Et voici le dernier chapitre! merci de m'avoir lu et j'espére que l'histoire vous aura plus :) bonne lecture ;)
Point de vue Aragorn :
Quelques semaines plus tard,
Voilà deux semaines que j'avais demandé Arwen en mariage,et que j'étais couronnée roi.
Depuis,et bien ma foi tout été rentrée dans l'ordre, et j'en étais plus qu'heureux, il ne me tardait plus qu'une seule chose, échanger nos vœux...
Oh si j'oubliais il a bien évidemment fallu après ma demande et mon couronnement demander l'autorisation au seigneur Elrond et parla même occasion la bénédiction de Raziel d'épouser Arwen. Elrond teint son engagement, et s'excusa même des désagréments occasionnés en voulant trop protéger sa petite fille chérie. Pour Raziel,disons que je dois encore faire mes preuves, mais au vu des supplications de sa fille et tout l'amour qu'on a l'un pour l'autre,il a fini par craquer, Dieu merci !
Arwen a également raconté toute l'histoire à son père qu'il avait manqué, y compris notre romance, qui, d'ailleurs au fur et à mesure qu'elle avançait dans ce sujet, dit changer positivement l'opinion et le respect qu'il me portait. Arwen était enfin heureuse d'avoir trouvé ses origines et elle aimait entendre son père lui compter l'histoire de sa rencontre avec sa mère, qui je dois avouer était similaire à notre première rencontre.
Les Hobbits étaient rentrés dans leur précieuse Comté, mais devaient revenir pour notre Union qui aura lieu aujourd'hui même,enfin ! Gimli et Legolas sont bien, ils continuaient d'être hum... Eux-mêmes. Toujours à se charrier et à s'envoyer des pics. Deux gros gamins, en gros... Et Eowyn, s'était mis en couple avec Faremir le frère de Boromir, ils vont bien ensemble et ça fait du bien également pour moi et Arwen de ne plus l'avoir dans nos pattes, ça avait un peu été la source de nos problèmes, ces derniers mois et j'y ai peut-être un peu contribué bien que c'était involontaire.
-Aragorn,c'est aujourd'hui que tu te maries ce serait bien de t'activer. Donc, arrête de penser et prépare-toi ! Râla Gimli,en entrant dans la pièce avec Legolas
-Puis connaissant la mariée, stressée comme elle. Pas sûr qu'elle t'accueille à bras ouverts si t'oublies de te pointer à l'heure devant l'hôtel, se moquait Legolas.
-Je ne te permets pas de te moquer de ma femme ! Dis-je sur le même ton.
-Doucement,ce n'est pas encore ta femme, future femme a la rigueur, surenchérit Gimli.
-Eh ! Vous avez décidé de vous donner le mot où cela se passe comment ?
-Ben ça se passe comme d'habitude. Répondit Legolas d'un ton détaché.
-Vous alors... Soufflais-je en roulant des yeux. Bien dans ce cas, je vais m'habiller.
-Ça peut être bien en effet, dit Gimli d'un ton dédaigneux.
Je laissai échapper un petit rire, avant de prendre les vêtements et de partir me changer dans la salle de bain. Je mis un pantalon beige, suivi d'une tunique blanc crème, brodé au fil d'or avec des motifs elfiques. Je démêlais mes cheveux et retaillais ma barbe de trois jours. Et finis par mettre ma couronne, avant de sortir de la salle d'eau.
-Ah,enfin, s'exclama Gimli.
-On a failli t'attendre, surenchérit ironiquement Legolas.
Pour toute réponse, je roulais des yeux non sans avoir un petit sourire en coin.
-Prêt mon ami ? Demanda Gimli
-J'ai attendu ce moment toute ma vie donc oui.
-Prends soin d'elle, dit Legolas en faisant une tape amicale sur l'épaule.
-C'est promis, je ne laisserai plus quiconque me séparer de la femme que j'aime.
-Alors allons-y !
J'acquiesçai aux dires de Gimli, et nous dirigeâmes vers le lieu de réception.
Celui-ci se tenait dans la Cour du château, des chaises avaient été posées en deux rangées séparées sur l'herbe fraîche formant une allée entre leurs séparations, se tenaient des fleurs décorant ces dernières. Et au bout de l'allée se tenait une Arche fleurie, puis un hôtel avait était dressé sous l'Arbre des rois. Je traversai cette allée et me mis en face de l'hôtel face à Menwë, qui s'était proposé de faire le maître de cérémonie et était descendu avec les autres Valar assister à notre union. Gimli et Legolas se tenaient à ma gauche, tout le monde était là, je n'attendais plus que ma tendre muse.
Une douce mélodie retentit, et je la vis arriver au bras de son père. Elle était vêtue d'une magnifique robe longue de couleur vert claire, ornée de petites fleurs. De fines manches longues presque transparentes tombaient sur ses épaules. Et un bustier de la même couleur que la robe, faisant ressortir sa magnifique courbure, où gisait sur chaque contour de ce dernier des motifs floraux. Sa longue chevelure brune tombait en milliers de boucles ondulées sur sa poitrine, ornementée d'une couronne de fleurs au sommet de sa tête. Autour du cou se tenait l'Étoile du soir.
