41. Plaisir charnel

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TW : Explicit Sexual Content
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June

Ta tenue était magnifique, aujourd'hui, me souffla-t-il, entre deux baisers.

La tension grimpait en flèche tout comme la température de nos deux corps entrelacés.

M-merci.

J'étouffais dans cette petite salle de tatouages sous ses mains diaboliquement angéliques.

Quoique, ton pantalon sera bien mieux par terre.

A ces mots, il s'affaira à déboutonner mon tailleur tandis que mon pouls s'affolait sous ses propos dénudés de retenue.

Ses mains étaient partout. Les miennes tentaient de couvrir son corps, tremblantes et novices.

Mon épiderme brûlait. Il brûlait de désir pour l'homme qui se trouvait au dessus de moi.

Malgré mon envie irrépressible de ne faire qu'un, les alertes qui m'étaient bien trop familière se faisaient de plus en plus présentes.

Sa bouche embrassait la mienne avec passion, sa langue enrôlait la mienne à la perfection, tout était parfait...sauf moi.

J'essayai de suivre la cadence qu'il incitait, j'essayai de ne pas laisser mon coeur s'emballer ou mes souvenirs me submerger.

J'accentuai alors la poigne que j'avais sur ses épaules musclées. Je me cambrai quand ses doigts firent tomber mon pantalon, me retrouvant en culotte devant lui.

Il s'échappa de mes lèvres.

Tu...tu es...mag-

Mes mains derrière sa nuque, j'approchai son visage du mien et ne le laissai pas terminer sa phrase.

Il ne pouvait pas la terminer.

Parce que oui, oui je me demande si je suis assez belle pour toi.

Ou si tu me trouves belle tout court. Pas baisable, mais si je te plais comme tu me plais.

Depuis que je t'ai rencontré, je me pose des questions sur ma tenue et mon apparence. Chose que je n'aurais jamais fait avant.

Je change de vêtements en me demandant quelle tenue pourrait rendre mon corps plus attirant pour que tu le déshabilles.

J'aimerais avoir accès à tes pensées comme tu as accès aux miennes.

Savoir ce qui les traverse lorsque tu me vois. Me vois-tu comme ils me voyaient ? Ou ressens-tu autre chose que de la pitié et du dégoût ?

Fais moi savoir ce que je dois faire pour que tu penses :

elle,

elle est la seule qui me fait ressentir ça,

c'est elle qui fait oublier à mon corps de reprendre sa respiration.

VITALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant