La Quête De l'Anneau (Histoir...

By Zazadoremi

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Elendiell 116 ans, elfes, sorcière et chasseuse d'ombre, souveraine de la fédération magique et de la terre d... More

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Prologue
Chapitre 1: Les Cavaliers Noirs
chapitre 2: Le Conseil d'Elrond
Chapitre 3: Imladriss
Chapitre 4: L'entraînement
Chapitre 5: Discussion nocturne
Chapitre 6: Le Départ
Chapitre 7: Le Col de Caradhras
Chapitre 8: Un voyage dans l'obscurité
Chapitre 9: La Lothlórien
Chapitre 10: Le Bal
Chapitre 11: le depart de la Lorien
Chapitre 12: Les chemins se séparent
Chapitre 13: Valinor
Chapitre 14: la forêt de Fangorn
Chapitre 15: Le château d'or
Chapitre 16: La route de Gouffre de Helm
Chapitre 17: Le gouffre de Helm
Chapitre 18: Le Palentir
Chapitre 19: Minas Thirit
Chapitre 20: Morgoth
Chapitre 21: Mauvais rêve ou Réalité?
Chapitre 22: L'entrée des morts
Chapitre 23 : la bataille du Gondor
Chapitre 24: La tour Infernale
Epilogue.
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Chapitre 25 : Le couronnement d'Elessar

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By Zazadoremi

Point de vue d'Arwen

Quelques heures plus tôt à Fondcombe...

En arrivant à Fondcombe,j'eus la surprise de le trouver désert, il n'y avait personne pas un chat, les gardes avaient disparu, même les femmes, étaient-ils parti au havre Gris ? Sauron avait-il eu raison sur ce coup-là ?Non cela ne ce pouvait. Ils ne sont pas comme ça ! Je marchais en direction de la bibliothèque, il fallait que j'aille vitrifier dans les archives, bien sûr je ne crois pas en ses mots, mais il avait quand même réussi à éveiller un doute en moi. C'est vrai il avait raison sur au moins un point, Aragorn avait agi bizarrement, et je ne serai pas étonné qu'Elrond en soi, mais pourquoi il l'aurait fait ? Quel était c'est motivation. Pourquoi ne m'avoir jamais parlé de mes parents ? Étais-je vraiment la fille d'Isildur.

Trop de questions tournaient dans mon esprit...Arrivé devant les grandes portes en bois sculpté de la bibliothèque, je l'ai ouvrit et entré. Je fus alors submergé par la délicieuse odeur des parchemins, la salle était immense faisant facilement plus de 200 m² ! Contre les murs se tenaient d'imposantes bibliothèques montant jusqu'au plafond, où si trouver des milliers que dis-je des millions de livres. Au centre de la pièce siégeait une grande table en bois rectangulaire entouré de chaises. J'avançai vers les archives, et les feuilleter un à un en une vitesse lumière Quelques secondes plus tard je n'avais rien trouvé.

-Mais ce n'est pas possible ! Il n'y a rien ! Rien ! Rien de chez rien !Mais drouille ! Comment faire ? Comment savoir ?Pourquoi il n'y a rien sur moi dans ses fichus papiers ?!

Tandis que je maugréais contre toutes les forces de l'univers j'eus une vision. Je vis Frodon et Sam sur la montagne du destin entouré par la lave ainsi que la tour de Sauron s'effondrer.
Je me levai d'un bon de la chaise prismes clics et mes claques, et sautais dans le portail que je venais decréer. Je tombais sur l'entrée du volcan de la montagne du destin.

-Sam ! Frodon !Les appelais je en hurlant.

Zut ! Sans réfléchir plus je m'engouffrai dans le tunnel menant au cœur du volcan. La chaleur était insupportable et l'odeur du soufre et de la chair brûler était nauséabonde et me faisait suffoqué. Pourvu que je l'ai trouvé vite ! Je pourrais pas tenir longtemps, ma magie n'est pas du tout compatible avec la chaleur volcanique, c'est comme si la chaleur de ma magie résistée à la température de ce lieu aïe... C'est alors que je vis, au cœur du volcan Frodon se débattant avec Gollum. Et Sam venant à son secours. Ils allaient tous trois tomber dans la laver en fusion, je me précipitai vers eux et tendu ma main à Sam qui tenait avec son autre main Frodon.

-Tenez bon mes amis vous y êtes presque. Leur dis-je.

Au moment où Sam et Frodon se retrouvèrent sur la terre ferme. La main de Gollum surgit de là où se tenais Frodon et Sam et attrapa la cheville de Frodon. Afin de se remonter à son tour. Je me mis entre lui et Frodon ce dernier et je lui donnant un coup de pied l'expulsant dans la lave avec l'Anneau. Au moment où l'Anneau toucha la lave du volcan, se mit à gronder et le sol à trembler.

-vite courrez ! Leur dis-je en criant en courant vers la sortie du volcan.

Ils me suivirent et peu de temps après le volcan se mit à craché de la lave. Je l'ai foré grimpe sur le plus haut rocher afin que pendant les quelques secondes où je fabriquais mon portail la lave ne puisse les atteindre.

Une fois ce dernier fait, je leur dis :

-donnez-moi les mains, on va traverser le portail.

Je visualiser alors l'infirmière de la cité blanche. Et en deux trois mouvements nous arrivâmes, là Eowyn était dans la pièce en nous voyant surgir de nul part hurlait de surprise, puis ce précipité vers nous.

-Où sont les autres où est le seigneur Aragorn.

-Ils ne vont pas tarder à rentré dis-je froidement. Pour l'heure, ses deux Hobbits ont besoin de soins nourriture et repos. Pourriez vous m'aider s'il vous plaît. Je vais soigner Frodon, mais j'ai besoin que vous vous occupiez de Sam.

-Je vais bien. Je peu me débrouiller, dit penaud Sam

-Je ne demande pas votre avis Samsagace Gamegie ! Rugis-je en le foudroyant du regard à en faire trembler la pièce.

Ce dernier se tassa sur lui-même regardant le sol paniqué. Je me rendis alors compte que j'étais peut-être allé trop loin. Je m'avançais vers lui, me mis face à lui à sa hauteur en m'accroupissant. Je posais ma main sur son épaule gauche et de l'autre, je soulevais son mentons afin de lui faire redresser la tête.

