Salem Aleykoum 🤍
𝐅𝐚𝐫𝐚𝐡
On a commencé a rentrer dans une vrai année de cours, les contrôles, les devoirs maisons tout ce que j'aime et déteste en même temps. Le mood scolaire est au rendez vous mais la fatigue ne suit plus du tout. J'essaye de trouver un rythme mais pour l'instant j'y arrive pas trop.
Ça fait quand même deux mois qu'on a repris les cours...j'ai tout le temps des trucs à faire, le week-end je suis souvent avec ma famille normalement mais je le passe à faire mes devoirs. Je suis vraiment fatigué mais je peux pas tout relâché maintenant. Al Hamdulilah on est en vacances aujourd'hui donc je vais me re organiser.
Maman - Farah !
- Entre dans la cuisine oui ?
Maman - il est où Nadeem ?
- Il est sortie ce matin avec ses potes pourquoi ? Ta besoin de lui ?
Maman - je voulais qu'il aille m'acheté du sel parce que j'en est plus, tu peux y allé à sa place s'il te plaît ?
- Oui attend je me change et j'y vais.
Maman - merci.
Je suis partie me changer, j'ai mis un joggings, t-shirt et ma grosse doudoune parce qu'il fait extrêmement froid ! J'avais pas trop envie d'y aller parce que je dois allé de l'autre côté de la cité et c'est loins quand même.
J'avais complètement oublié mes écouteurs, j'aime pas marcher comme ça. J'entend mon prénom sachant que je connais pratiquement personne ici ça m'a perturbée, je me suis retourné et quand j'ai vue Alim j'ai soufflé de l'intérieur.
Alim - ça va ?
- Ouais continue de marcher.
Alim - tu vas où ?
- Quelque part.
Alim - vas-y je t'accompagne, t'a quel âge déjà ?
- dix-sept ans.
Alim - petit sourire tranquille, ta quelqu'un dans ta vie ?
- Oui.
Alim - son visage se décompose qui ?
- Mon frère.
Alim - rire c'est rien ça, tu fais quoi en cours ?
- Commerce international.
Alim - c'est bien ça ! T'es intelligente ou ?
- Non.
Je lui donne des réponses assez aléatoires, en réalité j'en est dix-huit mais j'ai pas forcément réfléchis en lui répondant et puis je fais pas de commerce à l'école je vous est déjà dis ce que je faisais. Il m'a posé tellement de questions sur ma vie, je répondais des choses fausses comme vrai c'était vraiment une conversation sans queue ni tête.
