SRGP G.

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Smoke : Donc là, tu es en train de me dire que nous sommes des expérimentations et que j'ai perdu le contrôle et tué tout le monde, puis tu m'as calmé et scellé ma force ?

Recker : Exactement.

Smoke : Mais du coup, les cicatrices viennent d'ici ?

Recker : Oui, avec les expériences et tes crises, tu as été blessé des centaines de fois.

Smoke : Des centaines de fois ?

Recker : Oh oui, tu n'en as pas eu qu'une seule. À chaque fois, on a dû te calmer, mais cette crise était différente, tu étais enragé comme jamais.

Smoke : Et pourquoi ?

Recker : je t'en parle plus tard il y a plus important la .

Smoke : tu a raison On doit régler l'affaire avec "papa".

Après une longue discussion pour décider des événements à venir, Smoke et Recker demandent de l'aide à Viper et Cobra. Après une longue discussion entre ces quatre personnages, plusieurs décisions sont prises. Smoke et Recker décident finalement de rejoindre l'armée, à la seule condition que les membres du SRGP les suivent et qu'ils soient invisibles aux yeux de la loi. Ils demandent également un salaire conséquent, un rang social élevé et un nouveau complexe pour leur organisation, comprenant un laboratoire de pointe, une salle d'entraînement et d'autres outils similaires. À la fin de cette discussion, chaque membre retourne chez lui, plus ou moins nerveux. Sur la route, Psycho accompagne Smoke.

Psycho : Dis-moi, Smoke, que se passe-t-il ? Pourquoi personne ne me donne d'informations ? Je suis l'un des quatre principaux fondateurs, mais vous ne me dites rien.

Smoke : Tu es certes l'un des quatre, mais je te rappelle que tu n'es bon qu'à te battre et à obéir à mes ordres, et là, ça demande de la réflexion, ça te dépasse totalement.

Psycho : Bah, vas-y, dis que je suis con tant que tu y es.

Smoke : Bon, tu sais ce que tu es, c'est déjà ça.

Psycho : Oh, ta gueule.

Smoke : Bon, si tu veux. Il y a une merde de mon passé qui refait surface. J'aurais dû tout détruire. J'ai fait le con, et visiblement, j'ai épargné...

Psycho : M'épargner ? Quelqu'un ? Laisse moi rire.

Smoke : Bon, on est arrivés. Ne réfléchis pas trop, tu es encore qu'au collège, je te rappelle. Laisse nous faire, ok ?

Psycho : Ok, mais toi aussi, ne risque pas gros.

Smoke rentre chez lui, se débarbouille et, voyant qu'il est encore tôt, Noémie ne dort pas encore. Elle avait fait à manger pour eux, ils dînent ensemble. Elle remarque que Victor n'a pas l'air bien, donc elle l'emmène parler dans la chambre. Victor, ne pouvant pas dire la vérité, cherche une excuse. Il reste silencieux pendant une vingtaine de minutes, puis Noémie s'énerve et se lève en disant : "Si tu ne parles pas, je me tire." Et là, une étincelle brille en Victor, et la seule idée qui lui vient en tête est...

Victor : Noémie...

Noémie : Ah, bah, voilà, tu n'es pas muet.

Victor : Toujours pas. T'as vu (rire discret), mais il faut que je te parle sérieusement.

Noémie : Tu me fais peur, qu'y a-t-il ?

Victor : Je te laisse pas dire, mais je t'aime.

Noémie : Oui, bon ça je le sais, qui ne m'aime pas (rire).

Victor : Non, tu n'as pas compris. Je t'aime, vraiment. J'ai envie de te péter les reins et de m'enchaîner une clope la tête posée sur tes fesses.

Noémie : Mais, wesh, tu es sérieux ? Tu dis ça comme ça ?

Victor : C'est une manière comme une autre de te le dire.

Noémie : Bah, tu sais quoi ? Je crois que Je t'aime bien aussi.

Victor (voix intérieure) : Merde, de base c'était juste pour qu'elle me laisse tranquille, maintenant elle me dit ça. Comment je vais m'en sortir ?

Suite à un petit silence où Victor et Noémie se fixaient, Noémie poussa Victor sur le lit et commença à l'embrasser. Surpris, Victor demanda ce qui se passait, et Noémie lui répondit qu'elle avait aussi envie de se faire plaisir. Puis, elle se déshabilla et l'embrassa de nouveau.

Victor (voix intérieure) : Autant en profiter.

Victor retourna alors la situation en mettant Noémie sur le lit, l'embrassant et lui disant : "Je préfère être le dominant, si ça ne te dérange pas." Ensuite, il enleva son pull et son t-shirt tout en continuant de l'embrasser et de la caresser. Noémie semblait vouloir passer aux choses sérieuses et mit Victor sur le lit, lui enlevant son pantalon. Elle se mit à genoux et commença à lui procurer un plaisir infini. Victor, doux et attentionné, ne laissa pas Noémie sans plaisir. Il la déshabilla entièrement, se plaça sous elle, et elle commença à rebondir et à gémir de plus en plus fort jusqu'à une éjaculation retenue par le préservatif de Victor. Ils passèrent ensuite la nuit à dormir ensemble après cette séance de plaisir intense.