-Désolée Sam, je ne voulais pas vous effrayer, mais vous aider. Vous avez en durée bien des épreuves, et je ne doute pas de votre force courage et de votre inquiétude pour Frodon. Mais tout deux êtes entre de bonnes-mains, alors faites moi confiance, allez vous poser s'il vous plaît, comme ça, je peux soigner Frodon. D'accord ?

-Oui, dit-il en faisant un sourire timide.

Je souris, et l'embrassai sur le front avant de rejoindre Frodon allongé sur le lit voisin.

-Ah nous deux, lui souriais-je. Tendez-moi votre main blessée.

Il me rendit mon sourire et me tendit main où il lui manquai un doigt.

-Il ne vous a pas loupé, désolé ça va un peu piquer avec une sensation de chaud.

Il acquiesça et je mis ma main au-dessus de ça main mutilée. Je fermais les yeux et lançai une invocation magique, pour réparer ça main. Sous l'effet du sort, je le sentis se crispé légèrement à cause de la douleur. Puis se détendit à la fin du sors, j'ouvris les yeux le regarda et regarda nos mains, j'enlevai lentement ma main pour lui faire découvrir la sienne, il la regarda alors choquer. Elle était guérie, aucuns doigts ne manquait et les blessures avaient disparu. Il bougeait un à un ses doigts pourvoir ci tout ça était bien réel et se jeta dans mes bras ravis.

-Merci Arwen !

-C'est normal Frodon,je te félicite toi et Sam vous avez fait preuve d'un grand courage et force pour affronter tout ceci et vous avez réussi là où t'en d'autres aurez échoué. Vous êtes fort. Et cela vous sera toujours utile. Bien reposez vous, vous en avez besoin.

Je me levai et m'apprêtais à quitter la pièce avant que je finisse de franchir le seuil de la porte. Frodon m'appela.

-Arwen. Nous reverrons nous un jour?

-Bien plus tôt que vous ne le pensiez. Dis-je avec un doux sourire. Mais j'ai des choses à régler avant.

Et sur ces mots, je quittais la pièce, je tombais alors face aux soldats, et surtout àma famille et mes compagnons.

-Félicitations pour le travail que vous avez accompli. Ravi de vous revoir, Frodon et Sam son à l'intérieur, il se repose. Et Aragorn, Eowyn vous cherche dis-je sans plus d'intérêt avant de me retournait sans leur laisser le temps de répliquer. Et je traversais à nouveau un portail que j'avais créé.

J'arrivai alors dans les cavernes de Mandos. L'endroit était toujours aussi sombre et humide. Je lançais un sort de luminosité et me dirigeai vers le Bureau de Namös. Une fois devant je frappé trois fois, la porte s'ouvrit et Namös me regarda surpris.

-J'ai besoin de votre aide.

Il acquiesça et m'invita à entrer.

***

Points de vue Aragorn :

Gandalf avait reçu un message de Arwen comme quoi les Hobbits étaient à la cité blanche. Nous fûmes alors tous soulagés de les savoirs tout trois en vie, moi le premier, j'allais enfin voir Arwen,lui avoué la vérité. C'est tout ce que désira le plus à l'instant T. Je me méfiais de Legolas, car je savais à présent qu'il aimait Elendiell, et après ce que je lui avais dit,je doutais de plus en plus à reconquérir ma belle. Et Legolas
était prince, un Elfe, un être immortel, il pouvait lui offrir tout ce dont je ne pouvais et tout ce dont elle était prête jadis à sacrifier pour moi.
Nous partîmes au galop vers la cité blanche, je savais qu'au moment où je franchirai les portes, j'aurai accepté mon destin, mon devoir, être roi.
Autrefois, j'en avais peur, mais maintenant, je me sentais près. Ma seule frayeur, désormais,était d'avoir peut-être perdu l'amour de ma vie. Et j'avais un ressenti, une impression que c'étais ce qui m'attendais.
Je préférais cent fois plus être ce que j'étais et l'avoir à mes côtés, qu'être roi et la voir partir loin de moi. Mais peut-être étais je ce que je mérite après le dernier soir que j'ai passé avec elle.
J'avais vu et ressenti que je l'avais brisé comme un vase en cristal. J'avais senti qu'elle avait coupé notre lien. Comment ? Comment avait-elle pue croire un seul mot de ses foutaises après 60 ans ensemble comment pouvez t'elle douter de mon amour pour elle avec des mots horrible serte, mais qui n'était pas sincère et pensé réellement...

Oh seigneur fait que je puisse la récupérer, je me battrai pour elle jusqu'à mon dernier souffle. Elle est ma lumière ma raison de vivre. Sans elle, la vie ne vaut pas d'être vécu.

J'ai fait de nombreux sacrifices, et être roi ou rôdeur ça ne tient pas chaud la nuit, la vie et trop courte et trop longue pour la passé seul.

Je comprenais désormais, ce qu'Arwen voulez dire quand elle me disait qu'elle préféré vivre une vie humaine à mes côtés qu'affronter tous les âges de ce monde seul. Il en était de même, je l'avais sur dès notre rencontre, confirmée du notre premier baisé et quand on, c'est avouer nos sentiments et elle est mon âme sœur et une fois qu'on l'a trouvé,on se bat pour elle, même si cela est vain. Aucune bataille n'est sûre d'être gagnée, mais elle doivent être fait. L'amour est la seule bataille valable qui se doit d'être fait dans ce bas monde. Rien n'est jamais acquit et tous doit être construit à chaque instant de notre vie, jusqu'à notre dernier souffle.

Mais on se rencontre souvent de ce qu'on avait une fois qu'on la perdue.. Peut-être suis-je pessimiste, peut-être rien de tout cela ne finira ainsi,peut-être aurai je le droit à mon Happy End. Mais j'en doute. Après tout ceci son dans les contes de fée pas dans la vraie vie... Si seulement...

-Aragorn ! M'interpella Gimli me sortant de mes idées noires. On arrive.

Je regardais face à moi et vie les portes de la cité, j'acquiesçai un peu tard, c'est dire.

-Mon ami, vous avez une salle mine, on dirait un de ses morts-vivants aux idées lugubre.

Je ne pus m'empêcher de rire doucement à sa blague.

-Cela va t-il mon ami ?

-Mmm... Répondit-il dubitatif ?

Nous franchîmes les portes,les femmes accoururent vers leur mari revenu seins et sauf du combat. Moi, je chercher mon amour dans cette foule, mais je nela vis pas. Peut-être était-elle a l'intérieur du palais.

