h.s. & n.h. // delusion

Trouble de la personnalité obsessive

PDV Niall Horan.

J'peux pas arrêter de penser à elle.

Cette fille est étrange. Pourtant j'arrive pas à me la sortir de la tête. C'est une obsession. Comme Mélissa . Sa peau, si douce quand je l'ai touchée. C'était comme poser ma main sur de la soie, comme si je caressait une magnifique déesse. Elle semblait si fragile, comme de la porcelaine, si pâle. Ses grands yeux clair, bleu, et ses joues rosées.

Je fis glisser mes mains doucement, sur mon torse.

Et ses lèvres. Elles étaient légèrement gonflées, roses, sèches. Je me rappelle avoir sentit mon corps se tendre au moment du contact visuel, j'ai cru que le monde s'était arrêté. Je sens dans mon ventre que j'ai besoin d'elle, j'ai ce besoin dans mes tripes.

Mes doigts caressaient lentement mon buste.

Je la veux, je veux cet ange paisible dans ma vie. Je veux cette peau, ses yeux et ses lèvres. Je veux la toucher, sentir sa douce odeur. Tout ici sens la mort, elle, elle sent la fraîcheur.

Mes yeux étaient fermés, mes lèvres entrouvertes. J'haletais doucement.

Elle est si froide.

J'aimerais sentir son gèle m'envahir, j'aimerais sentir sa glace contre moi.

Je passa ma main sous l'élastique de mon pantalon, me touchant en l'imaginant.

J'entendis la porte s'ouvrir en grand, et je me leva instantanément .

- Jeune homme, vous n'étiez pas en train de faire ce que je pense, j'espère? L'infirmière Amy entra dans la pièce en souriant. Elle ferma la porte et la verrouilla derrière elle.

- Non, pas du tout.

Je me tenais étroitement sur mes pieds, les bras de chaque cotés du corps.

- Niall, tu n'as pas à me mentir.. Je sais que tu m'imaginais ..

Elle s'avança vers moi, ses cheveux noirs attachés en queue de cheval se balançaient lentement derrière son dos. Elle était dans la trentaine, mince et assez jolie. Amy arriva à quelques centimètres de mon visage et posa une main sur mon torse.

- Je sais que tu m'imaginais te chevauchant..

Elle me donna une petite poussée et je tomba assis sur mon lit. Je ne savais pas quoi faire de mes mains, elle a habitude de me dire quoi faire. La brunette rigola en mettant ses cuisses de chaque côtés de mes jambes et elle s'assit sur moi.

Sa main parcourue mon torse, je n'osait pas croiser son regard.

- Qu'est-ce qu'il y a, mon choux? Tu semble tendu..

Ses doigts arrivèrent à l'élastique de mon pantalon. Et elle commença à le claquer contre mon bas ventre. Elle s'amusait avec moi, elle me provoquait.