Chapitre 35

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J'adore ma classe. Elle est plus que superbe. Je vais vous faire mes premières impressions sur les élèves de la classe.
Bilal ; c'est un nouveau, comme vous l'avez sûrement compris par son prénom. Il est marocain. Comment ça fait plaisir de l'avoir dans la classe. Il est gentil a premièr vu, très bruyant. Et oui a ce qui paraît, quand il est arrivé, il s'est mis en couple. Il ne perd pas de temps lui.
Il y'a un autre Orlando. Il est trop mignon, Arianna dit que je le trouve mignon parce qu'il a des traits de Kyle et moi comme d'habitude je dis non, mais faut avouer qu'il se ressemble de  un tout petit peu.
Et il y'a Arianna, Sam, et les autres, on n'est seize dans notre classe.
- Bonjour, je suis votre titulaire, vous pouvez m'appeler mon Brad, nous dit notre prof titulaire.
- Mais... normalement on doit vous appelle par votre nom de famille, dit Safia.
Safia est une fille que j'adore. Elle est drôle, franche et casse tête parfois. On peut dire que grâce à elle, mon cerveau gauche s'est amélioré.
- On m'appelle comme je veux... tu n'es pas comme même moi... si oui dépêché toi de venir donner cours de géographie, la clasche-t-il.
- Hoooooo, dit Bilal tout seul.
Le pauvre, il a cru qu'il était dans une école de fou, faut qu'il redescende sur terre.
- R.I.P Bilal, chuchote à Arianna.
On se mit à rigoler.
- Quoi ? Il y a quelque chose de marrant, si oui je veux bien que vous la partager avec moi, nous lance méchamment le prof.
Je ne sais pas pourquoi, mais quand il a lancé ce regard j'ai directement sourit... bon c'est vrai que le regard qu'il m'a lancé m'a fait drôlement pensé à Kyle. Je sais que j'avais promis de ne pas trop pensé à lui, mais je ne peux me l'empêche.
- Non, c'est juste... en faite rien, essaye de masquer Arianna.
- Okay, je me le disais bien... et toi tu ne parle pas, demande-t-il en me montrant du doigt.
Toute la classe se mit à me regarder.
- Heu... heu, je crois que Arianna à tout dit non ?
- Ouias... bon aujourd'hui vous allez me faire les présentations, nous dit-il, je me demande quand ils vont enfin prévoir un autre truc pour la rentrée que ces présentations, chuchote-t-il.
Sa phrase qu'il a chuchotée, m'a fait sourire.
- Bon décidément tu aimes bien sourire... alors parle !
Je fis un visage bouleversé.
- Présente toi, dit-il froidement.
- Mais je dis quoi ?
- Ton nom et autres trucs inintéressants.
Je ne sais pas si tout va bien dans sa vir, mais il doit se calmer... parce que ses remarques à la con me tape sur le système.
- Okay, je m'appelle Prisca Morel, j'ai 16 bientôt 17 dans quelques jours... heu je suis ici depuis ma première année secondaire.
- Bon, un truc je m'en fous que vous soyez ici depuis votre première ou deuxième année secondaire, ou encore de quand est votre anniversaire, vous avez qu'à me dire j'ai 16 ans et pas j'ai 16 ans et bientôt dix 17 ans.
Okay, maintenant je connais le prof avec lequel je ne vais pas du tout m'entendre. Ça c'est cool.
- Aller à toi, vas-y, il le dit à Arianna.
Tout le monde fit sa présentation, puis la sonnerie retentit ce qui marqua le début de la récréation.
On se dirigea tous vers la sortie, tous les élèves étaient très content de sortir de se cours. Le pire c'est qu'il nous donner math, donc ce qui est à l'équivalent de six heures pas semaine.
- Alors explique ce qui s'est passé pendant les vacances, me demande Arianna en marchant par derrière.
- Ben, je t'ai déjà expliqué que mes vacances c'était bien passé !
- Mais non, je ne parle pas de tes vacances, je te parle de Kyle et toi !
- Quoi Kyle et moi ?
- Ben, ...il s'est passé un truc entre vous deux je le sais.
- Non, lui répond je avec un sourire dans le coin.
- Si avoue, continue-t-elle.
- Non, il...
- Attend justement en parlant de lui, dit-elle quand Kyle passa côté de moi.
- Je m'en fous, je t'es déjà dit que je n'étais pas amoureuse de lui... enfin je ne le suis plus depuis les vacances.
- Ouais, c'est ça, fit-elle semblent de me croire.
Je me mis à observer Kyle, ses moindres petits gestes, puis je remarqua quelques choses de bizarre sur sa main, il ne portait plus sa bague. Elle avait disparu. Qu'est ce que cela veut dire ?  Peut-être qu'il la juste fais pour un jour, il ne faut pas en faire tout un drame.
- Tu as l'air toute pâle, remarque Arianna.
- C'est vrai ?
- Ouais... Kyle a retiré sa bague de mariage... il s'est passé quelques choses pendant les vacances, là je veux savoir, aller balance !
Si seulement il s'était passe un truc au point où il retire sa bague, pour moi, j'aurais été heureuse... et je pense un peu triste.
- Non, rien ne sait passer, je suis...
- Non, arrête... il s'est passé quelque chose, peut-être tu n'es même pas aller en vacances avec tes parents, mais tu est parti quelque part avec Kyle.
- Crois ce que tu veux, je m'en fous, lance je énervé.
