Alice au pays 2D (partie 1)

rêves

  
   Les mois fuirent comme des secondes. Le silence était entré dans un gouffre sans fin Micheal était bel et bien parti. Je vous mentirais si je ne disais pas que moi aussi, par ces temps pluvieux en mon âme, je devais fuire l'imaginaire pour voir la réalité même si a cette époque j'étais encore bien loi d'imaginer ce que voulais vraiment signifier ce mot. "la Réalité". Disons que mes ailes n'étais pas encore brûler a cette époque métaphoriquement parlant.
 
   Cependant je me devais un temps de quelque mois sans ce que j'appelle la seconde dimension. J'avais perdu mon premier grand ami. Pour être honnête, je ne songeait même pas y retourner une seule fois. Pourquoi ce monde me montrer elle la douleur du deuil ? Je n'en avait pas besoin a cette période. Mon grand père était lui aussi parti dans la réalité et j'appris a connaitre pour la première fois la mort. C'était un évènement qui marqua la première cicatrice de mon âme et donc de ce fameux monde imaginaire. Je voulais m'éclipser dans cette endroit pour échapper au regret et a la tristesse d'un être cher a mes yeux. Or ne dit on point "chassez le naturel et il revient au galop" ? Alors même dans les tréfonds de ma conscience là où tout ce monde intérieur pouvait me présenter une autre vision des choses, ce ne fut point ce qui se ce passa et mon meilleur ami peut être imaginaire mais pur, parti à jamais.. alors j'acceptai la réalité tout en restant dans un déni pour montrer à mes proches que j'étais une enfant parfaite pour eux même si je ne plaisait rarement au deux en même temps, du moins c'était une sorte de ressentis.

    Un an ; ce fut le temps qui s'ecoula sans que je ne pense retourner dans ce monde. C'était un soir d'octobre 2010. Je dirais avant l'halloween.
Je décida d'aller me coucher car la journée avait été longue. Je ne mis que quelque minutes à m'endormir et mon esprit divagait à travers les songe qui me rapprocher peu a peu de la où je devais me trouver.

  Je finissais par atterrir dans un endroit bien  étrange mais si familier. C'était la grande raffinerie ! Mais elle semblais avoir changé elle était immense et s'entendait sur des centaines et des centaines d'hectares. Un immense canal se trouvais a l'horizontale longeant toute l'usine devant moi. La gargantuesque Industrie pouvais être accédé par diverses pont en métaux rouillés. Des jouets se trouvais dans le canal. Des milliers de jouets et d'objets cassés était éparpillées a l'intérieur de celui ci.  Le temps quand a lui était d'une lourdeur amer et le ciel était d'un gris annonçant les orages cependant les nuages rester à l'immobile comme si quelqu'un ou quelque choses les contrôler de quelque part. Mais honnêtement, ce n'étais pas à ce moment précis, ma source d'intérêt principale. Je pouvais ressentir cette atmosphère si famillère mais elle semblais avoir changé..

   << Michael ou es-tu ?>> Disais-je en la voix encore tremblantes. Je pouvais sentir son être, son essence, sa présence instanée. Cependant comme je vous les dit quelque chose avait changé.. C'était une sensation de lourdeur et de peur mais a la fois de protection et de ressentiment.

   Avais-je reconnus mon grand amis ou m'étais-je trompé par la similitude entre ces deux atmosphères ?
Je sentis soudainement une présence derrière moi avant même de me retourner. L'inconnu m'adressa la parole.

  << Oh salut mais que fais tu ici ?>> Me disa il avec un sourire rassurant sur ses lèvres. Quand je le vis archer sa bouche pour me faire sentir confiante, j'observai l'homme attentivement. Ce n'était pas Mike. Il ne lui ressemblait pas cependant l'atmosphère me faisais douter du contraire inconsciemment. C'était une personne assez grande, des cheveux bruns et mi-cours. Il portait une tenus complètement rouge avec grand caban ressemblant a celui d'un maître d'hôtel du passé. Celui-ci portait des épaulettes orner d'une teinte doré, faisant un code couleur avec les bouton de son manteau à la couleur sang.

   << - désolée je cherche un ami.. je croyais qu'il était ici c'est bête je sais.. disais-je sans trop m'éparpiller. Vous travaillez ici ?