chapitre 24

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Je me mis a trembler de panique et de peur. Le flacon tomba subitement de mes main pour atterrir au sole. Au début je me crue devenir fous. Je me dit que a l'approche de la fin je me mettait a hallucinée. Mais je pensait alors au jour ou ma mère ma révélé ma véritable identité. Je me remémore la foi ou mon père ma regarder de ces yeux rouge sang et ou la plein lune ma transformé en un loup blanc. Et la tous me frappa d'un seul coup. La raison pour laquelle Emma voulait me garder en vie ! Et le faite que j'avais des n'ose matinale. C'était parce que.....

Moi-Je suis enceinte !?

Je soupire d'effroi en prononcent ces mot. Je mis une main inconsciemment sur mon ventre encore plat.

Moi-Mais ces impossible ! Comment ?

Je me précipite alors dans la salle de bain. Et me regard dans le miroir. Comme si cela pouvait me donner des réponses. Mes yeux était couver de cerne bleuâtre. Mes cheveux était en bataille. Je portait comme tous les jour depuis que je vivait ici, une chemise blanche beaucoup trop large. Et un pantalon pyjama blanc. Emma le savait ! Elle savait se que j'avais. Et ces uniquement pour cette raison quelle voulait m'épargner. Mes larme se mit subitement a couler sans que je puisse les contrôler. A ce moment la il n'y avait plus de colère. Simplement de la tristesse aussi pur soit-elle. Mon cœur me fit atrocement mal. J'étais comme perdu, désemparé. Je chercher une solution mais ne trouvait rien qui puisse me sortir de ce pétrin dans lequel j'étais. Je me sentit a la foi nauséeux perdu et a la merci du monde qui m'entourait. En se moment je me mit a  penser très fort a Ethan. Je souhaitait qu'il puisse être là, juste a mes côté. Tous a coup je fit brusquement interrompu par un bruit assourdissants suivit d'une légère secousse. C'était comme si une bombe avait explosé ! Au même moment une alarme retenti dans tout l'habitacle. Les lumière disparu pendant un laps de temps avant d'être remplacer par des néons de lumière rouge.

Moi-C'est quoi ce bordel ?!

Peu être un générateurs de secoure ? C'était sans doute juste une panne d'électricité ? Je sortie de la salle de bain. Les pilules était toujours au sole. Je me penchait pour les ramasser et les mit dans la poche avant de ma chemise. Ma panique me repris. J'essuyé les larmes de mes mains tremblants. Je me précipitait devant la porte afin de l'ouvrir mais je me rappeler que le verrous était fermée. Il y avait des cries en bruit de fond. Et d'après les sons certain courrait dans les couloirs. Tous a coup je me sentie comme fiévreux. Le bout de mes doigt se mit a me démanger de façons extrêmement dérangeant. Une douleur pulser au niveau de mes canines. Je vie mes ongle pousser a une allure folle pour ensuite devenir des griffe acéré. Et ces la que l'évidence me frappa. Se soir était la pleine lune. Des coup à la port me pris par surprise. Je fit un pas en arrière, puis deux. Et la port s'ouvrir violemment venant se percuter sur le mur opposé. Laissent le verrous de la serrure complètement casser sur le sole. Deux hommes que je ne connaissait pas était devant l'entrée de la chambre. Il avait tous comme moi des cros ainsi que des griffe aussi tranchants que les mienne. Pendant une fraction de seconde je me mie a réfléchir sur mes chance de pouvoir les affronter, mais je me rendue bien vite compte que je faisait pas le poids contre deux loups garous. Il n'y avait aucun moyen pour moi de me sortir de la. A se moment la je me sentie impuissant et faible. Les deux hommes me pris de chaque côté par les bras. C'était a peine si mes pied arrivait a toucher terre. Au début je me débattu du mieux que je pu. Mais malheureusement pour moi ils était bien trop fore. Je leurs dit de me lâcher. C'était comme si je n'existait pas. Je hurlait, mais personne ne me prêta secoure. J'étais peu être tous simplement condamner. A quoi ? Je ne le savait pas moi même. J'ignorais ou ils pouvait bien m'emmener. Ou bout d'un certain temps a essayer de me débattre je me sentie fatiguer. Ma tête me faisait horriblement mal. Comme si quelque chose tirez a l'intérieur de moi. Sent même ment rendre compte nous fume sur un toit. Je présumait celui de l'immeuble ou je résidait en tant que prisonnier. Il y avait une piste d'atterrissage pour hélicoptères. Il y en avait un juste en face. Comme si il m'attendait. Et la je me débattue en utilisent le reste des forces qu'il me rester encore. Ils voulait m'emmener loin d'ici, alors soit, je décide de ne pas rendre les choses plus facile quelle ne l'était déjà. Je me battrait jusqu'au bout ! L'un me mie un coup de point bien placer sur l'œil droit. Cela me fit mal. Mais au lieux de crié je lui grognait dessus. Je voulait qu'il sache que je n'avait en aucun cas peur de lui. Un autre coup partie en pleine sur ma mâchoire. Je sentais mes ongles se rétracté, la douleur me donner envie de tomber dans les pommes. Mais je tenue bon. Et le gout de la colère ainsi que celui du sang sur ma langue me donnait envie de vomir et me permettait de rester encore conscient. L'un affichait un sourire satisfait comme si il était content de se qu'il voyait. Je le trouvait répugnant a souhait. Un instant il était la, puis je fut plonger dans le noire complet. Il venez de me mettre un bandeau sur les yeux. Je fut pris de panique. Alors je pris une grand inspiration afin de garder mes sans en éveille. J'entendis les élise en marche de l'hélicoptère. Mon coeur battais si vit que j'avais l'impression qu'il se trouvais juste au fond de ma gorge. Je sentie deux mains se poser sur chacune de mes épaules pour me guider. Mais tous a coup il y eu des grognements venant de tous les côtés. Ma panique revint plus vif, plus fort que la précédent. Mais je sentie quelque chose de familier. On entendait des bruit de bagarre puis les mains sur mes épaules disparu pour être remplacé par d'autre. On me retourna de façons précipité et cette odeur.....je la reconnu ! Cette odeur de chez moi.  Et ça me fit mal mais de la bonne façons. Je crue a un rêve mais j'avais toujours mal a la mâchoire et on ne sens pas de douleur dans les rêve. Puis le bandeau me fut retirer. Et je le vie. C'était plutôt flous au début. Mais ça se fit plus claire, plus limpide. Il était la, juste devant moi comme si je ne l'avais jamais quitter. C'est yeux était rouge sang. Le regard perdu, désorienté. Il observa mon visage comme si c'était la premier foi. Il me pris dans ces bras. Et je fit de même. Je laisser alors mes larmes couler. Ce n'était pas triste, c'était pas de la colère. Cette foi ci se fut juste du putain de soulagement. Le soulagement que Ethan mes enfin retrouver.

le secret du loupOù les histoires vivent. Découvrez maintenant