Je ne pourrais jamais lui raconter ce qui s'est passé pendant les vacances, je ne lui fais plus assez confiance à vrai dire je la reconnaît plus. J'ai envie de garder cette histoire pour moi... ou continuer à lui mentir. C'est subit mon manque de confiance pour Arianna, mais je ne sais plus qui j'ai face de moi. On ne dirait pas un vieux couple.
- Voilà madame Garcia, dit Arianna en voyant la prof d'anglais..
- Bonjour les filles, dit-elle.
On lui fit un sourire. Puis la sonnerie retenir de nouveau, mais cette fois pour qu'on n'aille en cours.
- Tu veux qu'on sèche, demande je à Arianna.
- Okay, je veux bien tout faire avec toi, mais je ne veux pas sécher les cours, et pourquoi tu ne veux pas mouiller les cours, plaisante-t-elle.
- Hahaha... c'est drôle, dis je froidement. Si tu ne veux pas, moi j'y vais. Tu diras au prof que je suis chez les éducateurs... non dit lui que je suis parti pour demander un truc à ma sœur, dis je avant de partir.
- Tu vas le regretter, me lance-t-elle.
- Je sais... bise.
Bon pour faire croire un mensonge à l'école, on doit faire la moitié de ce qu'on n'a menti. Par exemple, aller voir ma sœur lui parler un peu, puis aller traîné dehors et après arriver plus tard et dire qu'elle m'a dit ce que j'allais faire pour boire mes médicaments ou me donne une serviette de règle. ///Bon je ne sais pas comment on appelle ça///. J'ajouterai qu'il y'a eu des complications au toilette et voilà, mise à par ou il me demande qu'elles étaient les complications, je ne serais pas quoi dire. Mais je ne crois pas qu'ils vont aller aussi loin.
Je vais à la porte de la classe de ma sœur et je toque.
- Bonjour, puis je voir ma sœur, demande je à notre ancienne prof de géographie.
- Tu as une sœur dans cette classe ?
- Ouais, c'est Angels.
- Angela... il y a quelqu'un pour toi.
Elle se leva.
- Donc vous êtes sœur ? Redemande la prof.
- Demi-sœur, plus précisément, dit Angela.
La prof ferma la porte et Angela et moi on sortit.
- Pourquoi tu as dit qu'on n'est demi-sœur ?
- Parce qu'on l'est, non ?
- Si on l'est, dis je froidement.
- Qu'est ce... regarde qui est là, dit-elle
Je me retourna pour voir qui c'était, j'aurais aimé que ça soit Arianna, toute personne qui existerait, mais pas lui et elle, Kyle et la prof d'anglais était en train de se parler très collé. On aurait dit qu'ils s'embrassent.
La première émotion que j'ai ressenti était le dégoût, puis la colère, puis les larmes se sont accumulées. Souverainement je senti une goutte de larmes. Je me précipite directement vers les toilettes.
- Prisca, m'appelle Angela.
- S'il te plaît laisse moi... tranquille, essaye de dire en larmes.
- Alors ce n'est pas Alex que tu aimes, mais c'était lui, comprend-elle.
- ...
- Et Basil... tu l’aimes encore ?
Quand elle m'a posé cette question, je compris tout aussi à mon tour. Elle est la petite amie de Basil, déjà y'a son nom, puis le fait qu'elle me pose des questions en rapport avec Basil.
Après les cours je rentre me reposer un peu.
Le matin j'ouvre mes yeux et je me rend compte que je n'ai pas envie d'aller à l'école. Donc je me replonge dans ma couverture.
- Prisca ça ne va pas se passe comme ça, me réveille ma mère.
- Putains, laisse-moi tranquille tu n'as rien à faire ou ça se passe comment, m'énerve je.
- Tu ne me parle plus jamais et à grand jamais sur ce ton... okay, s'énerve-t-elle.
On se laisse un moment et puis je dis :
- Okay... alors c'est quand que vas travailler.
- Bientôt... mais faut que tu arrêtes de ne plus aller à l'école, me dit-elle en rangeant mes affaires.
- Mais je suis malade.
- C'est ce que tu m'as dit hier... d'allier je ne sais pas pourquoi tu n'as plus voulu continuer a y aller.
- Parce que comme je t'ai dit, j'étais malade.
- Ne joue pas ça avec moi, tu n’es pas malade. Je ne sais pas ce qui s'est passé à l'école, mais je sais que c'est pour cette raison que tu veux plus y aller.
- Ben si tu savais que je mentais pourquoi tu m'as laissé rester à la maison ?
- Parce que je suis une maman cool, me dit-elle avant de fermer la porte.
Si elle pouvait tout simplement comprendre ce que ça fait de tomber amoureuse d'une personne qui n'en a rien à faire de nous ? Avec qui rien ne peut se passer sans conséquence ?
Je crois qu'elle n'a jamais vécu ça, car dans sa tête ça toujours été mon père même quand il a quitté. Elle n'a pas cessé de l'aimer et avec mon père ça toujours été sans problème si je m'en souviens bien, même maintenant après leur divorce, ils se parlent bien et sont très proches, je dirais même que je suis sûre qu'ils ont encore des sentiments l'un pour l’autre.
Mon téléphone se mit à sonner, et c'était Arianna.
- Qu'est ce qui se passe, tu as changé d'école... si oui je ne te parlerai plus.
- Mais arrêté un peu, si j'avais changer d'école je t'aurais prévenu... je m'en fous que tu ne me parle ou pas, dis je énervé.
Puis elle raccrocha directement.

