My beauty's from within - TERMINÉE

XI

Février...

- ATTENTION TW : LE CHAPITRE 8 COMPRENDS UNE SCÈNE A CARACTÈRE SEXUEL

- Lénora.

- Qu'est-ce que tu veux Rayan ?

- Tu sais que tu es la seule à m'appeler par mon prénom ? Rit-il.

- Tu sais que j'en ai rien à faire ? Ris-je aussi.

Nos regards ce croisent, j'ai chaud et le rouge me monte aux joues, j'essaye de le dissimulé avec mes mains mais il m'en empêche.

- Ne te cache pas. Tu es très jolies. Me complimente t-il.

- Je ... merci, je dois y aller salut.

Je cours limite pour aller prendre mon bus. Il dois me prendre pour une folle mais peu importe je dois fuir pour ne pas brisé cette règle. Pas touche à ma sœur.

Je marche jusqu'à chez moi. J'ai raté mon bus. Il commence a faire nuit, je n'aime pas ça. J'essaye de marcher rapidement quand une voix m'interpelle. Je suis dans une petite ruelle étroite où il n'y as personne.

- Lénora ! Crie une voix derrière moi.

- Mais vous avez quoi tous aujourd'hui. Soupirais-je en continuent de marcher.

- Nous avons pas pu finir notre discussion la dernière fois, alors je me disais que ...

- Je ne suis pas intéressé Thomas. Laisse moi tranquille s'il te plaît.

- Quoi ? Je ne suis pas aussi beau que Water c'est ça ? Tu préfères un gros mec dur et musclé qui s'en bas les couilles de toi. C'est ça hein Lénora ? S'énerve t-il.

- Laisse moi tranquille tu me fais peur...

- J'espère bien que je te fais peur. Personne ne me résiste crois moi ma belle. Dit-il en s'avançant vers moi rapidement.

Je recule en même temps qu'il avance, je me retrouve très vite coincé par un mur. Je cherche de l'aide, il n'y a personne au alentour. Les larmes menace de couler. Je supplie le ciel que Rayan débarquez tout moment, mais plus les secondes passe plus je perds espoir. Je pleure et Thomas sourit. Il s'approche de moi et jette mon sac au sol.

- Comme ça on me résiste Lénora Lee Olsen ? Non non ça ne vas pas ce passer comme ça ma chérie. Rit-il.

Il s'avance encore plus vers moi et me plaque contre le mur en m'étranglant. Mes larmes continuent de pleurer. J'ai peur, il me fais mal. De sa main il déboutonne mon jean et y insère sa main, il touche mon intimité, j'essaye de me débattre mais rien à faire. Il est plus fort que moi.

- Arrête de bouger connasse.

Il abaisse mon jean ouvre le sien et ce que je redouté arriva... Thomas Kennedy entre en moi violemment... En prennent le soin de me volé ma virginité ... je me débat toujours mais il me serre de plus en plus fort.

- Oh oui Lénora c'est bon. Gémit-il.

Je pleure. Je gémis de douleur. Cela dure cinq minutes mais j'ai l'impression que cela a durer des heures. Il j'ouïs en moi et se retire.

- Tu vois quand tu veux chérie. Aller je te laisse salut ma belle. Sourit-il en s'en allant.

Je remet en place mon jean et m'écroule au sol. Je pleure et hurle. J'ai mal, mon jean est couvert de sang suite à la pénétration. Une femme arrive en courant près de moi. Elle est accompagnée d'un petit garçon qui dois avoir dix ans et d'une petite fille de trois ans je dirais. Elle s'accroupit vers moi, elle dit à son fils de surveiller sa petite sœur. Et elle me donne son manteau.

- Es-ce que tout vas bien ? S'inquiète t-elle.

- Il ... il m'a ... ma violé... Alan, je veux mon frère. Appelez mon frère je vous en supplie. Hurlais-je en pleurant.

Elle me prends dans ses bras et prends mon sac pour trouver mon téléphone. Elle me le donne pour que je le déverrouille et lui redonne. Elle cherche le contact d'Alan et porte le téléphone à son oreille.

- Bonsoir. [...] Oui elle est avec moi. [...] pas très bien. [...] nous sommes à trois rue du lycée J.F Kennedy. [...] a toute suite, je reste avec elle. Dit-elle avant de mettre un terme à la conversation.

Elle replace mes cheveux et pose mon téléphone dans mon sac.

- Ne t'inquiète pas ma puce, ton frère arrive bientôt. Aaron, je vais appeler papa. Reste ici avec ...

- Lénora.

- Tu restes Lénora et ta sœur. Dit-elle en s'éloignant pas très loin de nous.

- Le monsieur n'est pas gentil. Dit le garçon. C'est pas gentil de faire ça à une fille aussi belle. Il dois aller en prison.

Je lui sourie, ne je sais pas où j'ai trouver cette force pour lui sourire mais ce garçon me fais de la peine. Je regrette que sa mère m'aille trouvé avec ses enfants, ouverte de sang que mon jean. En train de hurler.

- Désoler de vous avoir fait peur...

- Ne vous excusez pas. Vous avez du avoir très peur.

Ce garçon n'est peut-être encore qu'un enfant mais il est très intelligent. Je lui sourie et regarde sa petit sœur.

- Elle s'appelle Lara et ma maman Énola. Dit-il en souriant.

Je sourie Énola ce prénom restera gravé dans ma mémoire.

CHAPITRE XI
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