Chapitre 20 ( TW !!! )

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TW: insulte, scène +18, révélation et réflexion. 

Esthétique du chapitre

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Esthétique du chapitre

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-PDV Chu Yung-

Pan*

Je tire sur cette fille inconnue à mes yeux. La balle passe de justesse à côté de son oreille. Elle crie de peur.

- Ahh !

Je pointe encore une fois l'arme sur elle.

- Dégage, ou je te plombe la cervelle.

Elle ne prend même pas la peine de me contredire qu'elle part en courant, elle se tord même la cheville en tournant dans le couloir. Elle doit au moins avoir 15 cm de talon. Je pars dans le couloir pour voir qu'elle soit bien partie. Et c'est le cas. Tant mieux pour elle. Je range mon arme dans la ceinture de mon pantalon. Je me dirige vers le sous-sol. Désoler Yoona, je vais passer mes nerfs sur toi.

Et ça m'inquiet beaucoup, je me sens vide. Aucun ressentiment d'émotion dans mon corps...

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Quand j'arrive, ma sœur est inconsciente. Putain. Je me dirige vers elle mais des bruits de pas se font entendre dans les escaliers. Je les néglige. Je pose ma main sur son cou. Son cœur bat très lentement fait chier. Je pose mon autre main sur son front, elle est glacée.

Je la regarde, ce n'est plus ma sœur. Toutes les entailles sur son visage et reste de son corps sont la preuve de ma rage envers elle et mon père. Je ne me dégoute pas en voyant ça. Juste, elle le méritait. Même pire. Mais bon, je dois la garder en vie. Après tout notre plan n'est pas encore totalement sur. Et franchement je laisse tomber le plan avec le labo de médoc pour mon père c'est nul. Et ça prendrait trop de temps.

Bon je vais devoir la soigner. Je me retourne pour aller chercher la trousse à pharmacie sur la table près de la porte. Mais Yi est là. Il doit me regarder depuis un moment.

Je ne prends pas la peine de l'affronter. Je passe à côté de lui pour prendre la boîte de secours. J'ai tellement la flemme de la soigner. Je finis pars lâcher la boîte et de prendre mon téléphone. Je compose le numéro d'un médecin de ma société, en ce moment il a beaucoup de boulot avec moi.

Je pose le téléphone à mon oreille tout en regardant Yi Jie dans les yeux. Il me regarde en retour. Ça décroche.

« Oui, Mr Yung, qui puis-je pour vous ? »

- Oui, tu pourrais venir pour soigner Yoona.

« Oui bien sûr Mr, je me libère tout de suite. J'arrive dans moins de 20 minutes. »

- Ok merci. Tu connais le chemin.

Je raccroche et Yi Jie me fixe à un point ou j'ai envie de lui en coller une. Je range mon téléphone dans mon pantalon et pars d'ici mais il décide d'en faire cas sa tête. Il m'attrape le bras.

- Tu veux sortir avec moi.

Je me retourne brusquement vers lui. Pardon ! Je reste sous le choc.

- Viens on monte dans la cuisine pour discuter. J'ai ramené des choses tout à l'heure en rentrant.

Bien sûr, je vais te suivre, je veux entendre c'est argument déjà de tout à l'heure et de ce qu'il vient de dire. Après l'avoir suivie, je me retrouve assis sur un tabouret et un plateau de sushi en face de moi. Je le regarde prendre des baguettes dans le tiroir. Il en pause une paire devant et une pour lui aussi. Il commence à manger en me regardant. Putain, il joue à quoi.

- Ce que j'ai dit est vrai. Tu veux être en couple avec moi ?

- T'est sérieux. Je t'ai surpris avec une meuf. Alors que tu m'avais déclaré t'est sentiment. Je ne suis pas jouet.

- Nan c'est vrai tu n'es pas un jouet mais tu es "mon connard". Enfin bref. Je vais t'expliquer. La meuf en question. Elle travaille pour moi dans tout ce qui est drogue ou autres substances. Elle a une peur monstre des armes. Sa mère est morte une balle dans la tête devant elle. Elle avait 7 ans. Et son père travaillait pour mon père donc bon. Normal qu'elle travaille pour moi à l'heure d'aujourd'hui.

- Ok mais je m'en fous, ce que je veux savoir c'est pourquoi sa main était sur ton entre jambes ?

- Elle est collante, on a déjà couché ensemble à plusieurs reprises mais elle ne savait pas que tu faisais partie de ma vie en tant que copain. Enfin que si tu as envie. Elle a dû le comprendre maintenant.

Un claquement se fait entendre en bas. C'est le médecin. Cool je suis tranquille maintenant. Enfin c'est vite dit.

- Sincèrement je ne sais pas si je dois te croire...

- Il le faut, parce que tu m'attire follement. J'ai envie de te faire l'amour et de te bourrer de je t'aime. Je veux ton cœur mais aussi ton corps. Je te veux entier, toi et t'est démon antérieur. Je te veux. Je sais que tu crains l'amour mais crois-moi. Je te ferais ressentir un million de chose. Je te veux. À moi et à personne d'autre. Et je veux aussi t'appartenir.

Je ne sais plus quoi dire. J'ai la tête baissée. Je sens une main sur ma joue, je remonte doucement la tête et Yi est proche de moi, même trop. J'en perds la tête. J'ai le cœur qui brule et la respiration forte. Je ressens pleins de chose.

- J'ai peur de te perdre. Et...bien sûr que je veux être avec toi mais ne me trahis pas.

- Ne t'inquiet pas pour ça.

Il me regarde intensément. J'ai envie de lui.

- Je peux t'embrasser.

- Oui, on est en couple après tout.

Ces lèvres ses poses sur les miennes, notre baiser est doux et plein de sentiments. J'ai l'impression d'embrasser du feu. Je commence déjà à perdre patience. De mes mains j'empoigne son cou. Il me soulève du tabouret. Il me masse les fesses se connard putain. Notre baiser devient sauvage et brut. Il me pose sur le plan de travail. Il enlève mon tee-shirt sans se détacher de moi. Et commence à déboutonner son pantalon. Il ouvre après le mien et tire dessus en enlevant en même temps mon caleçon. Je retrouve nu et lui habiller. Une idée me vient en tête. Je lui tape l'épaule et me lâche ensuite. Il me regarde d'incompréhension.

- Décale-toi de moi et assis toi sur le plan de travail ?

- Je ne me laisse jamais dominer bébé.

Je le regarde en le suppliant du regard.

- Ok. J'abandonne.

Je descends et lui monte. J'ouvre un peu plus son pantalon pour avoir son pénis plus visible. Je commence à faire des vas et viens avec mes mains et il me supplie des yeux d'aller plus vite mais non. Je ne le lâche pas du regard et il aime ça. Je continue à une main et de l'autre je prends un sushi et le pose sur son gland. Je le regarde et il fait de gros yeux. Oui tu as deviné. J'ai une grosse faim.

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Voici le chapitre 20. Désoler de l'attente. Je me suis laisser aller sur le chapitre, surtout sur la fin... Quelque commentaire pour m'améliorer ou me complimenter serait cool. 

Merci d'avance.

1223 mots

Arrivederci<3

Shoot PoisonDonde viven las historias. Descúbrelo ahora