Aux confins de l'univers | Doctor Who | Chapitre 1 | 2012

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Bonne année 2024 ! On attaque avec ma première vraie fanfiction à chapitres ! Que j'ai abandonné après... trois chapitres. Mais elle existe. Comme je l'ai dit, la dernière fanfiction était celle de trop, et celle-ci est la goutte d'eau qui fait déborder le vase et montre les limites du concept lol.

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Chapitre 1 : Sauver Jack

Jack avait les yeux clos, gémissant sans arrêt à cause de la douleur. La morphine ne faisait plus effet. Il avait fallu qu'il fasse son intéressant...

Cinq jours auparavant... Le téléphone sonna dans le Tardis, chose inhabituelle. Le Maître me lança un « Va décrocher. » et retourna sur sa tasse de café matinale. A l'autre bout de l'appareil, Ianto, paniqué, m'hurlant que Jack s'était fait enlevé par des Sontariens. Nous étions parti le sauver. Dès que nous arrivâme à l'endroit où les patates le retenaient prisonnier, nous découvrîmes qu'il lui avait fait ingéré un produit l'empêchant de mourir... Même blessé. Le capitaine nous a nargué en lui tirant une balle dans le ventre. Je me suis « énervée » et les ai un peu tous expédiés en enfer. Depuis, Jack est dans le Tardis, entre la douleur et l'hystérie.

J'avais bien essayé d'utiliser le Méchant Loup, mais en faisant explosé le vaisseau Sontarien, j'en avais utilisé une grande quantité. Je rechargeais, le plus vite possible.

Cinq jours que je dormais avec lui, cinq jours que je n'avais pas mangé, ni bu. Ca m'avais permis de prouver que les Time Lords résistent mieux que les humains. Il souffrait et je ne pouvais absolument rien faire. Totalement impuissante...

Je sursautai violement en sentant une main sur mon épaule. C'était Léo. Tout comme le Docteur, il commençait à s'inquiéter pour moi. Je le savais, il s'inquiétait toujours. Tout deux avait bien essayer de me raisonner mais je refusais de l'abandonner.

Moi : Dis lui que c'est non et que s'il veut me parler qu'il vienne lui-même.

Léo : Ce n'est pas le Docteur qui m'envoie. Tu devrais aller lui parler, il se sent coupable... Tu ne parles plus, il s'inquiète, c'est normal.

Moi : Ce n'est pas de sa faute... C'est juste... Je ne peux pas l'abandonner, pas après tous ce qu'on a vécu. Parfois, la nuit, il se met à hurler, tellement il a mal. Je ne peux rien y faire et ça me rend folle.

J'envoyai un coup de poing rageur dans le mur. Ca me fit plus mal au poing qu'autre chose. Léo soupira et fit demi-tour. Je me recouchai auprès du capitaine et lui prit la main. Il la serra imédiatement. Il était conscient... Malgré toute la bonne volonté du monde, il n'arrivait pas à tomber dans le coma. Ses yeux s'entrouvrirent doucement. Je l'embrassai sur la joue.

Moi : Je trouverai un moyen de te sauver, je te le promet.

Il poussa un long gémissement et referma les yeux. Je posai ma tête contre la sienne. Je lui caressai doucement les cheveux.

Quelqu'un toqua à la porte. Une ombre apparut. Je n'eus pas besoin de tourner la tête pour savoir que c'était lui, avec ses converses rouges et son long manteau brun. Le Docteur...

Il s'avança, attrapa une des chaises qui trainaît dans la pièce, se mit à côté de moi et s'y assit. Un long silence s'installa. Je l'entendais taper son pied contre le sol. Il était nerveux visiblement.

Ten : Il y a peut être un moyen de le sauver. C'est très dangereux et risqué. Ca pourrait le tuer. Enfin, détruire ses cellules nerveuses, il reviendrait à la vie, sans émotions, ni personnalité.

Moi : Qu'est ce que vous voulez faire ?

Ten : Il faudrait que tu laisses le Méchant Loup se baladait dans sa tête. Tu as des capacités télépathiques, comme la plupart des Seigneurs du Temps. Il emprisonnera la douleur et refermera les plaies. Il retrouvera son immortalité habituelle. Sauf que ça peut le tuer... et te tuer.

C'était pas mieux avant | Recueil de textes du passéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant