Alice au pays 2D (partie 1)

La Fondation

//PDV Alice\\

Je me réveillai après un temps indéterminé et je me rendis compte que j'étais toujours dans la cellule ou on m'avait drogué avec les bouches d'aérations. Une femme rentra. Elle était en blouse blanche.
<< - Tu dois être Alice. Me disa t'elle sans quitter de ses yeux la fiche de renseignement qu'elle tenait en main. Je m'appelle Katherina et je suis un médecin ici en quelque sorte.

Je fronçai les sourcils et commençais à m'impatienter.
- Je veux retrouver Karl et sortir d'ici tout de suite !

Elle pris un temps pour me regarder avec une sorte mépris dans les yeux.
- J'ai bien peur que cela ne soit pas envisageable pour le moment. Alors dis moi Alice, comment es tu entrée dans cette dimension ? Et ce que l'on raconte la vérité à ton propos ? J'ai entendu dire que tu utilisais de nombreux pouvoir ici-bas. Est ce vraiment toi celle que tout le monde attend dans ici pour empêcher la fin ?

Je la regarderai subjugués par ses questions. Cela me parlais tout en m'étant inconnu. C'était une sensation étrange je dois dire.

- Il n'y aura aucune coopération de ma part croyais moi ! Je suis sûre que votre fondation à fait du mal à mes amis ! Vous le paierez tous et toutes !

Elle fut étonnée de ma réponse.
- Nous avons seulement toi et ton amie, "Karl" c'est ça ? Pourquoi parles-tu d'une tierce personne ?

Je soupirai tout en restant sur mes gardes.
- Il y a quelques années mon ami Micheal est mort et je suis sur que c'est de votre faute !

  Il y eut un silence de quelques seconde et je vis le visage de la scientifique se décomposer en me regardant.

- Alors tu es vraiment.. peut importe. Elle prit un court moment pour la réflexion. Eh puis merde ! Je vais te faire sortir d'ici. Ce n'est pas bon que tu sois là.

Sa personnalité vis à vis de moi même venais de changer du tout au tout comme si de rien n'était.
Des gens et elle même qui parlaient de ma présence dans la seconde dimension et connaissais des éléments que n'avait pas encore. Je devais me méfier deux fois plus. Katherina, ouvrit la porte de la cellule.
- En fait, tu peux m'appeler Kate si tu le souhaites. >>  Me disa la scientifique assez sereinement.

Et avant qu'elle ne se rendent compte, je pris mes jambes à mon coup et je fonça le plus vite possible pour m'enfuir. Je l'entendait me crier d'attendre. Elle tenta de me courser et ne connaissant pas l'endroit je me perdu dans les couloirs jusqu'à arriver à une impasse. Kate couru et me rattrapa rapidement se trouvant à présent en face et à quelque mètre de moi. Je me concentrait alors sur les paumes de ma main tandis qu'elle s'approchait de plus en plus de moi tentant d'être rassurante. Je fis semblant d'écouter tout en continuant de me concentrer et la carte du personnel qui permettaient d'ouvrir les portes et qui se situait dans sa poche, en sorti par une force magnétique atterrissant dans la main. Je m'empressai d'ouvrir une porte au hasard pour m'échapper de cette femme ou de tout autre des membres de la fondation.

   En entrant je refermai la porte pesant l'avoir semé. La femme me regarde derrière le mur transparent qui tenait les fondements de la porte.
<< Alice sort d'ici tout de suite ! >> Criait elle en tapant sur la vitre. Me sentant en sécurité. Je me retournai et vit une porte rouge qui ne tenait a aucun mûr. Comme si la porte était posée de façon décorative menant a nul part. Kate me supplié de ne pas l'ouvrir. Je pensai alors que c'était un moyen pour moi de m'échapper et qu'elle tenter de me dissuader. Si j'avais su...

J'ouvris la porte et à ma grande surprise, celle ci s'ouvrit montrant un paysage extérieur à cet établissement. Je m'empressai d'entrer et de refermer pour que la scientifique n'ai pas le temps de me retrouver.