Je descendis de mon cheval,suivis de mes compagnons ainsi que de Gandalf Galadriell, Celeborn,et Thranduill. Et nous nous dirigeâmes vers le palais. Une fois entrées, nous partîmes en direction de l'infirmerie se trouvant au deuxième étage, arrivé dans le couloir nous vîmes Arwen en sortir. Elle nous regarda un premier temps surpris puis sourit, de façon inhabituelle, elle n'avait pas son regard pétillant.

-Félicitations pour le travail que vous avez accompli. Ravi de vous revoir, Frodon et Sam son à l'intérieur, il se repose. Et Aragorn, Eowyn vous cherche dit-elle sans plus d'intérêt.

Sur la dernière phrase qui me concerner elle le dit d'un ton plat presque dédaigneux, en me lançant un regard indifférent, et s'enfuilla dans un portail sans qu'on ai eu le temps de dire quoi que ce soit.

-Il s'est passé quoi là ? Quelqu'un m'explique ? Demanda choqué Gimli.

-Rien de bon... Dit froidement Galadriell. Elrond ?

-Oui ?

-Qu'as tu fais ? Ta nièce, ma petit fille n'a jamais été froide et encore moi avec celui qu'elle chéri plus que tous au monde ! Donc ?

-arff, j'avais dit à Aragorn de l'éloigner de lui tant qu'il y avait la guerre c'était pour les protéger...

-QUOI!! LES PROTÉGERS ??! TU TE MOQUE DE MOI?! rougit Galadriell en faisant crépiter ça magie à cause de la colère.

-Chéri calme toi essaya doucement Celeborn.

-Me calmer?! Tu te rend compte il vient de briser leur couple, il les a mit tout deux en danger, car quand ils sont séparés il se passe toujours un drame.Notre petit fille est devenu une sorte de mort vivant tellement elle est dépourvu de sentiment et ne parlons même pas d'Aragorn. Et pour couronné le tout ! Elle a fugué je ne sait où, et on ne sait même pas ce qui ses passé quand elle a été enlevé !Et je dois être calme?!! Sérieusement ?!!

Elle finit sa phrase en faisant péter les vitres du couloir et descendit les escaliers furieuse en pestant comment pas permis.

Tout le monde était coït devant ce spectacle. Je finis par briser le silence et dis :

-Ce n'est pas la faute du seigneur Elrond, c'est la mienne. C'est moi qui ai décidé de l'éloigner de moi. Moi qui ai dis des choses horrible pour la faire partir. Moi qui les détruite.

Je fini cette dernière phrase en parlant plus bas et en sentant les larmes monter. C'était la première fois que ça m'arriver, j'ai jamais ressenti autant de détresse en moi. Je me suis jamais sentis aussi minable et détruit intérieurement. Je vis Eowyn arrivé, je ne la regardais pas plus et Galadriell nous rejoignit avec distance un peu plus calme. Et pour ajouter à mes souffrances,je poursuivis :

-C'était le soir après qu'elle soit arrivée ici, j'ai été un monstre avec elle... Elle est venue en pleure ce jeté dans mes bras après être sorti d'un portail, c'était quelques heures après que j'aie eu cette discutions avec le seigneur Elrond. Je sentais ça détresse, je sentais ça crainte et au lieu de la rassurer, je lui ai dit en la regardant le plus froidement qu'il m'était possible de faire :

"Que faite vous ici Votre Altesse ?"

Je savais quand la vouvoyant, et en mettant le titre, je remettais une distance entre nous comme un mur invisible. Je fis en sorte de reste le plus impassible possible. Elle me disait alors de sa voix douce habituellement sans prêter plus d'importance à mon comportement et cassant la distance qui nous séparait

"Je me laçai de vous nín meleth. J'avais besoin de vous voir. "

Je me reculais, chaque pas que je faisais pour m'éloigner d'elle chaque mot que je m'apprêtais à dire me poignardé le cœur.

"Vous n'auriez pas dû. Il n'y a rien pour vous ici." Lui avais-je dit enfuyant son regard.

"Que voulez-vous dire ?"

"C'est pourtant clair. Je ne suis pas celui qu'il vous faut."

"Ça, c'est à moi dans décider. Je suis encore capable de savoir ce qui est bien pour moi et pour connaître mes sentiments. Et ils vous appartiennent, combien de fois devrai-je vous le dire pour que vous le compreniez."

"Vous n'aurez plus à le répéter. "Disais-je doucement en fermant les yeux afinde retenir mes larmes. J'allais la briser, je le savais.

Pendant un instant, je vis dans son regard qu'elle relâcher la pression qu'elle était plus rassuré. Et cela me fit encore plus mal, je rassemblai toute mes force pour passé au-dessus de cela et la regardai froidement avant d'ajouter :

"Vous n'aurez plus à le faire, car c'est terminé entre nous."

"Pourquoi dite-vous cela" Répondit elle alors faiblement.

"Car je ne vous aime pas" Lui avais-je menti, ces cinq mots m'avaient brisé le cœur comme je brisé le siens, mais ce n'était pas pire que ce qui allait suivre. Je savais qu'il faudrait que je sois plus convaincant. Que je la blesse plus pour qu'elle m'abandonne ou l'inverse, qu'elle comprennent que c'était fini.

"Depuis quand ? Pourquoi me dites-vous soudainement cela ?"

"Depuis toujours,en fait, je crois que je me suis voilé la face pendant toutes ses années. Cela n'aurait jamais pu fonctionner,tu es immortelle et moi un simple mortel "

"Je vous avez dit que j'abandonnerai pour vous l'immortalité des miens !"

"Mais cela, je n'en ai cure, car vous ne représentez rien pour moi ! Vous êtes seulement le fantôme de la personne que je rêvais d'avoir à mes côtés... Vous n'étiez à mes yeux qu'une solution de pansement, rien de plus. Et ma vie à vos côtés et bien trop dangereuses, chaque jour, je manque de me faire tuer par ceux qui vous veulent du mal
Hors, je n'ai rien demandé à tout cela, seulement avoir une vie paisible et je me rends compte que je ne l'aurais jamais à vos côtés. D'autant que j'ai enfin trouvé ma moitié. Et celle-ci est humaine et comparée à vous, elle n'est pas une anomalie de la nature. "

Je fis une pause dans mon récit me laissant échoué contre le mur les yeux embrumés par les larmes et la gorge nouée.

