10. Avec élan

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Lev

Elle passa sa main sous mon gland tandis que je passai ma main derrière sa tête sans tendresse afin de lui faire accélérer la cadence.

Putain.

Elle augmenta le mouvement. Elle me prit plus profondément dans sa bouche.

Je tirai ses cheveux, il fallait qu'elle aille plus vite.

Sa bouche gobait ma queue sans problème.
Sa bouche de salope était déjà entraînée.

Elle lâchait des gémissements sourd à cause de la place de ma bite dans sa bouche.
Cette pute savait y faire, elle était parfaite pour me faire relâcher la pression de ces derniers jours.

Tout ça me faisait chier, plus que d'ordinaire.

On avait toujours eu des merdes, c'était le métier. Si j'avais voulu me planquer dans un bureau pendant la moitié de me vie comme un putain de lâche, je serais devenu avocat.

J'appuyais de nouveau énergiquement sur la tête qui se trouvait entre mes cuisses.

Mais là, les merdes s'enchaînaient.
Et pire, on avait pas la moindre putain d'idée de pourquoi, comment ou de qui.

On avait aucune réponse.

Je rajoutai une deuxième mains dans les cheveux de cette salope. La cadence était empressée et brutale.

Ni sur la fille. Ni sur ce fils de pute de traitre.

Il y avait une couille quelque part, une putain d'évidence plantée juste devant notre nez.
Mais quoi ? Qu'est-ce qui était différent de d'habitude ?

Je pressai encore davantage sa bouche de mon corps ardent. Le rythme était brusquement violent et rêche.

Qui se cachait derrière tout ce bordel ?

La puttana s'étouffa et se recula en plaçant ses deux mains en opposition aux miennes.

Fait chiez.

Elle s'essuya la bouche, la bouche qui n'avait même pas réussie à me faire éjaculer.

J'étais frustré, sur les nerfs.

Cette séance avait été le reflet de ma semaine : merdique.

Elle s'avança, remit un semblant de rouge à lèvres avant de se stopper devant moi. Elle attendait son billet.

Ça faisait la deuxième fois que je prenais cette salope comme défouloir et elle n'avait pas réussi à me satisfaire.

Elle ne méritait même pas que je la paie.

Pourtant, je le fis. Elle se contenta d'un pourboire, elle ne méritait pas plus.

Je lui jetai presque à la figure. Elle se baissa d'une manière aguicheuse pour le récupérer.

Vattene puttana (dégage salope), crachai-je.

Elle se releva d'une traite, étonnée de mon ton.

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