J'étais tellement subjuguée par sa magnificence, que j'entendis Legolas se moquer:
-Aragorn,ne t'a-t-on pas appris que c'est mal élevé de dévisager une dame.
Je le regardai en secouant la tête à la fois exaspérée et amusée. Puis je me retournai vers l'amour de ma vie, celle-ci n'était plus cas quelques pas de moi,arrivé en face je lui tendis ma main et Raziel me confia la main de sa fille et dit :
-prends bien soin de ma fille Elessar.
-Je vous le promets.
Il fit un hochement de tête entendu, puis parti s'asseoir avec les invités. Je replongeai mon regard dans celui d'Arwen et laissa échapper une waouh avant de dire :
-Tu es magnifique Elendiell... Je t'aime tellement.
-Toi aussi Elessar, je t'aime bien plus encore, dit-elle les yeux brillants avant de poser un chaste baiser au coin de mes lèvres.
-Bien,dit Menwë maintenant que nous sommes au complet la cérémonie va pouvoir commencer. Nous sommes tous réunis aujourd'hui pour unir deux âmes et deux cœurs pour l'éternité. Argorn, Elessar, fils d'Arathorn et de Gilraen,acceptez-vous de prendre pour épouse Arwen Elendiell, fille de Raziel et de Firíel, de l'aimer et de la chérie, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la santé et de la maladie jusqu'à ce que la mort vous sépare ?
-Oui, je le veux ! Répondis-je en la regardant amoureusement.
-Bien,poursuivit Menwë. Et vous Arwen Elendiell, fille de Raziel et de Firíel, acceptez-vous de prendre Aragorn, Elessar, fils d'Arathorn et de Gilraen, de l'aimer et de la chérir, dans la richesse et dans la pauvreté, dans la santé et de la maladie jusqu'à ce que la mort vous sépare ?
-Oui,je le veux ! Dit-elle avec enthousiasme, avant de devenir rouge pivoine, et de faire une moue toute mignonne en baissant la tête embarrassée.
-Redresse la tête ma princesse, tu vas faire tomber ta couronne, lui dis-je avec bienveillance en lui redressant le menton, avant de déposer un chaste baiser sur son front.
Je la vis sourire et l'entendis chuchoter un merci avant de m'embrasser sur les lèvres. Ce auquel l'Assemblée répondit par des sifflements enthousiastes. Nous ne pûmes nous empêcher de rigoler tout deux à l'entente de leur réaction. Nous nous retournâmes vers Menwë qui poursuivit :
-Dans ce cas, nous allons pouvoir enchaîner vos vœux. Aragorn, je vous laisse commencer.
J'acquiesçai et me dirigeai vers la table où se tenait une coupe, une bougie et nos alliances, je commençai mes vœux utilisant les objets en même temps que les paroles :
-Elendiell,avec cette main, je chasserai tes tristesses. Ta Coupe,toujours, sera pleine, parce que je serai ton vin. Avec cette chandelle, j'éclairerai ton chemin dans l'obscurité. Avec cet anneau, je te demande d'être mienne.
-Elessar,avec cette main, je chasserai tes tristesses. Ta Coupe,toujours, sera pleine, parce que je serai ton vin. Avec cette chandelle, j'éclairerai ton chemin dans l'obscurité. Avec cet anneau, je te demande d'être mien.
Et au moment où elle passa l'anneau dans mon doigt, je l'emmenai contre moi et l'embrassa avec fougue.
-Et les tourtereaux, on n'a pas encore dit vous pouvez embrasser la mariée se moquait Gimli.
-Roh la ferme Gimli, dîmes en nous en coeur Arwen et moi-même.
Ce qui nous surprit tous deux avant de rire, bientôt suivi de tous.
-Maître nain a raison mes enfants, il reste encore une dernière chose avant. Cette union est un peu différente des autres, le problème était l'immortalité ou la mortalité.
Je vis Arwen regarder Menwë un peu confuse, tenant ma main gauche.
-Il n'existe qu'une chose pour vous unir face au temps. Je vais vous unir par une rune, mais vous serez lié l'un a l'autre dans tous les sens du thermes pour l'éternité, une vie pour une vie, une âme pour une âme, vous serez connectés, comme votre magie Elendiell, et rien ne brisera ce sortilège.
Je la regardais cherchant dans son regard ce qu'elle voulait et je l'entendis d'en ma tête depuis longtemps dire :
cela ne dépend que de toi mon amour, je suis prête à faire don de ma vie,de ma magie pour toi. Mais ce sera pour l'éternité et nous ne devrons plus être séparés même pour le combat s'il y a.
C'est ce que je désire le plus au monde vivre à tes côtés éternellement, avec magie ou sans magie, ma vie t'appartient tout comme mon âme et mon cœur. Nous ne serons plus jamais séparés,je te le promets mon ange. Et j'écouterai avec attention ton enseignement de magie.