-Je la sentais se raidir choqué par mes mots. Je sentais qu'a cet instant elle voulais juste disparaître dans un trou sous Terre, juste mourir... Je la sentais se battre contre son chagrin et ravalé ses larmes comme je ravalais les miennes. je savais qu'elle ferais tout pour me cacher c'est vraie émotion. Je la connaissais,je sais très bien que quand ça va pas, elle intériorise elle fait en sorte de ne pas le montrer et de paraître forte. J'avais entendu, c'est penser qui disait :

" Ses mots étaient blessants, comment... Comment pouvait-il dire ça ? Pourquoi après toutes ses années, il me disait cela ?
Mais peut-être a-t-il raison, nous sommes différents, je le savais, je savais que j'étais un monstre, mais je pensais qu'il me connaissait. Je pensais qu'il m'aimait pour ce que j'étais et qu'il passerait outre tout cela..."

"Eh bien... Dans ce cas, je suis heureuse que vous ayez trouvé votre moitié. Au moins vous serez en sécurité, ce n'est pas un monstre elle. Et puis elle pourra vous donner ce que je n'ai pu vous offrir apparemment... Je vous souhaite le meilleur Aragorn."

"Adieu Elendiell..."Finis-je par dire avant de passer à côté d'elle et de disparaître de son champ de vision.

-C'est moi le monstre dans l'histoire. Moi qui l'ai détruite. Qui est détruit notre couple, c'est moi qui ai dit ces mot. Pas le seigneur Elrond. Finis-je de dire en mettant ma tête entre mes genoux.

Je me sentais minable, je m'en voulais. Si seulement je pouvais remonter le temps... J'avais perdu et détruis l'amour de ma vie. Et au final pour quoi faire ? Rien je ne l'avait pas plus protégé que si je l'avais gardé à mes côtés. Peut-être Galadriell avait raison on est plus fort et plus en sécurité quand est ensemble...

Je me relevais d'un bon et dis :

-Je vous prie de m'excuser.

Puis je quittais le couloir et partie vers l'arbre roi, j'avais besoin de prendre l'air, je suffoquais... Je m'assis contre l'arbre et me perdis dans mon chagrin. Je l'aime trop, et je l'avais perdu... Certainement pour toujours...

-Le futur n'est pas écrit Elessar, dit la douce voit de Galadriell.

Je relevais le visage vers elle. Elle s'accroupit face à moi, poursuivit :

-Je suis sûr que tout rentrera dans l'ordre et vous ne devez pas vous en vouloir de ce qui sait passé. Je sais que vous l'aimez et je sais aussi que vous n'avez jamais voulu la blessé. Je ne suis pas d'accord avec le choix qu'Elrond vous a imposé. Et le sacrifice que vous avez du faire était inutile malheureusement... Mais vous verrez tout rentrera dans l'ordre.

-Et par qu'elle miracle ?Je ne la mérite pas. Peut-être cela devait se finir ainsi après tout, toute histoire à une fin.

-L'Aube, s'enchaîne toujours à la nuit Elessar. Vous êtes la meilleure personne pour ma Petit fille que je n'aurai pu espérer même dans mes rêves les plus fous. N'en doutez pas. Le futur n'est pas écrit, et votre fin n'est pas arrivé.

***

Point de vue Elendiell:

J'avais frappé à la porte du Bureau de Namós celui-ci avait ouvrit, avait paru surpris de me voir, et je lui avais dit:
-J'ai besoin de votre aide.

-Entré.

-Que puis-je faire pour vous mon enfant ? Pourquoi êtes-vous si paniqué et vide ?

-Je... J'ai besoins de savoir...

-Savoir?

-Qui était mes parents. Dis-je fermement en prenant mon courage à deux mains. Est-ce vrai qu'Aragorn est mon frère ?

-Qui vous a mis ça en tête ?

-Sauron. Mais je vous apprends rien, vous saviez qu'il m'avait tenu captive pendant quelques heures ou jours ?

-Arff,très bien. Mais avant, il faut qu'on convoqué le Conseil, et cela ne sera pas immédiat, il faudra attendre demain,car Vairë n'est pas là, il faut que tous les membres du Conseil soient présent. Dit calmement Namós.

-Mais pourquoi invoquer le Conseil, m'exclamais-je agacé. Est-ce si compliqué de me révéler mes origines ? Pourquoi tout,c'est secret, tous autant que vous êtes. Le but, c'est quoi ? Que je me fasse tuer par mon ennemi qui en sait plus sur moi que moi-même. Que je ne sache pas quoi qui m'attends. Que j'apprenne de la bouche de mes ennemies sans savoir si c'est des mensonges ou la vérité ? Pourquoi tant de mystère, pourquoi vous me cachez tout ça ? Pourquoi...

-Yavanna ! Me coupa-t-il Sévèrement en montent le ton. Tu sauras ça au moment venu. Et ce n'est pas négociable. Maintenant laisse tes questions pour plus tard et suis moi.

Je m'apprêtais à répliqué quand il me dit :

-Et pas la peine de protester.

Je restais coït pendant quelques secondes, la bouche formant un O. Puis, je croisai les bras et fronçai les sourcils comme une enfant de 5 ans en train de bouder.
Je le suivis sans un mot l'ignorent magnifiquement quand il eu la galanterie de me laisser sortir en me tenants la porte.

Quelques minutes plus tard après avoir quitté les cavernes de Mandos,et traverser les ruelles de Valinor, il me fit entrer dans mes quartiers avant d'ajouter.

-Je vous laisse vous installer, nous dînerons à 20h dans la salle habituelle. Profitez-en pour aller vous d'étendre dans les sources d'Avalon, cela vous fera du bien après ce périlleux voyage.

-Je vous remercie Namos, à tout à l'heure.

Quelques minutes après, je pris une serviette et une robe mousseline bleue azure, et parti vers les sources d'Avalon. Celle-ci se trouvait au cœur d'une première fleurie, où gisait un lac suivi d'une chute d'eau, ce lac était quant à lui alimenté par une magnifique cascade d'eau chaude, cette dernière était tellement transparente qu'on y distinguer les galets blanc polis parle courant. Je me dévêtis et posai mes vêtements sur les branches d'un arbre disant près du lac. La douce sensation de mes pieds dans l'eau chaude m'encouragea à y entrer encore plus. Une fois entièrement dedans, l'eau m'arriver jusqu'à la nuque en me tenant debout, je me laissa choir dans ce bain naturel posant ma tête contre un rocher et fermer les yeux, laissant un à un mes muscle ce décontracté, et me détendre, profitant de la béatitude que m'offrais ce lac.

