XIV

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Mars...

Plusieurs jours sont passés, je suis toujours à l'hôpital. Les médecins ont peur que je fasse des bêtises apparemment. Comme une tentative de suicide ou que je ne m'alimente pas assez. Jenna et Malena sont passé me voir plusieurs fois, je n'est pas parler. Elles m'ont donné mes cours et raconter les derniers potins ... Chose d'ont je m'en préoccupe pas, mais si cela leurs fais plaisir. Je dois sortir samedi matin normalement, dans trois petits jours je ne suis plus ici. Les murs blanc et l'odeur que transmet cet endroit me déprime, comme si je ne l'étais pas déjà assez.

- Ma chérie, je t'ai apporté tes gâteaux préféré. Et je t'ai acheté un livre aussi, celui que tu voulais. C'était le dernier tu as beaucoup de chance ! Me dit doucement ma mère.

- Oh oui, j'ai tellement de chance d'être enfermé ici. Soupirais-je.

- Ma puce ... tu sait très bien pourquoi, on as aucune envie que tu face des bêtises. C'est pour ton bien. Et t'inquiète pas samedi tu reviens à la maison. Sourit-elle.

Je lui sourie. J'aime voir ma mère si déterminée. Elle ne veux que mon bien je le sais bien. Mais depuis mon viol, elle est beaucoup trop sur mon dos. Elle a même posé deux semaines de congés pour s'occuper de moi puisque mon père est partie en voyage d'affaire en Argentine.
Je ne sais pas depuis combien de temps je n'est pas pris de douche mais beaucoup trop longtemps. Je ne bouge presque pas du lit, il n'est pas très confortable mais je m'en fiche. Je n'est aucune envie de retourner au lycée ou même de parler.

- Tu veux retourner au lycée lundi ? Me demande t-elle doucement.

- Maman... Je ne suis pas prête à l'affronter. Je n'est aucune envie qu'on me regarde avec de la pitié comme Jenna et Malena. Répondais-je.

- Elles ne te regardes pas comme ça arrête.

- Bien sûr que si. Vous me regardez tous comme ça. Dis-je froidement.

Elle baisse les yeux et n'ajoute rien. Je l'ai blessé je le sais. Mais je déteste leurs pitiés. Je déteste comment ils me regardent tous. Je déteste Thomas Kennedy. Je le déteste d'autant plus que je sais que la justice ne feras rien contre lui. Ils vont laisser tomber et l'innocenter. Ils vont me laisser sombrer de plus en plus.

- Je n'ai pas pitié de toi. Je suis en colère contre lui. Contre celui qui a fait du mal à ma petite fille. Je veux qu'il paie pour ce qu'il t'a fait Lénora.

Je ne dis rien. Je regarde dans le vide. Ma mère est une battante, elle crois que je suis comme elle mais il n'en n'est rien, je ne suis pas Lauren Lee Olsen. Je ne suis pas ma mère. Je ne suis pas ma grand-mère. Je suis faible.
Ma mère ne laisseras pas tomber, elle mène un combat avec lui or que moi j'ai déjà abandonné. Je ne veux pas mener un combat qui est déjà perdu d'avance. Je n'en n'est pas la force.

Ma mère me fais un bisou sur le fond et sort de la chambre. Je m'endors rapidement part la suite en rêvant que tout ceci n'est qu'un rêve.

CHAPITRE XIV
***

My beauty's from within - TERMINÉE Onde histórias criam vida. Descubra agora