Elle acquiesça et on se retourna vers Menwë avant de dire ensemble en tendant notre poignée gauche:
-on est prêt !
-Entendu. Dit-il avant de dessiner une première rune sur le poignet de mon aimé qui je vis lâcher quelques grimaces de douleurs, ce qui me fit froncer les sourcils. Puis le sort fini laissant un tatouage doré et une peau rougis tout autour.
Elle regarda sa rune la caressant avant de se tourner vers moi et de sourire, me disant que tout va bien.
Je retendis mon poignet à Menwë et dis à mon tour de recevoir la rune, celle-ci, me brûlait le poignet pendant tout le moment où il me la dessina, c'était comme un marquage au fer rouge. Puis la douleur disparue, laissant apparaître un symbole. Je regardais mon amour, perplexe en ne me ne sentant pas différent, elle me sourit en faisant un hochement d'épaule,comme si elle ne savait pas elle non plus, mais peut-être aurions nous la réponse ultérieurement et pour l'instant cela n'avait pas d'importance.
Menwë nous dit joyeusement :
-Maintenant vous pouvez embrasser la mariée !
Je ne me fis pas répéter une seconde fois, j'entourai ma bien-aimée de mes bras, passant ma main gauche dans ses chevaux avant de l'embrasser ! Elle répondit au baiser avant de l'approfondir un peu plus, se collant encore plus contre moi et passant sa main dans ma chevelure. Je resserrai mon étreinte et j'eus l'impression d'être entourée d'une douce chaleur, avec la sensation de flotter dans les airs. J'ouvris les yeux regardant ma bien-aimée comme si elle avait le même ressenti. Cette dernière rompit le baiser, me sourit et dit amuser :
-Si tu sens cette chaleur, c'est que ça a marché.
-Comment ça ?
-La magie est une énergie et cette dernière repend de la chaleur dans tout ton corps la première fois, après elle se fait moins présente. Ou j'y fais moins attention.
-Et cette sensation de flottement ? C'est bizarre le sol n'est pas palpable...
Je penchais ma tête vers le sol et vis qu'on était à plusieurs mètres de ce dernier redescendant vers lui doucement.
Je regardais le sol puis Arwen, totalement choqué. Ce qui eu comme réponse, un gloussement de cette dernière.
-Ne serais-tu pas entrain de te moquer de moi ? Dis-je faussement outrer, tandis que nos pieds avaient regagné le sol.
-Oh non,je ne me serai pas permise, dit-elle en se mordant la lèvre pour étouffer le rire.
-Mais bien sûr, dis-je avec un sourire espiègle en posant ma bouche contre sa clavicule, la sentent frémir à mon contact. Je remontais jusqu'à son oreille avant de poursuivre. Je m'occuperai de cette bouche insolente et de cet affront toute à l'heure.
Et sur ce je me décalai d'elle je la vis passer du rouge pivoine au rouge cramoisi montant jusqu'aux oreilles, ce qui me fit rire tellement ses réactions était mignonnes.
-Je ne te permets pas ! Comment oses-tu, dit, elle outrée !
-Ça tombe bien chérie moi, je me permets.
-Pff idiot !
-Oui mais un idiot qui t'aime, dis-je en passant mes mains sur ses hanches et l'embrassant sur le front.
***
Point de vue Arwen
Quelques heures plus tard, dans la Salle des Banquets
Nous étions en train de festoyer, le cœur était a la fête, nous dansions, chantions, et le retour des jeu d'alcool était de mise.
-Les gars, appelais-je Gimli Légolas et les autre homme de la cité. ça vous dit un nouveau jeu a boire, cette fois avec plus d'agilité.
-C'est a dire? demanda intriguer Gimli
-Tu vois cette bouteille, chacun notre tour nous la lancerons, si elle tombe droite on passe au joueur suivante, si elle ne se trouve pas droite on boit une peinte. répondis-je malicieusement
-Je suis partant! dit joyeusement Eomir. ça ma l'aire sympas!
finalement, Lastalaica, Faramir, Frodon, Sam, Glorfindel, Beregond et Tauriel se joignirent a nous, et a mon grand étonnement, Elrond, Thranduill, Celeborn et Galadriell, participèrent eux aussi.
-Je viens renforcer les rangs de l'équipe féminine, dit joyeusement ma grand-mère
-Eh! Sister! Tu ne comptais pas jouer sans nous, dit mon frère de cœur Elohir, accompagné de notre frère Elladan.
-Tu pense bien, dis-je avec complicité et bien que le meilleures gagnent.
-oui mais ça sera sans toi chérie, dit mon aimé qui venais d'arriver derrière moi et m'entourai de ses bras.
-Et en quel honneur, dis-je faussement outré.
-En l'honneur que je te kidnappe pour la soirée, répondit-il malicieusement.
-Pense tu vraiment que je vais me laisser faire, le défiais-je.