Soudain,j'eus une vision, ce n'était pas du passé, ou un futur chaotique. Au contraire, la vision me réchauffa le cœur.
Je me vis dans le Palais de la cité blanche, je me trouvais près de l'arbre des rois, assis dans l'herbe fraîche, un livre sur mes genoux en train de surveiller deux enfants qui jouaient en riant, encourant autour de moi. Une fillette qui avait à peine passé son sixième hiver me ressemble comment deux gouet d'eau et un petit garçon plus âgé de deux, trois ans, qui lui était le portrait cracher d'Aragorn. Et justement, le petit garçon envoyant ce dernier arriver, couru vers lui et se jeta dans ses bras en l'appelant papa. Aragorn, le souleva dans les airs ce qui fit rire le petit garçon. Puis il le reposa parterre, s'avança vers moi... La petite fille courue à son tour vers ce dernier et le sera fort. Il la souleva pour la portée contre lui et lui rendit son étreinte, caressant avec sa main droite ça tête qui était poser contre sa nuque. Je m'avançais vers lui une fois près de lui, il posa la petite fille et me prit dans ses bras,m'embrassant.
-Vous m'avez tellement manqué nín Meleth.

- Vous aussi, les trois mois en votre absence était longs...

-Je suis là maintenant, susurra t'-il en posant ses lèvres sur mon front. Legolas et Gimli vont nous rejoindre dans trois Lune

-Oh,c'est merveilleux, ça faisait si longtemps ! Les enfants,vous allez pouvoir voir vos oncles Legolas et Gimli.

-Chouette!! Dirent-ils en cœur avec euphorie.

Ce qui nous firent tout deux rire.
En regardant de plus prêt mon aimé, je constatai qu'il n'avait pas pris une ride, il paraissent aussi jeune qu'avant, mais ce qui m'intriguai et que sa peau ressemblait à la mienne, elle était devenu lumineuse et diaphane au soleil, et pendant l'espace d'un instant j'avais cru voir du dorée dans ses prunelle. La marque des sorciers, des immortelles. Mais cela ne se pouvait.

Soudain,tout devint noir, et je me réveillai en sursaut, je mis quelques secondes à m'adapter à la lumière du jour et à reprendre conscience de l'environnement où je me trouve.

Je finis par me laver avec du savon frottant jusqu'à éliminer toute la crasse accumulée. Puis sorti de l'eau m'en roulant dans la serviette et mis une serviette sur mes longs cheveux pour les sécher.

Quelques heures plus tard,

La nuit venait de tomber à Valinor, et je me dirigeais vers la salle de réception pour le souper. En arrivant là-bas,je fûs ébloui par la beauté de la salle, de grand lustre dorée ornée le plafond peins de fleurs et de forêt, de lyre et de tonneau de vin.
Les lumières des lustres venaient se refléter sur les vitres en grandes arches et miroirs de la salle.
Des dizaines de demies colonnes de marbre, étaient posé de chaque côté de la salle, parfaitement l'aligner, où gisait sur cette dernière des vases en porcelaine fleurie avec des magnifiques bouquets de roses, de fleurs des champs et de fleurs de lys.
Au milieu de cette salle, se tenait une imposante table rectangulaire en bois Massif, celle-ci pouvait contenir une centaine de couverts, et faisait de moitié la longueur de la salle.

Et justement, cette dernière aurait dû être mise pour 2 personne,hors une cinquantaine de couverts avait était disposée.

Pourquoi ? Qu'est-ce que manigance Namos ? Je ne devrai pas tarder à le savoir.

***

Point de vue Aragorn :

Voilà trois nuits qui s'étaient écoulées depuis sa disparition, je ne cessai de penser à elle de m'inquiétai pour elle.
Où était-elle ? Que faisait-elle ? Allait-elle bien ? Toutes ces questions ne cessaient de hanter mon esprit.

Dansune semaine, j'allais me faire couronner roi, je n'aurai jamais cru que je le ferai, mais si je le faisait ça aurait été pour elle. Hors là, je ne savait même pas si elle serait là, ou si je là rêverais même un jour. Mais je sais que je ne cesserai jamais de l'aimer. C'est également pour ça que j'ai repousser Eowyn y a peu, je lui est clairement expliqué qu'elle devait passé son chemin, car mon coeur et mon âme appartiennent et on toujours appartenu qu'a une seul personne, a ma moitié, a ma tendre Arwen. Et si j'ai là chance de la revoir, je lui dirai combien je l'aime combien je suis prêt à me battre pour reconquérir son cœur, et l'avoir à mes côté pour le restant de ma vie, fondée une famille avec elle et l'aimer jusqu'à la fin des temps était mon seul soit mon seul rêve.
Oh seigneur que je l'aime, faite qu'ils puissent se passer un miracle...

-Mon ami encore dans vos songes. Me taquina Gimli.

-Toujours,je pensais...

-Ah Arwen, coupa Legolas avec un sourire compatissant. Je suis sûr qu'elle reviendra, pour toi. Depuis le temps que vous êtes ensemble, je n'ai jamais vu un amour aussi passionnelle et inconditionnelle. Alors ne perdez pas espoir mon ami.

-Merci Legolas. Cela me va droit au cœur venant de ta part. Si seulement tu pouvais avoir raison...

-Aragorn, un Elfe à toujours raison. Dit-il avec un sourire narquois.

-Ahah,et la modestie aussi à ce que je vois.

-C'est bien connu des Elfe d'être pédant, se moquait Gimli. N'est ce pas Verte feuilles !

-Oh là mes amis, vous me cherchez ! Surtout toi Gimli !

-J'ai fait ça ? Répondit ce dernier d'un ton ingénu. Diantre,je me serais jamais permis, tu me connais !

-Justement,je te connais...

-Mais!! Mon cœur!! Se plaignit outré le nain.

-Pauvre chéri... Se moquait-il.

-Aragorn ! Appela Gimli au secours.

-Oh non, vous vous débrouillez ! Votre histoire ne me regarde pas. Au pire si vraiment vous vous disputer vous pouvez toujours vous réconcilier au lit. Repondis-je d'une voix moqueuse en faisant un clin d'œil

Ah l'entente de ses mots, je vis les deux me regarder avec des yeux de poisson rouge leur bouche tombant presque à s'en faire décocher la mâchoire. Puis l'elfe se ressaisit, fit un raclement de gorge,et fuyant le regard, dit :

-Je vois pas de quoi t'y parle. Et c'est une blague de très mauvais goût...

