Partie sans titre 4

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la semaine suivante, mon employeur m'a demandé de faire une livraison spéciale : une radio.

Je devais la livrer le jour même sans délais. Nous étions un lundi. Pour une fois j'ai pris le chemin le plus court. plus vite j'en avais fini, mieux je me portait. J'avais eut tort car quand je suis arrivée, je n'avais pas eut le temps de poser la radio au sol que j'étais attaquée par les forces américaines. 

les balles se dirigeaient toutes vers moi, aucun résistant en vue, j'étais bel et bien visée. J'ai sortit mon arme et j'ai tiré sur un sniper qui me visait la jambe. Juste la jambe,  à l'artère principale pour m'offrir une mort lente et douloureuse.

je me cachais derrière une vielle carcasse de voiture. Là encore, aucun héro pour me sortir ce cette situation

La radio était encore en état de marche, mais je ne donnais pas cher de ma peau si je ne me cachais pas dans les trente secondes. Il y avait une bouche d'égout sous la voiture, je me faufilais et j'atterrissais dans une montagne de déchets, j'étais littéralement dans la mouise.

Je m'éloignais le plus possible de la base et du lieu de l'embuscade avant de remonter dans la périphérie. Je n'avais pas put remplir ma mission, mais l'absence de réaction montrait qu'il n'y avait plus personne dans la maison. Ils avaient déménagés avant l'attaque.

De retour chez mon boss, je le préparait à sortir de la ville pour disparaître dans un minuscule petit village mexicain dont même les habitants ne savent pas où ils se situe exactement sur la carte. Mon patron m'a fait appeler il ne fut pas long à deviner que je partais, et ma donné l'adresse de la nouvelle base en riant. Il avait oublié de me la donner la première fois, l'humour des chef de cartel, je vous jure.

Je suis partie à la seconde adresse avec l'envie très prononcée de casser du résistant. J'ai frappé à leurs porte et remis le paquet en main propres en lançant un regard noir à tous ceux que je pouvais apercevoir dans la pièce.

je m'apprêtais à prendre le large lorsque deux gang on commencés à se tirer dessus. Comme si une seule fusillade n'avait pas suffit !

Un homme m'a attrapé par le bras pour m'emmener à l'intérieur; je n'aime pas trop qu'on me force la main alors je l'ai frappé. Il m'a maitrisé par réflexe, il semblait avoir une formation militaire, mais quand j'ai reconnu Leonardo Reyes le résistant et ex militaire de l'EDA qui à une prime plus élevée que la mienne.

Tous le connaissait et voyaient en lui un héros, moi je voyais la trahison et le narcissisme. Il avait tout de même prétendu être le plus beau des résistants de l'EDA, mais vu la tronche de certains autres, il n'avait pas tout à fait tort.

Dès qu'il m'a maitrisé, il à pris le soin d'enlever mon foulard, seule chose qui empêchait le reste du monde de savoir qui j'étais. J'ai trouvé comme seule solution pour dissimuler mon identité  d'aplatir ma face contre le sol.

Mon amour propre m'avait quitté depuis le jour où mon cousin m'avait forcé à aller à l'école toute nue le jour de mes onze ans. Juste pour le plaisir de m'humilier devant ma classe.

J'ai arrêté de bouger et au bout de quelques secondes, Leonardo à relâché son étreinte. Je me relevai et je prenais un mouchoir dans ma poche pour cacher mon visage. J'avais un peu l'air d'un ninja, mais ça valait mieux qu'une vingtaine de résistant sur le dos me demandant de les aider dans leurs lutte contre le pouvoir.

Je me dirigeais ver la porte lorsqu'un petit garçons m'as agrippé le pantalon avec un regard me suppliant de ne pas partir. Je l'ai éloigné et je suis sortie

"Héros"Where stories live. Discover now