Corde Raide [RivaMika]

6 - Etre plus sociable

NOTE AUTEURE : voili voila là suite ! 

Bon je ne vais pas vous saouler longtemps avec mon bla bla. Parce que j'ai tendance à être une vraie pipelette parfois XD

Déjà, je vous remercie énormément pour tous vos petits mots adorables pour le dernier chapitre mais également pour ceux qui m'envoient des messages en MP et dans l'autre fiction. Vous êtes au top c'est juste superbe de votre part. C'est tellement encourageant et touchant vraiment ! Encore merci mille fois d'être présent pour suivre cette histoire :) ! 

Je fais une petite note clair pour que tout le monde soit au même niveau dans les infos. Quand je disais que j'allais publier de façon irrégulière c'est plus du genre : je poste quand je peux. 

Je peux malheureusement pour le moment ne pas vous dire mieux, mais je fais tout mon possible pour poster le plus vite possible tout en essayant de vous délivrer un chapitre correct et non bâclé. Encore une fois, désolée pour cette attente, mais je ne lâche pas l'histoire.  Sur ce je vous souhaite un bon chapitre ! :) 

Il m'a également été demandé de mettre le nombre de mots par chapitre donc, je m'efforcerai de le faire à chaque fois :)  

N° DE MOTS : 5834.

CHAPITRE 6

Mikasa laissa son regard balayer la chambre et les yeux de la jeune asiatique s'écarquillèrent d'admiration. Tout était si beau et si propre. Même l'odeur était incroyable. Elle se permit d'inspirer discrètement en lorgnant chaque parcelle de pièce.

Elle n'avait jamais rien vu de pareil et elle n'arrivait pas à croire qu'elle marchait pieds nus sur cette moquette. A cette pensée, elle recroquevilla ses doigts de pieds en savourant le contact si doux avec ce sol inédit pour elle. Elle laissa son visage se baisser et observa le contraste entre sa peau si pâle et le rouge vermeille de la moquette. Cela aurait peut-être joli si elle ne détestait pas la couleur si clair de sa peau.

Je ressemble à un cadavre, songea-t-elle avec amertume alors qu'elle lorgnait d'un mauvais oeil ses veines apparentes qui serpentaient sous son épiderme.

— C'est petit pour deux, mais on devrait s'en sortir, asséna-t-il d'une voix neutre tandis qu'il l'observait.

Elle avait l'air émerveillé et elle ressemblait à une enfant qui découvrait ses cadeaux de Noël. Cela n'était qu'une simple pièce rangée et propre, mais pour elle, c'était comme si on venait de lui proposer l'Eldorado. Livaï l'inspecta du coin de l'œil et eut l'impression de se revoir quand il avait découvert cette chambre pour la première fois. Lui qui avait connu les bas-fond, il savait quel effet cela pouvait avoir sur quelqu'un qui n'avait connu que très peu le confort.

Il jeta sa cape verte sur le canapé de la pièce et poussa un bref soupire en détournant son regard de la jeune femme. Il était épuisé et il n'avait aucune envie de parler très longtemps avec elle. Il se demandait encore ce qui lui avait prit de faire une telle chose et il maudissait Isabel de l'avoir obligé à s'ajouter un poids dans sa vie alors qu'il chérissait tant sa solitude. 

Isabel le remerciera très certainement un bon nombre de fois quand elle apprendrait la nouvelle et Erwin serait sans aucun doute plus sévère mais, il ne voulait pas y penser. Pas maintenant, tout comme il ne voulait pas subir le regard intrigué et observateur de Farlan. Son cerveau était comme martelé de coups et Livaï ne désirait qu'une seule chose : le mettre en arrêt. Il passa une main sur son visage et il se rendit compte que la jeune femme restait planté au milieu de la pièce à l'observé comme un chien qui fixait son os. Cela le fit se redresser davantage alors qu'il lui jeta un bref regard ennuyé avant de lui dire :