Puis sur ce il ce retourna et ce dirigeants vers le château.

-Désolé Gimli,

-T'inquiète ça lui passera, Merci d'avoir essayer quand même.

-Disons que Arwen est plus douée que moi pour ce genre de blague.

-Puis tu connais Legolas, intentiner susceptibles quand on le pique à vif.
Même si je dois avouer que tu mettais un doigts sur l'essentiel. Dit-il en faisant un clin d'oeil

-Maître nain me cacheriez-vous des chose ?

-Qui sais... Dit-il d'une voix énigmatique.

-Dans ce cas je te le souhaite l'ami lui ou quelqu'un d'autre,tant que tu trouve le bonheur ! Repondis-je sincèrement.

-Merci ! Et moi je te souhaite sincèrement de retrouver ta bien aimée. Mais j'en doute pas, vous êtes fait l'un pour l'autre ! Comme la dit l'elfe, tout va s'arranger faut juste faire preuve de patience. Après tout, tout viens à point à qui sais attendre.

Il fini sa phrase avec un clin d'œil et parti à son tour.

Peut-être on t'il raison, en attendant je devrai me préparer réfléchi au discours et à ma demande si je recroise Arwen, après tout se lamenter et broyée du noir ne fera pas avancer les choses !

***

Point de vue Arwen :

Au même moment, dans la salle des banquets, à Valinor

Je venais d'aller m'asseoir à table et peu à peu les invités s'installèrent à leur tour. Et comme de par hasard,bizarrement tous les Valar étaient là, je fusillais du regard Namos, qui, pour toute réponse, se mit a sourire en me faisant un clin d'œil amusé.

"Idiot ! "Pestai-je intérieurement

-Ne vous en faite pas très chère, dit d'une voix mélodieuse Verda,en s'installent à mes côtés. Namos nous a raconté votre problème, nous y répondront tout à l'heure en attendant profiter du dîner.

-Bien,mais j'attends des réponses à toutes mes questions. Les avertis-je.

-Il en sera selon vos désirs Yavana. Dit Manwë.

-Je vous en remercie Manwë, lui repondis-je plus calmement.

***

Quelques heures plus tard,

Nous étions installées dans des fauteuils sous le kiosque de la cité des dieux, celui-ci était entouré de rosiers et de jasmin étoilé,dégagent un délicieux parfum emporté par la brise du soir. Ce soir, la nuit, était dégagée de nuage, laissant apercevoir la voie lactée, accompagné de maintes étoiles, faiblement éclairé par le clair de lune.
Le kiosque était Illuminé part des petits lanterne où gisait des feux follets, et des lucioles.

À l'intérieur de ce dernier se tenait en formant un cercle 14 imposantes chaises en bois sculpté de la même couleur que le kiosque. Chaque Valar était assis sur un de ces trônes, moi y compris. Manwë, ouvrit le Conseil en m'invitant à parler.

-Bonsoir, si j'ai fait appel à vous ce soir, c'est que j'ai besoin de réponse important à mes questions.

-Nous vous écoutons mon enfant m'encouragea gentiment Verda.

-Quand Sauron,ma maintenu en captivité y a quelques jours, il m'a dit qu'Aragorn et moi, étions frères et sœur. Je ne peule croire, mais en même temps, on m'a toujours refusé de révéler l'identité de mes parents, je ne sais même pas d'où je viens. J'ai besoin de savoir ! Je vous en prie !

-Il est normal de vouloir savoir cela, Désolé pour ce qu'a pu vous raconter Sauron, mais il a tort. Votre mère était la plus brillante des Elfe de se monde, elle se nommer Firíel. Mais quelques siècles plus tard, elle ses épris d'un inconnu quel avait rencontré en forêt. Peu de temps après elle abandonné son immortalité pour vivre avec lui et vous à eu, mourrant en vous donnant le jour, après Galadriel vous à élever avec Elrond. Raconta Namós

-Mais qui était cet inconnu ?

Namós serembrunit à l'entente de mon questionnement. Il fronça les sourcils et dit sévèrement :

-Cela n'a pas d'importance.

-Pour moi ça en a ! Dis-je sur le même ton. Je veux savoir, vous avez promis de répondre à toutes mes questions. À moins que vous préférez que je demande à l'ennemi de me répondre. Vous savez que j'en suis capable ! Alors parlez !

-Obstiné comme votre mère. Soupire-t-il exaspéré.

Il regarda autour de lui questionnant du regard l'Assemblée qui hochèrent positivement la tête.

-Soit,capitula-t-il. Votre père, il est celui qui vous à transmis son dont de clairvoyances et de révéler nos secrets. Il était l'Ange Raziel.

J'allais m'énerver en leur disent de pas se moquait de moi, mais au vu de leur regard, j'en conclus qu'il venait de dire la vérité.

-Que lui Est-il arriver ?

-Il a été banni de Valinor. Dit sévèrement Manwë.

-Pourquoi ? !

-Car il nous a trahi les archanges non pas à se mélanger avec vous autres, c'est contre nos règles.

-En quoi cela vous causerez des problèmes.

-les enfants des anges seraient des anomalies, ils seraient son doté de leur don et de pouvoir immense, ils seraient capables de bouleverser l'ordre des choses, répondit durement Manwë.

-Et moi dans tous ça, je n'aurai pas eu, c'est pouvoir nous nous serions tous fait tuer vous y compris. Sauron et Morgoth auraient dominé le monde voir Vahyendill. Je suis peut-être une anomalie de la nature en attendant si nous sommes tous vivant si vous ne vous êtes pas fait botter le cul par Morgoth qui serai revenu si jamais il m'avait mis la main dessus, c'est grâce à moi, grâce à mes parents. Le monde change et ce serait bien que vous aussi. On ne condamne pas des gens, car ils sont tombés amoureux enfreignant vos stupides lois, d'autant que ce n'est pas comme si j'étais la fille d'un démon, et même pas sur qu'elle serai méchant. Vous savez pourquoi ? Car nous ne sommes pas nos parents, ce sont nos choix nos actions qui déterminent ce que l'on est réellement et non d'où l'on vient ou de nos ascendances.

-la petite a raison Manwë, dit Verda avec sympathie. Puis ce n'est pas comme si ça arriver tous les quatre matins.