-Non en effet, conclu t-il.
-Ah tu vois, donc on reparle après que...
Je fus coupée dans ma phrase quand je sentis Aragorn me soulever et me balancer sur son épaule.
-Qu'est-ce que tu fais! lâche moi tout de suite!! râlais-je en me débattant dans ses bras.
-Messieurs, Dames, je vous laisse boire a notre santé, Dame Galadriel, je compte sur vous pour leur mettre la pattée, répondit-il en faisant un clin d'œil a cette dernière.
-Bien entendu, répondit ma grand mère avec complicité.
-Nous vous laissons, j'ai a honoré ma femme.
-Quoi? dis-je rouge d'embarras.
-Ne faite pas trop de bruit cette fois, se moqua Gimli avec plein de sous-entendu.
-Comment? rugis-je. va te faire foutre Gimli!
-Moi aussi je t'aime princesse, répondit-il en riant
-J'ai jamais dit que je t'aimais moi, protestais-je en lui tirant la langue comme une gosse de cinq ans
Attention passage Lemon, âmes sensibles s'abstenir:
Point de vu Aragorn:
nous venions a l'instant d'arriver dans notre chambre, je portai toujours mon aimée sur mes épaule en riant, je fermais la portede notre chambre avec le pied et je m'avançais vers notre lit avant de la balancer gentiment sur ce dernier.
-T'es pas gentil, ralâ-t-elle en s'asseyant en tailleur et en croisant les bras J'allais leur mettre la patté!
-Oh mais je n'en doute pas un seul instant chérie. dis-je en riant. Seulement, je me disais qu'on avait mieux à faire et qu'on pourrait profiter de la fin de soirée, juste toi et moi...
-Serait-ce vos idées impures qui réapparaissent ? Dit-elle d'une voix moqueuse avec un regard provocateur.
-Mmmm c'est possible, pourquoi cela vous déplairai-t-il Elendiell,répondis-je d'un ton provocateur, en me mettant au-dessus d'elle plongeant mon regard dans le sien.
-Point du tout, bien au contraire, dit-elle sur le même ton avant d'inverser les rôles et de me retrouver sous elle, à califourchon sur moi. Seulement ce n'était pas obliger de le crier haut effort a l'assemblée, même si c'était sous entendu.
-Mais cela aurai était moins marrant, dis-je un sourire aguicheur
Plongeant à nouveau son regard dans le mien, je pouvais y lire de l'amusement l'amour et de l'envie. Sans crier gare elle se jeta sur mes lèvres,m'embrassant à pleine bouche.
Elle me retira la Couronne la jetant doucement au sol en même temps que j'enlevais la sienne tout en riant, et serrant un peu plus mes cheveux tout en continuant d'approfondir notre baiser. Je commençai à essayer de dénouer les lacets de son corset, mais perdant patience, je pensais à un moyen de le déchirer, hors aucun couteau à l'horizon. Mais en pensant à cela ma main toujours dessus le corset. Celui-ci se déchira en deux deux, je regardais Arwen surprise elle aussi en voyant sa robe tomber, décousue dans le dos.
-Sale type dit-elle en riant en me faisans une pichenette.
-Désolé très chère, c'est arrivé comme par magie, dis-je en descendant complètement sa robe, et la renversant sur le côté de sorte que j'étais maintenant sur elle.
-Comme par magie, dit-elle d'une voix faussement inquisitrice en croisant les bras. Il faut penser pour que la magie suive chéri. En tout cas pas de doute pour la magie par la pensée.
-Oups dis-je en riant.
Avant de venir poser ma tête au creux de sa nuque et d'y déposer des baisers. Je la sentis se cambrer contre moi sous l'effet de mes baisers, laissant échapper quelques soupirs de béatitude.
Sans crier gare, je me retrouvai à mon tour sans ma tunique, tombant parterre en morceau.
Je regardais mes vêtements, surpris, puis Arwen en fronçant les sourcils avec son sourire amusé au coin des lèvres.
-Mais où son passées les convenances Madame
-Elles sont parties en vacances, dit-elle en riant. Et puis c'est un prêté pour un rendu, maintenant on est quitte.
-Oh, vraiment ? dis-je d'un ton provocateur un sourire en coin.Pourtant, comparé à moi, il te reste encore cette chemise.
Que j'enlevais en deux deux.
-Oups, je voulais dire restait. Poursuivis-je en regardant malicieusement mon aimée.
