Dans un monde où les mafieux dominent, des guerres, de la torture et de la non-pitié.
Le sang et règlement de comptes est l'unique but, pour eux.
Mais est-ce que collaborer ou plutôt tomber amoureux de son ennemi est-il grave ?
OUI...
Yi Jie, 22 ans...
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Esthétique du chapitre
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-PDV Yi Jie-
Un énorme mal de tête qui me réveille et aussi une putain de lumière aveuglante. J'ouvre les yeux doucement et je me rend compte que mes mains sont liées entre elles via des menottes. Fait chié, je deviens à peine chef que je suis kidnappée ! Mais ça va en vrai, j'ai un matelas. Comment je peux penser à ça sérieux.
La pièce est éclairée par deux grandes fenêtres qui sont à ma gauche, elles donnent vue sur une immense forêt. Une porte est en face de moi et sinon un bureau et une chaise avec rien dessus.
Qu'est-ce que j'ai fait ?
« Tu as tué mon putain de meilleur ami, mon seul putain de confident ! »
Je sais que je n'ai pas fait ça, je tue les gens sur commande mais j'analyse leurs profils à chaque fois ou sinon je l'ai peut-être tué en étant plus jeune vue que j'étais incontrôlable. Quoique, je serais peut-être déjà mort, tué par mon père. J'étais sous sa surveillance en même temps.
À ce moment-là, un bruit se fait entendre de l'autre coter de la porte. Je regarde la porte, je sens qu'il va là fracasser.
La porte s'ouvre dans un fracas monstre, et Chu Yung se tient devant moi. Bingo, j'avais raison !
- Comment on se retrouve ?
Chu Yung ferme la porte délicatement. Il tient un sac noir. Putain, je vais souffrir.
Il porte un haut noir moulant qui représente parfaitement c'est muscle, aucun tatouage mais les cicatrices ne sont présentes. Il a un jogging gris et des baskets noirs. Mais ces yeux sont cachés par ces mèches brunes rougeâtres...
- En plus, on ne me répond pas. Tu as décidé de bouder ou quoi . Je ne vais pas te tuer car ça ne serait pas drôle ! Tu ne penses pas .
- Alors si t'est pas là pour me tuer, je fous quoi ici..
Ok, il ne répond pas, Chu Yung se contente de poser son sac sur le bureau et de l'ouvrir pour en enlever le contenant. Il sort un ordinateur et une pochette enroulable qui sert souvent à ranger des fioles ou autres...
Ok, il va me torturer, je le sais. Je le fais aussi.
- Tu vas souffrir.
- Ah bon ? Je te mets au défi.
Il s'accroupit devant moi et passe sa main dans mes cheveux, et chope une grosse mèche et tire dessus pour amener ma tête face à lui.
- Tu vois la pochette que j'ai déposée sur le bureau, ce sont mes fioles de poison et tu sais quoi, je dois les tester. Ça tombe bien tu es là.