-Où Est-il maintenant ?

-Dans mes cavernes, répondit Namós dépitée. Je vais le relâcher, surenchérit-il avant que je n'ouvre ma bouche.

-Vous allez pouvoir revoir votre père mon enfant, dans tous les cas perdre l'amour de sa vie aura déjà payer son crime... Dit tristement Nienna en compatissant pour sa souffrance.

-Et pour Aragorn ? Pourquoi Sauron, m'a dit ça ?

-Pour vous déstabiliser, répondit Namós. Aragorn, est votre âme sœur, vous êtes plus fort ensemble et ça il le savait. D'où le fait de ses propos.

- Dans tous les cas, c'étais vouer à l'échec je suis immortel et lui un mortel... Dis-je sombrement repensant à cette nuit-là. Dans tous les cas, c'étais vouer à l'échec je suis immortel et lui un mortel...

-Vous avez vu votre futur dans les sources, au fond de vous savez que vous vous mentez et que votre fin n'est pas vouer à l'échec comme le disait votre oncle. Vaïre

-Comment Savez-vous. Demandais-je surprise.

-dois-je vous rappeler mes Don ? Dit-elle amusée

-Oh,je vois... C'est vrai. Mais pourquoi à t'il dit ça ?

-Vous n'aurez qu'a lui demander vous-même. La base d'un couple est basée sur la discussion, à vous de résoudre vos problèmes. Dit gentiment Verda. Il me semble que vous n'avez plus d'autres questions ?

-Je présume qu'il faut que je retourne résoudre les choses avant que le couronnement n'ait lieu ? Et pour Raziel quand le verais-je.

-Je le libérait tout à l'heure, vu les circonstances, il vivra avec vous sur terre, il gardera son immortalité, mais devrait vivre une vie humaine. Dit Manwë.

-Je vous en remercie.

-Pour ce qui est de votre retour, il faudra que vous vous y rendiez en même temps que Raziel tout à l'heure, le couronnement d' Elessar au ralieu demain peut-être serait-il bon d'y assistée, me dit Vaïre en me faisant un clin d'oeil complices.

-Oui,merci pour tout !

-Je vous en prie. Merci à vous d'avoir sauvé ce monde, nousespérons pouvoir compter sur vous pour les événements à suivre.

-Oui,bien que j'espère qu'ils seront moins funestes, mais je présume que Sauron n'est qu'un pion parmi t'en d'autres, Morgoth ne restera pas sur cette défaite.

-En effet, j'en ai bien peur. Néanmoins, nous devrions avoir quelques siècles de répit avant son retour.

-Je l'espère un peu de vacances ne ferai pas de mal. Dis-je amusé.

***

Quelques heures plus tard, dans les Cavernes de Mandos.

-Bien nous y voilà, dit Namos en se
mettant devant une grande porte en bois.

Il sorti un trousseau de clé, et prie celle qui ouvrait cette porte. Puis il m'invita à entré, ce que je fis, et entrai à son tour. Une faible lumière émané de la pièce, cela venait de l'homme assis dans l'angle du mur en Pierre.

-Raziel,appelait Namos.

Ce dernier leva lentement la tête, regardant qui l'avait appelé.

-Tu es libre,poursuivit Namos, avant de claquer des doigts et de faire tomber, ses chaîne.

-Pourquoi,demanda t'il méfiant.

-Car Yavana,ou Arwen, nous a convaincues de te libérer,cependant tu vivras une vie humaine à ses côtés,tout en conservant ton immortalité.

-Arwen ? Répèta-t-il surpris comme s'il avait mal entendu.

Je m'avançais vers lui, sortant de l'ombre. En me voyant, il essaya de se relever brusquement, fait ne réussit pas, étant dépourvu de force. Je m'accourus vers lui, venant en aide, et je lui lançais un sort de guérison, soignant ses blessures et lui rendent sa Force d'origine.

-Merci,dit-il en se redressant faisant tomber la mince couverture noire qui avait été mise sur lui, faisant maintenant apparaître sa luminosité et ses grandes ailes blanche. Est-ce vraiment toi Arwen ?

-Oui,dis-je d'une petite voix, prises par les émotions.

Il me prit alors dans ses bras, me serrant contre lui et m'entourant de ses ailes protectrices.

-Tu ressembles tellement à ta mère mon enfant, sauf pour les yeux. Merci de m'avoir libéré et retrouver. Namos, jet'en remercie aussi et je suis prêt à partir dans le monde des humains et à perdre mes ailes tant que je peu rester à ses côtés,c'est tout ce qui m'importe.

-Dans ce cas, si vous êtes prêt, vous partirez des maintenant, Yavana,je te laisser ouvrir le portail. Et bon courage pour votre zing.

-Oui,merci Namos, je vous tiendrai au courant bien que je pense que Vaire le fera elle-même. Dis-je amusé.

-En effet dit-il sur le même ton.

-Pourquoi Yavana,s'enquit Raziel perplexe.

-Jet'expliquerais. Lui dis-je. Mais en premier, je dois sauver mon couple.

-Tu as un chéri ? Tu n'es pas un peu jeune ?

-j'ai 116 ans ! Et c'est mon fiancé à la base.

-C'est ce que je dis, trop jeune encore plus pour un mariage. Je te signale que pour moi, tu étais encore qu'un bébé...

-Ahah tu aura le temps de me connaître. Et on aura l'éternité pour rattraper ce temps perdu.

-Et il est comment ? Gentil ? Financièrement viable ? Il ne t'as quand même pas... Hum. Voilà quoi.

À l'entente de la dernière question, je manquai de m'étouffer et j'entendis Namos s'esclaffer discrètement. Je lui lancé un retard noir et me tourner vers mon père.

-Papa,je marquais une pause me choquant moi-même de ce moment dont je pensais jamais dire, ce dernier, ce Figea puis se détende me souriant ravi d'entendre que je l'appelle ainsi. Aragorn est la meilleure personne
au monde, c'est une longue histoire,mais je te promets de te la raconter. Pour les deux autres questions, mm, je préfère ne pas répondre surtout la dernière, et je suis certaine que tu n'aimerais pas réellement savoir.

-Je,non en effet, je ne préfère pas. Rien que de penser qu'il est pu te.... Arf non, je ne préfère pas... Dit-il en faisant une moue horrifiée.

Ce qui me fit rire à mon tour, je sortis de ses bras, et je traçais une rune créant un Portail dimensionnelle.