Cette dernière pour toute réponse ria, en se couchant et posant sa tête sur l'oreille, s'étendant de tout son long, me permettant de contempler toutes ses magnifiques courbures, et la beauté de ses seins, il est vrai que dû aux conditions physiques de son corps liées au combat, c'es derniers étaient plus petits que la moyenne,mais c'est comme ça que je les aime, chaque parcelle de son corps était un pêcher des yeux. Je sellais de nouveau nos lèvres,collant mon corps tors nu, contre le sien, puis descendis mes lèvres le long de sa mâchoire jusqu'à son cou, où elle laissa échapper un petit soupir, puis je descendis plus bas jusqu'à la naissance de ses seins, où elle se courba encore plus, glissant sa main droite dans mes cheveux, tandis que son autre main s'agrippait aux draps.Puis je descendis son jupon jusqu'à l'enlever complètement et que je l'envoie par terre avec nos autres vêtements. Au moment où je remontais vers elle pour nicher ma tête contre son cou cette dernière me fit tomber sur le côté inversant les rôles et me retrouvant dos contre le matelas mes mains au-dessus de ma tête prisonnier sous ses mains. Je fus surprise pendant une fraction de secondes de la poigne qu'elle pouvait avoir avec une seule main, mais se fût de courtes durées, quand je sentis lèvres se balader et descendre au fur et à mesure sur mon torse elle lâcha mes mains, et descendis ses mains, vers ma ceinture d'Apollon, avant de faire glisser le seul vêtement qui me restait. Laissant dévoiler, mon membre dure dû à l'excitation qu'elle me procurait. Elle me regardait en souriant et d'une démarche féline se mis à califourchon sur moi, avant de se pencher vers moi, ses cheveux tombant sur mon torse, et vains m'embrasser, j'approfondis notre baiser la serrant contre moi, une main contre sa tête, l'autre dans son dos, ses mains entourées ma nuque, nous collant encore plus au fur et à mesure du baiser. Puis je la pris par les hanches la souleva afin de la positionner et d'entrer en elle, la reposant délicatement. Cette sensation nous fis tous les deux gémir silencieusement étouffer pas notre baiser, commençant lentement à faire des vas et viens. Puis je décidais de reprendre le dessus la basculant de nouveau afin d'être sur elle, à ce résultat je l'entendis grogner entre deux baisers ce qui me fit sourire contre ses lèvres, avant de continuer mes mouvements de hanches.
Je la sentais se cambrer au fur et à mesure que j'augmentais la cadence, m'enfonçant encore plus en elle, laissant échapper un gémissement de bonheur avant de venir en elle après plusieurs minutes. Je me laissai choir contre elle, fermant les yeux attendant de reprendre une respiration normale. Ma tête posée sur seins, je pouvais entendre son cœur battre a l'unisson avec le mien. Ce qui me fit sourire. Elle continuait de me caresser la tête, avant de dire:
-Je t'aime mon amour.
-Moiaussi chérie, répondis-je en me redressant vers elle afin de pouvoir la regarder dans les yeux. Pour toujours et à jamais.
Sur cela, elle vint capturer mes lèvres en se redressant à son tour.Elle me fit basculer sur le côté, sauf que nous étions sur le bord du lit, nous tombâmes tous les deux par terre dans un bruit assourdissant, la lampe de la table de chevet nous avait suivis dans la chute à cause des draps qui l'avait bousculée. Elle mit un bouclier autour de nous instinctivement, nous protégeant des débris de verre. On se regardait deux secondes, choqués par la scène,avant d'éclater de rire. Puis je capturai ses lèvres plus fougueusement qu'avant. Sans crier gare elle nous envoya contre le mur d'en face, me, retrouvant deux mètres, en haut, dos collé au mur, je la regardais surpris avant de dire:
-C'est la magie qui permet ça ?
-La lévitation, une forme de magie en effet. Tu apprendras qu'on peut faire des tas de choses avec des sortilèges, dit-elle d'une voixsuave.
-mmm est-ce aussi bon que ça en à l'air ? Répondis-je d'un ton sarcastique
Et ce fût reparti pour un deuxième round, et ceci continua jusqu'au petit matin....
Fin du lemon
***
Point de vue Elendiell
Le lendemain au réveil, fin de matin...
En ouvrant les yeux, dû à la lumière du jour, je pus constater mon aimé endormi contre moi, son visage était si paisible, que je n'avais pas envie de le réveiller. Je le regardais comme ça pendant quelques secondes avant que celui-ci ne commence à ouvrir les yeux.
-Bon matin ! dit-il d'une voix encore endormie
-Bon matin ! bien dormi ? demandais-je en souriant.
-oui,c'était la plus belle nuit de ma vie, maintenant je vais pouvoir connaître le plus long sommeil de ma vie. Dit-il en riant
-Une seule fois suffirait à l'homme de ma vie, le taquinais-je
-Je ne trouve pas ta remarque très juste, ria t-il en m'enlaçant avant de poser un baiser sur mon front.
Nous restâmes ainsi pendant quelques minutes avant que mon ventre ne crie famine, brisant le silence de la pièce, suivi peu de temps après par le rire d'Aragorn.
-Je crois que le ventre de Madame est réveillé, je m'étonnais qu'il n'eût encore rien dit.
-Pff, moque-toi idiot, râlais-je
-Oh je ne me serais pas permis, dit-il sarcastiquement en se redressant.Oh oh...
-Quoi demandais-je en me redressant à mon tour.