   Après des minutes voir des heures à marcher dans un désert sans rien autour je vis au loin des objets planter dans le sol. En me rapprochant, je pouvais remarquer qu'il s'agissait de sorte de piliers d'anciennes civilisation même si je n'aurai que dire laquelle. Un meuble et une télé se trouvait au milieu des sept piliers quo formait un cercle. Et près de celle-ci se trouvais un trou dans le sol d'une profondeur encore inconnue. Il y avait des escaliers et cette endroit menait quelque part. La télé s'alluma soudainement comme si un détecteur automatique avait repéré ma présence. C'était une vieille vidéo en forme de VHS. Un homme était dans l'endroit et souriait à la caméra.

  << Bonjour et bienvenue dans notre projet du SCP- 2317. Si vous regardez ceci c'est que vous êtes sans doute un class D condamnés à mort ou encore un garde assez fort qui aura eu la formation avisé avant de venir se rendre ici. Ce projet vise à trouver un moyen simple et efficace pour construire et veiller à la bonne disposition de nouvelles chaînes afin de veiller sur le confinement de ce pourquoi vous êtes ici.>>.

Je continuais de regarder la vidéo de façon pessimiste. Je venais de me rendre compte que je m'étais probablement piégé toute seule en voulant m'enfuir. Ne voyant rien d'autre autour de moi dans les environs, je décidai d'aller voir par moi même, ce qui se trouvait en bas. Je descendis quelques unes des marches et je me retrouvais dans un bureau souterrain. Plusieurs télés étaient placées même si elle semblait hors service et des classeurs se trouvait dans certains coins de la pièce.

   Je décidai de continuer ma décente vers l'inconnu. Plus je descendait plus l'obscurité se faisais présente. Et un sentiment de peur cependant assez familier comme dans la seconde dimension se fit ressentir à force de descendre les marches. Arriva un sous étage où je ne vis plus rien. Je décida de faire apparaitre une torche et à mon plus grand bonheur, la magie semblais se trouvais aussi ici. Je n'aurais pas dû voir ce qui se trouvait là... Mon corps se figea lorsque je levai la tête en apercevant quelque choses qui me glaçais le sang. Il y avait des chaînes qui était relié à chacun des piliers même si il ne rester actuellement que quatres chaînes accroché à ce que je déterminerait de monstre titanesque. Il était recroquevillé et sembler endormi. Il aurait Mesurer plusieurs centaines kilomètres si il avait été debout. La créature avait d'énormes cornes tel des bois sur son crâne. Son visage endormie se trouvait à seulement un mètre de moi. Je tourna la tête en tremblant, les yeux humide et me rendis compte qu'un tas de squelette assez consécutif était près de l'énorme bête. Une phrase sortie de ma bouche par le choc et la peur de ma vision : << Oh mon Dieu...>> Disais-je en reculant légèrement. À ces mots, la gargantuesque choses ouvrit soudainement les yeux et se mit à grogner et pousser des cris démoniaques en se redressant, faisant trembler le souterrain. Pouvant le faire écroulé les sous étages et par l'instinct de survie, je me mis a remonté les escaliers sans m'arrêter de courir le plus vite que je puisse.

   Une fois miraculeusement remontée, je tentai d'ouvrir un portail mais cela avait visiblement du mal à fonctionner à la surface. Un cri de plus de la bête me fis me concentrer encore et le vortex s'ouvrit enfin. Je sauta dedans en atterrissant dans le salon du  QG ou j'étais souvent de base. Peter et les autres semblais êtres absent. Je soupirai en me disant que tout ça été finit et que je n'avais plus de craintes à avoir. Or ce ne fut qu'un cours moment de répit lorsque je me rendis compte que ma télé était allumée. Je m'approchai alors de celle-ci et vie Malius entrain de regarder la caméra avec haine et mépris. Il s'adressa à moi à travers l'écran : << Je te retrouverais Alice tu as fait une grave erreur en non seulement fuyant la fondation mais aussi en étant allée voir ce qui ne te concernes pas. Mais nous avons ton ami actuellement. Tu sais "Karl" c'est bien ça ? Si tu veux le retrouver il faudra d'abord en payé les conséquences.>> . Il termina sa phrase en se mettant à rire et il pris ma caméra pour filmer ce qu'il semblait avoir fait à Karl. Il était dans un lit, des tuyaux avec des prélèvements et donation de sang. Il avait été mit dans le coma et était même entuber. La télé s'etaignit me laissant dans une profonde anxiété. Je ne pouvais pas laisser mon nouvel ami entre leur main. Il me fallait un plan judicieux et coriaces.