Arianna.

Prisca est devenue insolente. J'ai l'impression qu'elle me fait plus assez confiance et que tout sera plus comme avant.
- Madame Flavine, on rêve, me coupe le professeur de formation humaine de mon rêve.
- Non... pas... non, bégaye je.
- Mais monsieur vous pouvez quand même nous appeler par nos prénoms non, demande Tony. En plus de cela, ce n'est pas bien de couper les gens de leurs rêves, continue-t-il en me lançant un sourire.
Il a un si joli sourire, son regard aussi et j'adore aussi sa façon de me défendre. Oui je suis en train d'avoir des sentiments pour lui. Flo n'est plus d'actualité. On n'a rompu et cette fois pour toujours. On s'est promis de ne plus s'en souvenir, d'allier je ne verrais pas comment je pourrais m'en souvenir, car il a changé d'école donc ce qui facilite encore les choses.
- Tu es sérieux toi, dit Sam à Tony.
- Quoi, s'énerve Tony, tu as un problème avec le faites que je défende une meuf ?
- Non ! Mais le sourire que tu lui as lancé, dit Sam à Tony.
Soudainement, j'ai eu envie de crier ta gueule avec un tu ne sais pas te mêler  de tes affaires à Sam, mais je ne l'ai pas fait.
C'est déjà la fin des cours tous les élèves sortent et quand j'arrive devant ma porte qui mène aux les escaliers, je vois Sofia avec son visage tout mignon.
- Alors cette année tu as décidé d'ignorer tout ceux qui ne sont pas dans ta classe ou ça se passe comment, m'arrête Sofia.
- Mais si je t'avais reconnu et si je voulais t'ignorer, tu ne m’aurais même pas vu passer, dis un peu versée.
Je suis un peu versée de savoir qu'elle est revenue. Ce n'est pas celle que j'aime le plus. J'aurais tellement aimé que ça soit Giulia ou Flore, mais attention je ne dis pas que je la déteste, ou que j'aime les autres plus qu'elle c'est juste le faite que parfois elle me fait chier et le fait qu'elle soit trop mignonne. Voilà je l'ai avoué... bien sure je rigole.
- Alors comment ça se fait que je t'ai pas vu en classe, lui demande je.
- Ah oui, j'ai changé ma spécialité... mon options, je suis allé en littérature renforcée.
- Ça existe ça ?
- Ben oui... tu es conne, lance-t-elle en m'ouvrant la porte.
- Alors les filles où est Prisca, demande le nouvel éducateur.
- Elle est chez elle...
- Mais normalement, vous devez obtenir ces informations de son frère pas d'Arianna, me coupe Sofia.
Voilà pourquoi elle est chiante avec l'organisation de ses phrases qui te fais passer pour un conne. Quand elle parle, c'est naturel et moi dans l'histoire je me sens comme une inutile.
- Tu ne t'es pas dit que j'avais déjà demandé à son frère et que je voulais voir si la même version correspondait, la clasche-t-il.
- Oui...
- La prochaine fois, ne coupe pas les gens sans savoir ce qu'ils veulent dire, lance-t-il avant de partir.
- Putains, il fait chier cet éducateur, lance-t-elle.
- Ouais.

Prisca.

Je suis couchée sur mon lit a pleurer pourtant y a plein de mec dehors. Comme je ne vais pas à l'école aujourd'hui,  pourquoi ne pas en profiter pour sortir, en plus quoi, ici, il y a quand même des beaux mecs. Il faut juste que je relève mes fesses de ce lit que je m'habille bien et c'est tout, quoi je vais pas rester toute ma vie à pleurer Kyle. Maintenant il me faut juste de la volonté, et je l'ai !

Amour Interdit Où les histoires vivent. Découvrez maintenant