-Bien, Namos encore merci lui dis-je, je reviendrai vous voir bientôt, je pense.

-C'est entendu, soyez prudente et mes félicitations d'avance. Dit-il en me faisant un clin d'œil amusée.

Je roulais des yeux, non sans avoir un sourire en coin amusé de son sous-entendu. Puis je pris la main de mon père et sauter dans le portail, quittant les Cavernes de Mandos et Valinor. Avant d'atterrir dans le jardin de Minas Thirit, c'est là que je vis mon aimer poser près de l'arbre scrutant l'horizon.

-Aragorn l'appellais-je en souriant

À l'entente de son nom, il se retourna, et me regarda ahuri avant de venir vers moi.

-Père, tu veux bien nous laisser un instant.

-Père ? Demanda Aragorn surpris.

-Je t'expliquerais. Dis-je amusé

-D'accord...

-Ne vous en faites pas y a un paquet de trucs qu'elle doit également m'expliquer, dis amuser Raziel. Bien, je vous laisse. Aragorn c'étais un plaisir de vous voir même si c'est de courte durée.

Puis il se pencha vers moi et chuchota :

-Il n'est pas un peu vieux pour toi ?

-Je suis plus âgé que lui ! Dis-je en soufflant agacé.

-Oui,c'est vrai que tu n'as plus un an.

-En effet ! Puis-je maintenant.

-Bien-sûr à plus tard. Je m'en vais visiter les environs, qui sais je verrai peut-être Galadriel et Celeborn.

-Oui, ils sont la, accompagnée du Seigneur Elrond, Roi Thranduill, et Gandalf. Dit à son tour Aragorn

-Oh merveilleux !

Sur ce, il disparut en direction du château.

***

Point de vue Aragorn

Au même moment,

L'homme qu'Arwen avait nommé père, disparu, je me doutais qu'elle eût certainement trouvé des réponses à son passé et j'avais hâte d'en savoir plus. Mais j'étais déjà plus qu'heureux de la revoir elle et je devais lui parler.

-Arwen...

-Aragorn dit elle en même temps, Désolé à toi l'honneur.

-D'accord merci. Je voudrais tout d'abord m'excuser pour ce que j'ai dit le soir ou en ses quitter, tout ce que j'ai dis était entièrement faux, et je ne pensais pas que tu l'aurais cru si facilement.

-Je vois, j'en suis soulagé alors. Je.. Si, car une part de moi le pense. Tu mérites mieux qu'un danger ambulants et une anomalie de la nature...

-Non,c'est faux, dis-je en m'avançant encore plus vers elle et en posant mes mains sur ses hanches l'emmenant un peu plus contre moi. Tu es la seule que j'ai toujours aimée et que j'aimerai toujours. C'est toi qui mériterait mieux que moi, je ne sais même pas comment tu as pu tomber amoureux de moi. Et tu n'as jamais été une anomalie de la nature au contraire, tes la plus belle personne au monde et ceux dans tous les sens du terme. Bon pour le danger ambulant ça, je te l'accorde,tu as une fâcheuse manie à t'embarquer dans des pétrins pas possibles et ceux sans le faire exprès, quoique...

-Pardon d'avoir douté ce que tu ressentais réellement pour moi, et je t'ai toujours aimé, dès que nos regards ce son croisé ce jour dans la forêt, j'ai su que tu étais ma moitié mon zing. J'ai eule coup de foudre, et tu es la seule personne qui a le plus de valeur à mes yeux, tu es la seule personne avec laquelle je veux passer le restant de mes jours, enfin si tu le veux bien. Et pour l'aimant à problème, je jure, je ne le fais pas exprès. Je plaide mon innocence dit-elle amusée en mettant ses deux mains en l'air.

- ahah tu parles, pas besoin de faire cette bouille innocente, ça fais parti de toi et je serai toujours là pour te protéger, je pense juste qu'il faut plus qu'on se sépare, tu avais raison à chaque fois qu'on est loin de l'autre il se passe toujours un drame. Et bien sûr que je veux être à tes côtés pour le restant de nos jours, je veux vivre toutes les choses humaines à tes côtés. Je t'aime tellement nín meleth.

-Moi aussi, je t'aime nín Gur.

-Dans ce cas, Arwen Elendiell, mon tendre amour, me ferais tu l'immense et bonheur de passé ta vie à mes côtés et pour la deuxième fois de m'épouser ? Dis-je en mettant un genou à terre et en sortant une bague avec un Pierre de lune au-dessus.

-Oui,je le veux bien sûr !

Je passai l'anneau à son annulaire gauche avant de me relever et de l'embraser, au qu'elle répondit et approfondis notre baiser.
Je l'aime, et je ne laisserai plus rien, ni personnes nous séparer, je m'en faisais la promesse.
Elle sépara nos lèvres,avant de dire en souriant :
-Félicitations pour ton couronnement.

-Il a lieu tout à l'heure, j'espérais que tu pourrais peut-être y être.

-Mmm,je ne sais pas, il faudrait que je vois mon emploi du temps, c'est qu'il est chargé. Dit elle d'une voix enjouée

-Je vois, mais peut-être sa souveraineté pourrait faire exception sur son planning pour aujourd'hui. Lui repondis-je amusé

-mmm je vais voir ce que je peux faire, dans ce cas.

Sur cela, nous rigolâmes, avant de nous enlacer, elle posa ma tête sur mon épaule et je resserrai mon étreinte nous collant plus l'un à l'autre et posant ma tête sur sa tête, profitant de cet instant de bonheur et dis :

-Tu m'as tellement manqué, content que les choses rentre enfin dans l'ordre.

-Moi aussi mon amour. Cela aura était, une année,compliqué, dit-elle en riant.

-Ah qui le dit tu ! Mais bon le pire et derrière. Au fait, tu ne m'as toujours pas expliqué ce qui s'est passé avec Sauron et comment tu as découvert ton père.

-Oui,c'est vrai. Donc voilà ce qui s'est passé...

Elle me raconta en détail chaque choses qu'elle avait vécu pendant notre séparation, comment elle c'était retrouver au Mordor, puis à Valinor et la découverte de ses parents. Le mensonge que Sauron avait dit et qui expliqué alors sa froideur et sa distance mon égard, encore plus avec ce que j'avais dit. Puis après ça nous partîmes main dans la main annoncer nos fiançailles aux autres membres de la communauté et notre famille.



















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