Je suivis son regard, et vis le bordel monumental. la lampe à nos côtés était brisée en mille morceaux, les oreillers avaient été éventrés de sorte que des plumes étaient disposées ci et là de la pièce. Ne parlons pas de la boiserie du lit, rompue en deux morceaux, sans compter nos vêtements, eux... en lambeaux.
-Oups, dis-je avec une moue d'enfant coupable.
-Je crois que si Légolas entre on va se faire chambrer, pour les siècles à venir, dit-il avec une grimace.
-Mais non, il n'en saura rien. Regarde et laisse faire l'artiste.
Je me levai, pris une chemise de mon aimé, arrivant à mi-cuisses,l'enfilant histoire d'être un minimum vêtu, je pouvais sentir le regard plein de désir de mon aimé, mais l'ignora superbement, pas le temps, il fallait réparer les dégâts. Je sortis ma baguette de lumière posée sur la commode, traça une rune sur ma main droite,et je bougeai ma main de sorte que chaque objet bougea et fût réparé en un quart de seconde, le lit fût remis en place comme a son origine, les oreillers étaient ressuscités, les plumes disparurent,la lampe brisée fût reconstruite à l'identique. La scène du crime avait disparu, tout était neuf et impeccable.
-Tadam !ni vu ni connu, répondis-je fièrement en enfillant sa chemise qui m'arriver jusqu'a mi-cuisse
-Toi alors, ria t-il.
-Bon maintenant , habille-toi j'ai faim, lui ds-je en lui balançant de nouveaux vêtements dans la figure, avant de me dirigeai vers la sortie
-rassure-moi,tu ne vas pas sortir comme ça ?
-À ton avis ? Pourquoi ma tenue ne te plait pas. répond
-Oh si bien, au contraire, seulement je n'ai pas vraiment envie de partager ce spectacle des yeux. Dit-il en se levant, et en allant dans la commode chercher des vêtements. Avant de me les balancer dans la figure à son tour.
-Hé !protestais-je
-Un prêté, pour un rendu, chérie
Pour toute réponse je lui tirai la langue, avant de me déshabiller et de lui lancer sa chemise dans la tronche, qui comme prévu tomba sur lui, lui couvrant le visage. Ce dernier se mit à rire tout en humant sa chemise. Je finis de ma'habiller et sans crier gare, il me prit dans ses bras et m'embrassa.
Quelques minutes plus tard,
Nous étions dans la salle des banquets en train de prendre le déjeuner vu l'heure qu'il était, Légolas et Gimli nous rejoignent, avec un grand sourire aux lèvres en nous regardant.
-Ou-là, chérie ça craint je sens, dis-je à mon aimé.
-Je le pense aussi répondit-il.
-Salut les tourtereaux, alors au vu des cris qu'on a entendus jusqu'à trois heures du matin, la nuit a été bonne, se moqua Légolas.
Pour toute réponse de ma part, je me mis à devenir rouge pivoine jusqu'aux oreilles, ce qui ne fit que redoubler le rire de Gimli. Aragorn, quant à lui, se racla la gorge, avant de boire un verre.
-Hum...et vous donc. Répondit-il
-Disons qu'on aurait pu si vous aviez était moins bruyants, surenchéri Gimli; je parie que la chambre doit être en ruine, vu les bruits qu'on a entendus
-Même pas vrai, protestais-je, allez donc voir si vous le voulez, les provoquais-je.
-Non, car je parie que tu auras utilisé un sortilège pour réparer toutc ela.
-Vois pas de quoi tu parles, ruminais-je mauvaise foi, en prenant une gorgée de vin.
-C'est ce que je disais, c'est impressionnant comme tu ne sais pas mentir,se moqua-t-il
pou rtoute réponse je lui tirai la langue comme une enfant de cinq ans avant de me retourner vers mon assiette et de croquer dans un toast avec un œuf au plat sur le dessus.
-Mange t'as raison, faut prendre des forces après la nuit que tu as passée,se moqua Gimli.
Manquant de m'étouffer avec la nourriture, je toussai et le fusilla du regarda vant de dire:
-vous allez nous chambrer encore longtemps ? Car je ne crois pas que,vous deux, vous soyez mieux placé pour parler. Je vous est revus que depuis deux semaines, vos flirts ne m'ont pas échappés.
-Je ne vois pas quoi tu parles, se défendit Légolas en regardant dans son assiette
-Voilà, manges donc et tais-toi, et pour ta gouverne toi aussi tu mens extrêmement mal.
-Vous l'avez cherché, ria Aragorn.
Au moment, où j'allais croquer une nouvelle fois mon toast, je fus pour la énième fois en un mois prise d'une nausée. Je me levai d'un bon et couru à une vitesse vampirique vers la salle de bain, avant de vomir dans les WC.
-Mon amour, ça va? Demanda mon aimée inquiet qui m'avait rejointe a la même vitesse que moi.
-Oui les œufs ne devaient pas être bons, je vais bien.
-Mmm,répondit-il septique.
-Quoi ?demandais-je penaude
-C'est pas la première fois que ça te la fait.
