Yo les gars, cette histoire est une traduction de l'histoire de @shiggyyyy, ici vous êtes la fille de Gojo Satoru et je vous assure que c'est drôle. Des gros bisous.
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"C'est une grande hôtesse"
"Joyeux anniversaire Marri. Est ce que t'as un souhait d'anniversaire spécifique ?"
"Mm... t'en penses quoi de m'apprendre à contrôler les fléaux ?", sourit Marri, cachée sous sa couverture alors qu'elle parlait tranquillement à Geto.
L'homme rigola.
"Je ne pense pas que c'est comme ça que marche les techniques. En plus, t'aurais pas déjà les six yeux et l'infini ?"
Marri souffla.
"Je veux dire... oui, mais je veux apprendre ! Je te promets que je suis une bonne apprentie", sourit Marri.
Geto soupira.
"Comment veux tu même que je t'apprenne sans m'exposer moi mêm--"
"Maintenant c'est à moi de le savoir et toi de le découvrir", sourit Marri, ce qui fit seulement rire Geto et secouer la tête.
"Je suppose, et tu veux toujours qu'on se voit demain ?"
"Mhm ! Est ce que t'as reçu la tenue que je t'ai acheté ? Je pense avoir deviné ta taille car t'es aussi grand que papa et donc j'espère que ça te va. T'en penses quoi de mon style ? Il est beau, hein ?"
Geto soupira face à la petite fille arrogante, qui ressemblait sans fin à son père.
"Oui, Marri. Je l'aime bien", sourit l'homme, ce à quoi Marri acquiesça avant de déglutir, murmurant un rapide "désolée !" et d'éteindre son téléphone avant de le placer sur sa table de nuit, prétendant dormir encore.
Satoru ouvrit doucement la porte alors qu'il pénétrait dans la chambre de sa fille, secouant gentiment sa fille alors qu'elle baillait faussement, se frottant aussi les yeux.
"Bonjour princesse, et joyeux cinquième anniversaire", roucoula Satoru, étouffant Marri de bisous ce qui fit rigoler la fille, l'enlaçant car elle aimait plus que tout les bisous de son père.
"J'AI CINQ ANS ! J'AI CINQ ANS ! J'AI CINQ ANS ! Aujourd'hui je suis vraiment une princesse", sourit Marri, sortant rapidement de son lit, courant vers la salle de bain car Satoru avait acheté à la fille une robe spécial d'anniversaire.
"PAPA, TU PEUX FAIRE MES CHEVEUX S'IL TE PLAÎT ? JE VEUX CELUI QUE TU REMPLI ET -- en fait... est ce que je devrais les boucler à la place ? Papa, t'en penses quoi ?"
