My beauty's from within - TERMINÉE

XXXI

Septembre...

Le procès touche à sa fin. Je suis fatigué, Rayan devais témoigner aujourd'hui mais il n'est pas présent. A cause de la fac il n'a pas pu se libérer, je suis déçu qu'il n'ai pas tenter de venir...

- Bien. Silence dans la salle je vous pris. Nous avons pris en compte tout les témoignages, lu les rapports médicaux et de police. Nous allons procéder à une délibération et je ...

Quelqu'un entre en trombe dans la salle du tribunal. Nous nous retournons tous.

- Non attendez ! S'écrit une voix grave.

Je porte ma main à ma bouche.
Rayan.

- Je suis désolé pour mon retard, je viens de loin. Dit-il essoufflé.

- Il étais temps. Vous avez cinq minutes monsieur Water.

- Merci.

Il se retourne et me regarde. Je lui sourie pour le remercier d'être là.

- Le soir du 8 Mars... Une femme a appelé le frère de Lénora affolé. Quand nous sommes arrivés nous avons retrouvé Lénora au sol, couverte de sang, totalement brisé et terrorisé. Mon sang n'a fais qu'un tour et Alan comme moi avons très bien compris qu'il était trop tard. Thomas l'avais violé. Nous en étions sûr, nous le savions. On savais que cela aller arriver un jour, quand nous le savions pas. Mais on savais que le jour où nous aurions le dos tourné il le ferais. J'étais tellement en colère et boulversé que je n'avais qu'une envie. Le tuer... Je suis désolé d'être aussi franc. Mais pourquoi vous mentir ? Dans tout les cas je ne l'ai pas fais. Je suis aller le voir et je l'ai frappé à sang. Je voulais qu'il souffre comme il l'a fais souffrir. Comme toutes ces filles ont souffert. Je voulais qui crève comme il a crever son âme et son innocence. Il se retourne vers Thomas. Je voulais qu'il pourrisse. Et j'espère qu'il pourriras en taul. Et j'espère que justice seras faite pour elles. Je regrette d'avoir étais complice de ses agressions sans le savoir. Fini Rayan.

- Merci monsieur Water.

Plus personne ne parle dans la salle. Le juge se racle la gorge.

- Merci à tous. Nous allons délibérer, revenez dans quinze minutes.

Je me lève rapidement pour sortir d'ici. Je n'arrive plus à respirer normalement. Je sort du tribunal et m'assoie sur les marches.
J'entends quelqu'un derrière moi.

- Lénora.

- Tu aurait pu avoir des problèmes Rayan.

- Arrête de m'appeler par mon prénom Lénora.

- Tu aurais fais quoi s'il avais porté plainte contre toi ou pire si tu l'avez tuer ! Dis-je faiblement.

- J'étais en colère. Putain je voulais qui souffre autant que toi. J'avais une rage pas possible comprends moi ! S'écrit-il.

- Non, non je comprends pas. Tu aurais pu le tuer et aller en prison Rayan. J'ai pas envie de te perdre merde putain ! M'écrivais-je.

Il ne répond pas. Je me rends compte dés paroles que j'ai dit et baisse la tête.

- Lénora... M'appelle t'il.

Je relève la tête et le regarde. Il s'assoit à côté de moi.

- Tu me rends dingues putain ...

Je me rapproche de lui et l'embrasse. J'en avais envie, j'en ai besoin. Il répond à mon baisée puis me prends dans ses bras. Je sourie.

- Le juge vas délibérer ont y retourne ? Me dit-il doucement.

- J'arrive...

Il m'embrasse ma joue et entre dans le tribunal. Je soupire, j'attends quelques minutes et entre dans le tribunal.

***

- Suite à la relecture de l'article de loi 703 du titre VII de la constitution américaine. Nous déclarons monsieur Thomas Kennedy coupable pour les faits suivants : agressions sexuel sur quatre jeune femmes. Tentatives d'agression sexuel et diffamation d'information dans le dossier donner à la cour. Vous être condamné à quinze ans de prison et quarante milles dollars d'amende hors dommages et intérêts que vous devez versé à Mesdemoiselles Davis, Lauren, Lee Olsen, Harrys et Jansens d'une valeur de trente milles dollars pour chacune des victimes soit une valeurs de cent quatre-vingt milles dollars de dommage et intérêts. Merci.

Le juge se lève et sort de la salle suivie des autres personnes qui l'accompagne.
Je pose mes mains à mon visage et fond en larmes. Je me lève et prends dans bras Riley qui est assise juste à côté de moi. Je prends dans mes bras chacune des filles.

Nous avons réussi. Je suis libre. Nous sommes libres.

Je vie.

C'est définitivement vrai.

Je vie putain.

CHAPITRE XXXI
***