-Oui et ?
-Depuis quand ?
-Depuis quand, quoi ? Ralais-je
-Depuis quand tu es pris nausée?dit-il en haussant un sourcil.
-La première fois, c'était lors de mon réveille a Minas Thirit, dis-je en réfléchissant. Donc y a un mois et demi.
-Tu as eu tes règles ?
-Heu...
je m'arquais une pose, réfléchissant à mes dernières menstruations.
-Et merde ! Conclus-je choquée.
-Ton langage chéri, réprimandât-il amusée
-Mon langage il te dit flûte !
-Bon par contre vu les circonstances, est les Valars soient loués on a pas trop festoyer depuis la nuit où on la fait, mais du coup à partir d'aujourd'hui plus dégagement.
-Sans rire ! Maugrais-je. Si j'avais sur je n'aurai pas bu, je ne suis pas inconsciente non plus.
-On sait jamais, me taquina-t-il
-Je t'emmerde Elessar, dis-je en riant.
-Moi aussi je t'aime Elendiell, dit-il en riant à son tour.
-Y a quelque chose qui te tracasse mon amour, dit-il plus sérieusement, en se mettant à genoux, pour être à ma hauteur.
-Je ne sais pas, peut-être l'idée d'être enceinte ? Que ce n'était pas prévu dans le programme, enfin pas immédiatement pour moi. De ne pas savoir comment vont se poursuivre les événements,s'il va grandir normalement ou pas.
-Mon amour, dit-il tendrement en me prenant dans ses bras et me berçant contre lui. Tout ira bien, ne t'en fais pas. Je sais qu'on est un peu pris au dépourvu, mais je sais que l'enfant ira bien, il aura une croissance normale et tout rentrera dans l'ordre. Il faut juste rester calmes, respirer et garder la bonne humeur ! Je sais que pour toi c'est compliquer d'être de bonne humeur, mais t'y arriveras.
Pour toute réponse je lui fis un doigt d'honneur avec un sourire provocateur.
-Ahah,et aussi quelques séances de bonne conduite ne ferons pas de mal, se moqua-t-il ? Pour ce qui est du « programme » depuis quand on a un ? dois-je te rappeler que c'est toujours à l'improviste vu la moulasse qu'on a ?
-Tu sais où peu te l'ai mettre tes séances de bonne conduite,protestai-je amusée. Oui c'est vrai, je pense qu'on doit avoir le Sheatan...
-Non mais tu va me le dire, répondit-il d'une voix enjouée.
-Mmm,je ne sais pas. Faut que j'y réfléchisse.
-Ahah,mouais... dit-il avec malice. Puis c'est la continuité de ces derniers événements. c'est juste l'aube d'une nouvelle vie qui ne sera que meilleure.
Il finit sa phrase en posant sa main sur ma joue, chassant mes larmes avec ses doigts tout en me souriant, avant de m'embrasser sur le front, et de me tendre la main, pour m'aider à me relever.
-je t'aime, murmurais-je ma tête posée contre son torse et mes mains dans son dos l'enlaçant.
-Moi aussi je t'aime. Dit-il amoureusement, en resserrant son étreinte. par contre sa veut dire que tu va être chiante les huit prochains mois, enfin je veux dire plus que d'ordinaire, poursuivit-il en me taquinant.
-Ben justement j'aurais une super excuser pour te faire la misère pendant huit mois, le provoquai-je en lui tirant la langue. tu n'es même pas prêt chérie.
-Oh pitié, dit-il faussement dépiter, avant de m'embrasser de plus belle
***
Quelques années plus tard
Six ans s'étaient écoulés depuis ma première grossesse, j'avais accouché d'une magnifique petite fille aux yeux bleu gris et une chevelure châtain, dotée de grandes Boucles onduleuses. Je fus soulagée qu'elle eût une croissance, humaine. Elle était d'une énergie incontestée, courant dans les couloirs, essayant d'échapper à sa tutrice et au cours de bienséance. Elle était encore plus infernale depuis l'arrivée de son petit frère Eldarion il y a presque trois hivers de cela; ce dernier était le portrait craché de son père, une petite bouille d'ange aux yeux bleu gris et à la chevelure brune et épaisse.
Quant à nous, et bien hormis les doléances du peuple ; les aider ;la paix était enfin revenue en terre du milieu, et c'était un soulagement, pour ma part, je n'avais pas couru un seul danger depuis la naissance de ma fille.
Enfin bon d'accord, peut-être une ou deux fois... mais juste quelques orcs pour se dégourdir l'épée... et juste une série d'engueulades s'ensuivit à mon retour par Aragorn, possible que je lui ai fait une légère, petite frayeur, en revenant ensanglantées. Juste une légère coupure, enfin bon d'accord, une épée de Morgule. Donc,obligées de me sauver, avec la magie elfique, qu'il avait su maîtriser depuis un an, à mon plus grand bonheur. Il avait tellement bien travaillé ma magie, qu'il en était arrivé à mon niveau.
