Elle n'est pas de ceux qui s'apitoient,
En observant la cour des Rois.
Mais elle se sent un peu seul aujourd'hui,
Autant qu'hier, peut-être même plus cette fois-ci.
Et Aujourd'hui, devant les lames déchaînées.
Elle pense à la douce liberté des courants.
Au profond et immense sommeil rassurant.
En écoutant la symphonie des robinets mal fermés.
Alors peut-être que si elle l'écrivait.
Si elle arrêtait d'y penser,
Que le mal se soignerait.
Les maux des sombres pensées.
Le sang n'est pas une solution, elle le sait.
Mais c'est alléchant que d'y songer.
Et si sa fin n'est qu'un début,
Si jamais cette paix n'existait plus.
Même les feux incandescents vaudraient mieux que ce silencieux solitaire.
À Gabrielle, dans quelques temps.
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JAZZ FUCK and WINE
RandomUn énième recueil, mais pas de poèmes, Je suis un nullard pour les poèmes, Juste des petites nouvelles qui, je sais que c'est cliché mais, me passent par la tête. J'aime pas trop ce genre de résumés niais et pourtant j'en fait un. À croire qu'on est...
