Un nouveau travail - Chapitre 130 - Des bonnes retrouvailles.

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Je suis toujours dans la chambre d'hôtel de Kev, allongée sur son lit avec lui même, allongé sur moi. On est en train de s'embrasser et de se câliner depuis un bon petit moment maintenant. Je ne porte déjà plus mon pantalon mais par contre, j'ai toujours mon t-shirt ainsi que mes sous-vêtement alors que Kev, lui, est en caleçon depuis le début, en même temps, il était déjà comme ça quand je suis arrivée dans la chambre.

En arrivant sur Toulon, je e savais pas du tout que mes retrouvailles avec Kev allait se passer comme ça. On était plutôt parti pour se disputer un peu, enfin, je voulais surtout des explications et je dois avouer que j'avais un peu peur de ses réponses et voilà que finalement, tout va pour le mieux entre nous et qu'on en train de profiter de nos fameuses retrouvailles, bien comme il faut.

Je ne regrette pas du tout de lui avoir fait cette surprise et je ne dis pas ça seulement pour ce qu'on est en train de faire même si moi aussi, j'ai de plus en plus envie de ce câlin, je dois dire aussi que je suis très contente de l'avoir retrouvé et que maintenant, on va pouvoir profiter à fond de ce petit séjour ici à deux, même si on repart déjà demain, ce n'est pas si grave, on aura tout le temps d'en profiter quand même.

Il a une de ses mains au niveau de ma taille, l'autre sur ma joue et toujours ses lèvres collées contre les miennes et voilà que tout e m'embrassant, il vient glisser sa main le long de mon corps pour ensuite s'arrêter sur ma taille. Il attrape mon t-shirt de chaque côtés, le remonte tout le long et me le retire en un rien de temps pour ensuite, le jeter près de mon jeans qui lui, est par terre depuis un moment, déjà.

Il ne s'arrête pas là, il vient glisser une de ses mains dans mon dos pour ensuite me dégrafer mon soutient-gorge en une fraction de seconde seulement en utilisant rien que deux de ses doigts, ce qui est assez impressionnant.

Il vient alors me regarder droit dans les yeux, je ne dis pas un mot, je me mets simplement à le regarder en lui lançant un regard du style « sérieux ? Aussi vite ? », il me regarde et me sourit.

Kev : Ouais, je sais, j'ai fait ça toute ma vie.

Alors là, cette phrase ne tombe pas du tout au bon moment. Il s'apprête à me retirer mon soutient-gorge sauf que je viens le stopper au même moment. Il est hors de question que je fasse quoi que ce soit avec lui après avoir entendu ce genre de phrase sortir de sa bouche.

Moi : T'es sérieux ? Tu me balances ça comme ça, toi ?
Kev : C'est pour rire, Lisa.
Moi : Ouais, bien sûr.
Kev [rigole] : Je te jure que j'ai dit ça pour rire.
Moi : Ouais bah même pour rire, c'est complètement débile.
Kev : Ouais je sais ..
Moi : Tu ne me donnes plus vraiment envie d'aller plus loin, là ..
Kev : Non allez, s'il te plaît .. Je suis désolé ..
Moi : ...
Kev : On ne va pas s'arrêter là, quand même ? Je sais que t'as envie de moi.
Moi : Non, plus tellement.
Kev : Je peux peut-être te faire changer d'avis et me rattraper, surtout, non ?
Moi : Non, je ne crois p..

Je n'ai même pas le temps de terminer ma phrase que Kev revient immédiatement s'allonger sur moi tout en plaquant à nouveau, ses lèvres contre les miennes. Je m'apprête à le repousser sauf qu'il m'attrape les mains au même moment pour ensuite venir les bloquer au-dessus de ma tête, je ne peux plus vraiment me débattre.

Après m'avoir embrassé pendant un petit moment, il vient glisser sa tête dans le creux de mon cou pour ensuite m'embrasser de partout et là, c'est vrai très dur de lui résister.

Moi : Kev ..
Kev : Mmh, tu disais quelque chose, non ?
Moi : Non rien .. Continue ..

Il ne dit plus rien et se contente simplement de m'embraser encore et encore. Même si je n'ai pas trop aimé la petite phrase qu'il a lancé, je dois avouer que je ne peux vraiment pas luter contre ce qu'il est en train de me faire .. J'adore tellement ses baisers, j'aime tellement sentir ses lèvres contre ma peau .. Il a parfois le don de m'énerver mais il a également le don de me remotiver, si on peut dire ça comme ça ..

Un nouveau travail. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant