Chapitre 46 : Enlèvement.

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PDV MARIE

lorsque j'ouvris les yeux, un mal de tête me frappa violemment,ma vue était encore un peu flous, mais je pus facilement remarquer que je me trouver dans un endroit peu éclairé, je me redressa doucement, attendant que ma vue redevienne normal, je me trouvais actuellement dans un pièce assez petit, cela ressemblé à une cellule, la porte en face de moi était une porte en acier mais je remarque que la petite fenêtre encrée dans le mur, était décoré de jolie petit barreau,je retire la mince couverture qui me couvrait et remarque que ma jambe était soigner et même bander.

Cependant j'étais seule dans cette pièce, je me leva sans grande difficulté, quand les événements de la veille me font face, je commence aussi tôt a paniquer, je n'ai plus d'armes sur moi et Daryl n'est plus là. Dans quoi je me suis encore fourrer moi!

je cogne violemment à la porte bien décider à sortir d'ici, et de savoir ou ils ont emmené Daryl.

-PUTAIN! Sal fil de pute tu va m'ouvrir cette putain de porte oui ou merde! criais je en donnant coup de pied et coup de poing dans la porte qui au passage ne bougea pas d'un poil

je m'énerve d'avantage, quand soudain la porte s'ouvrit et deux hommes se présente devant moi. Je leurs fait face, l'un à une barre en fer dans ses mains alors que l'autre à un taser.

- qu'est ce qu'elle à a gueuler comme sa la fillette, on devrait la calmer dit le mec au taser.

Je souris, et balance ma jambe en  l'air, je tape violemment dans son poignet, la surprise le fit lâcher l'objet, qui partit glisser quelque mettre plus loin, l'autre homme essaie de me frapper à l'aide de sa barre de fer mais je saute par dessus, faisant une pirouette sur le coter je ramasse le taser, le premier homme m'attrape par la gorge et m'étouffe avec violence, je lui plante le taser dans le bras et lui lance une décharge assez forte pour qu'il s'évanouisse, alors que le deuxième homme levait sa barre sur moi je roule sur le coter et me relève vivement avant de sortir en courant de la salle et de les enfermer.

je me retrouve dans un couloir, pas une seule personne à l'horizon, je remercie internet pour ses cours de self défense, et me dirige avec hâte dans le fond du couloir, ou ce trouve la seule porte qui puisse me faire sortir d'ici, je pousse cette porte et longe les murs, je ne croise heureusement personne, et cherche désespérément après Daryl.

PDV Narrateur.

Dixon quand à lui était enfermer dans une salle attacher à une chaise, mais contrairement à Marie, lui n'était pas seule, non, un homme assez sévère au regard de glace, accompagné d'un sourire qui donne froid dans le dos,  il était là regardant les multiples écrans présent devant lui, il faisait les sans pas les mains jointe derrière son dos droit, son sourire ne le quitter pas.

-Ta copine s'en sors plutôt bien...

-Ce qui n'est pas le cas de vos hommes

Daryl le regarde avec haine, même si lui même était surpris, par la force et l'habilité de Marie, il l'a voyait agir comme une pro de l'espionnage, ce qui le fit sourire légèrement.

-Nous verrons sa... dit il amusé, il porta le talkie-walkie à ses lèvres.  Allez cherchez mon joli petit chaton dans le bloc C.

- Elle vous filera entre les doigts...ne la sous estimez pas

- j'en doute fort, nous avons quelque chose qui l'intéresse. ria t-il sadiquement

PDV MARIE

alors que je marchais dans les couloirs, je vis un homme assez grand s'approchait de moi, je rabattis ma capuche pour pas que l'on me repère et décide de rebrousser chemin seulement un autre homme assez imposant se diriger vers moi, oups je suis dans la merde et jusqu'au cou.

L'homme était devant moi, il faisait au moins 2 mettre, et avait la peau noir, et le crane rasé, il me prit le bras avec douceur et me chuchota

-Je viens t'aider... il regarda, son collègue. C'est bon je me charge de la ramener au chef.

Je vois l'homme hésiter puis partir, voyant qu'il ne faisait pas le poids à riposter contre une tel masse.

-Je m'appelle John Coffé, comme le café mais sa s'écrit pas pareille

je souris, il était gentil, on dirait un gros nounours.

-Moi c'est Marie Cooper

- je vais vous faire sortir toi et ton ami.

PDV Narrateur.

- Ta copine n'a aucune chance face à coffé, c'est l'un de nos meilleures membres.

Dixon se rendit compte que sa belle était prise au piège avec ce type, mais john coffé avec sa taille caché se qui se passait vraiment au camera. Dixon resta alors silencieux est fixa les écrans un à un voyant sa belle se rapprochait de la salle ou il se trouver alors que le chef semblait très ravis.

PDV MARIE

nous rentrons tout les deux dans une salle, et là je vis Daryl attaché et vachement bien amoché, je me sentis rassuré de le voir envie mais tellement frustré de ne pas pouvoir le toucher alors qu'il était qu'a quelque mettre de moi...

- tiens tiens voila mon chaton

je tourne la tête vers l'homme est remarque alors qu'il a un oeil blafard. Je retiens ma respiration en sentent ses mains se poser sur moi, un  élan de dégout me parcourut le corps entier.

-NE LA TOUCHE PAS! cria Daryl menaçant.

- et si on s'amusait un peu tiens

sans que je ne puisse réagir, les mains étant lier derrière mon dos, il prit mon menton violemment entre ses doigts et m'embrassa de force, il me faisait mal et força le passage de mes lèvres pour venir se réfugié près de ma langue, je sentis mon coeur battre, j'avais mal , les larmes coulait sur mes joues, je ne voulais pas qu'il m'embrasse et encore moins devant daryl, cependant je prier pour qu'il en reste là et n'aille pas plus loin, mon noueux à l'estomac ne faisait que s'accroitre et j'avais peine à respirer entre mes sanglots et ce baiser qui me donner des haut de coeurs, j'entendais Daryl devenir fous, et hurler tout sorte d'insulte à son égare, voir même des menaces, des menaces de morts, Daryl le tuerait sa j'en était certaine, je le connais que trop bien pour savoir qu'il ne faut pas me toucher et encore moins devant lui, cela signifié tout bonnement signer son arrêt de mort.

sans que je ne puisse réagir, les mains étant lier derrière mon dos, il prit mon menton violemment entre ses doigts et m'embrassa de force, il me faisait mal et força le passage de mes lèvres pour venir se réfugié près de ma langue, je sentis mon ...

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