.
Il m'arrêta par la main et me dit ;
- Dépose alors tes affaires je vais entrer en classe avec et oui j'ai cours avec vous.
- Okay... nous deux on sait que je ne suis pas prête a aller dans  ce cours alors, laissez moi partir.
- Tu restes ici, m'ordonne-t-il en bloquant le passage.
- Vous croyez vraiment que je vais vous écoutez... je m'en vais alors dégagez vous de mon passage !
- Si tu sors d'ici j'irai dire à la directrice que tu ne m'as pas écouter et que tu es parti et comme tu as pas mal de retenues sans compter, les retards plus les renvois, ils te diront bye de l'école et ça serait vraiment dommage pour toi, me dit-il en dégageant le passage.
- Vous êtes vraiment qu'un con... je comprends pourquoi vous avez une si belle femme et que Prisca et les autres vous aime bien... en parlant de Prisca elle est à l'hôpital et vous ne le savez même pas pourtant le jour où vous y étiez, elle était la première sur les lieux. Vous me faites vraiment pitié, je m'en vais pour elle, termine je avant de partir.
Je commence par le premier hôpital que je vu, mais elle n'y était pas, puis j'enchaîna avec le deuxième ou elle était là, mais on ne m'a pas laissé entrer.
- Je suis son petit ami, hurle je à l'accueil.
- On vous la répétez une centaine de fois, c'est juste sa famille qui peut la voir, me dit l'homme à l'accueil.
- Il y a quelqu'un... c'est ma petite amie demander à sa mère elle vous le dira, hurle je.
- Monsieur si vous continuez vous serez jeter dehors, me dit-il d'un ton ferme.
Je m'assis pour attendre si quelqu'un qui me connaissait arrive ou sort. Puis soudainement, cette fille passa, blonde, yeux brun noisette, je l'a reconnu c'était sa meilleure amie Caroline.
- Caroline, l'interpelle je.
- Oui, se retourne-t-elle.
- Je suis le petit ami de Prisca et je voulais passer pour la voir, mais mon nom n'est pas sur la liste de ceux qui peuvent la voir et je me demandais si...
- Tu es Basil, me coupe-t-elle.
- Non... je suis Alex, lui dis j'en montant une photo de moi et Prisca.
Elle me regarda dans les yeux puis elle dit à l'homme ;
- Il est avec moi.
Je me dépêcha et je vu Prisca sur le lit les yeux fermés, avec un teint pâle, la bouche et je me suis demandé si c'était vraiment elle, car la fille que je connaît, est la fille a plus souriante au monde et là... il n'y avait plus rien qu'une personne. Une facette d'elle que je ne connaissais pas.
Soudainement elle ouvrit les yeux.
- Prisca, dis j'en l'embrassant sur le front.
- Tu es qui ?
Qu'est ce que je lui dis... non c'est une blague elle ne peut pas avoir perdu la mémoire. C'est impossible.
- Prisca c'est moi... Alex, lui dis je doucement.
- Alex... Alex, je suis désolée mais... malheureusement je ne connais pas d'Alex, me dit-elle désolée.
- Tu es sûre que tu ne te souviens pas de moi... d'Arianna... de Giulia, insistais je.
- Non, je ne les connais pas, me dit-elle.
- Si ce sont les meilleures amies... ta mère tu te souviens Quand même d'elle... de ton nom aussi dit moi oui, dis je en la prenant dans mes bras.
Elle ne réagit même pas, elle n'eut aucune réaction.
- Qu'est ce qui se passe elle s'est réveillé... pourquoi tu... elle se tu dès qu'elle me vu calme, avec quelques larmes au yeux.
- Qu'est ce qui se passe ? Demande-t-elle de nouveau. Prisca tu vas bien, demande-t-elle en se précipitant vers Prisca.
- Tu es qui, demande Prisca.
Elle me regarda et dis ;
- Prisca, c'est moi Caro... tu peux oublier tout le monde mais pas moi... pas moi, pleure-t-elle.
- Qu'est ce qui se passe ici ? Demande le médecin en se précipitant vers Prisca.
- Qu'est ce qu'elle a docteur, pleure Caro.
- Elle perdu momentanément la mémoire... c'était la mauvaise nouvelle qu'on devait vous annoncer le matin.
- momentanément la mémoire, ce qui veut dire quoi ?
- Ses capacités sont toujours présents, le faite de marcher est possible, de comprendre et de parle...
- Parlez, hurle je.
- Mais elle a plus perdu au niveau des souvenirs, mais ces capacités sont toujours les mêmes... il y a eu un petit problème aussi au niveau de ces mains... heu... Elle aura des difficultés à ce remettre donc éviter de lui faire écrire ces temps-ci.
- Et pour ses souvenirs... Elle a des chances de les perdre définitivement ?
- Non... enfin oui, je ne sais pas, mais ce que je peux vous dire c'est que ses souvenirs peuvent revenir du jour au lendemain comme... il...
- Ne peuvent jamais revenir, termine je sa phrase.
Caroline me jeta un regard de colère
Ce n'est pas comme si je souhaitais qu'elle ne se souvienne de rien j'ai juste terminé la phrase médecin.

Amour Interdit Où les histoires vivent. Découvrez maintenant