Yo les gars, cette histoire est une traduction de l'histoire de @shiggyyyy, ici vous êtes la fille de Gojo Satoru et je vous assure que c'est drôle. Des gros bisous.
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"C'est une icône de la mode"
Comme punition pour avoir effrayer tout le monde, le combat entre Marri et Sukuna contre Satoru et Iori fut annulé --pour le plus grand plaisir de Iori.
Et avec la fin de la fête de la fille, les étudiants et les instructeurs de Kyoto retournèrent dans leur écoles car ils devaient encore préparer le tournoi entre Tokyo et Kyoto qui arrivaient plus tard dans l'année.
Pourtant, Marri avait finalement attrapé un coup de froid, comme l'avait prédit Megumi.
"Tu veux quelque chose avant que je parte ?", demanda Satoru, car en vrai, il ne voulait pas laisser sa fille malade, mais Itadori et Nanami avait découvert un nouveau grade spécial des fléaux.
"Tu restes", bouda Marri, remontant sa couvertures sur son cou alors que ses yeux devenaient humides.
"Je souhaites vraiment le faire, mais j'ai déjà appelé Inumaki pour prendre soin de toi. Je serais de retour dans quelques heures donc fais juste une sieste, d'accord ?"
Marri soupira, et renifla un peu, faisant se sentir Satoru extrêmement coupable.
Cependant, l'homme aux cheveux blancs était rapidement parti, car plus tôt il avait fini le travail plus vite il pouvait rentrer à la maison pour sa petite princesse.
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On pourrait penser qu'Inumaki était chaotique.
Et par dieu, c'est absolument correct ! Inumaki ne savait pas vraiment comment s'occuper proprement d'un enfant, encore moins d'une petite fille malade qui a été chouchoutée toute sa vie.
Megumi se serait mis à la tache si il n'y avait pas eu le fait que lui et Nobara avait une autre mission.
Maki et Panda étaient aussi pris dans une mission en duo près du bord de Tokyo, donc ils étaient partis il y à un ou deux jour, ce qui signifie qu'Inumaki était le seul choix;
"Saumon".
"Non, les médicaments sont dégoutants !!", se plaignait Marri, toussant alors qu'elle se cachait sous la couette, suffocant presque.
Inumaki se gratta maladroitement l'arrière de sa tête alors qu'il arrachait durement la couverture avec des fléaux de la petite fille, ce qui la fit bouder.
"Flocons de bonites", dit-il.
Marri croisa ses bras alors qu'elle commençait à pleurer, elle détestait la fièvre qui faisait surchauffer son cerveau.