Pendant quelque temps on s'était demandé si Ailionora, notre fille, aurait nos pouvoirs magiques, et c'est avec une grande fierté que je vous annonce, Oui.
Quant à Eldarion, je pense qu'il est bien parti, disons que je l'ai surpris en train de tendre la main depuis son berceau et le hochet posé sur la table d'à côté s'est retrouvé dans sa main, donc bon, ça me semble plutôt bon signe.
Elrond est parti avec le Roi Thranduill, rejoindre leur femme sur les terres immortelles, au Havre Gris, il y a deux étés de cela, après avoir vu Eldarion, et après avoir laissé Légolas monter sur le trône de Mirkwood au côté de Gimli. Emmenant avec eux au Havre Gris, Frodon et Bilbo, à cause de l'anneau.
Gandalf quant à lui avait décidé de rester ici à Minas Thirit, Celeborn et Galadrielle, rester dans leur précieuse Loriene.
Quant a Sam, il avait épousé sa chère Rosaline, peu de temps après notre mariage, et à ce que je me souvienne avait déjà quatre enfants dont deux jumeaux, les pauvres, doubles peines.
Pipin et Mery, et bien... ils restent eux-mêmes. Toujours à faire la fête ou à voler dans le potager du fermier d'à côté. Buvant à la taverne en chantant et dansant jusqu'au petit matin, ou volant les feux d'artifices de Gandalf quand il venait pour les fêtes d'anniversaires.
Et pour finir, Eowyn, et Faramir, avaient fini ensemble, se mariant et vivant dans une charmante maison, dans notre cité.
Tout finissait dans le meilleur du monde, nous savions bien que Morgoth n'en resterait pas là, mais pour l'heure, nous nous en préoccupons pas, et profitant de chacun instant de bonheur que nous passions avec nos enfants.
-Ailionora,qu'as-tu fait encore ? dis-je à ma fille en la voyant courir vers nous, avant de se cacher derrière son père, suivi quelques secondes plus tard par Tauriel, qui n'était autre que leur gouvernante qui avait le même âge que moi.
-Vos Majestés. Dit-il-telle en s'inclinant, auriez-vous vu la princesse Ailionora ?
J'entendis ma fille glousser derrière mon époux comme une petite poule. Cela me fit sourire, je levai les yeux au ciel, avant d'ajouter:
-Non mal heureusement ? pourquoi, ce serait-elle encore enfuie ?
-Oui hélas je surveillais le prince Eldarion et la princesse en a profité pour s'échapper.Je suis vraiment désolée.
-Oh non, ne vous en faites pas, je suis sûre qu'elle va revenir et faire ses plus plates excuses. Où est mon fils pour le coup.
-Endormi dans son lit, Votre Majesté.
-Très bien, je vous remercie, allez vous reposer, Tauriel, je vais m'occuper de retrouver ma fille. Répondit a ma place Aragorn
-Mais sir...
-J'insiste Tauriel, je vous donne votre journée
-Merci,dit-elle en faisant une révérence avant de s'en aller.
Une fois sortie de la pièce on se tourna vers notre fille, qui nous regardait avec une bouille innocente, en croisant les mains derrière son dos.
-Quand a toi jeune fille, gronda gentiment Aragorn, tu va me faire le plaisir, de reprendre les cours et de faire de plate excuse a Tauriel demain?
-Mais je m'ennuyais, je voulais juste m'amuser un peu. Mère ?
-Oh là non, ne me fait pas ses yeux doux. Ton père a raison, donc files, la rouspétais-je gentiment. Et pas d'entourloupe, je surveille, tu le sais.
-Bien.dit-elle en faisant une moue de chien battu.
-Et après, on ira faire des biscuits si tu as fini, poursuivis-je avec malice
-Vrai ?s'extasia-t-elle
-Oui !mais avant tu dois finir ce que tu as commencé.
-Entendu !dit-elle joyeusement avant de sortir en courant.
-Pourquoi,elle me rappelle étrangement une certaine personne à mes côtés,me taquina mon aimé.
-Oh,je n'en sais rien, dis-je la plus innocente possible, avant de passer mes bras contre son cou, tandis que les siennes étaient dans mon dos et de l'embrasser.
-Merci,murmura-t-il en posant son front contre le mien.
-Pourquoi ?
-Pour ne pas avoir baissé les bras il y a six ans de ça, avec tout ce qu'on a pu traverser, pour m'avoir épousée, pour m'avoir donné deux merveilleux enfants et pour m'aimer et être à mes côtés. Jet'aime tellement mon amour, et ce depuis notre première rencontre ;
-C'est moi qui te remercie, désolée d'avoir douté il y a six ans, pendant la guerre. Merci à toi, de m'avoir épousé, de m'avoir donné ses deux petits anges et de nous avoir unis pour l'éternité et pour chaque moment passé et qu'on continuera de passer. Je t'ai toujours aimée, et t'aimerais
-à jamais, fini-il en même temps que moi, avant de reprendre mes lèvres.
FIN