Je me réveillais dans les bras de mon aimé, je le regardais paisiblement endormis. Je caressais sa joue descendant délicatement sur sa mâchoire. Je m'apprêtais à retirer ma main, quand celui-ci la prit délicatement, je stoppais net mon geste, surpris, puis-je le vis sourire sans ouvrir les yeux comme s'il devinai ma réaction.
-Bien dormi ? Demanda-t-il
-ca peut aller et toi?
-toujours quand tu est près de moi.
Je l'embrassais et il approfondit le baiser, nos langue s'entremêlent dans une danse endiablé. Je couper le baiser en lui mordillant la lèvre inférieure et en descendant mes lèvres le long de sa mâchoire pour atteindre sa clavicule. Il allaita sous mes beser, alors que je le chercher volontairement, voulant le pousser vers la fautes.
-J'avais oublié à quel point t'étais chieuse le matin chérie, se moquait-il en ouvrant doucement les yeux avec un sourire malicieux.
-Je ne te permets pas, dis-je faussement offusqué. Puis ce que c'est comme ça, je m'en vais !
-Que tu crois, dit-il en arquant un sourcil avec une voix pleine de défi.
Ni une ni deux, il me tira me pris le bras et me tira vers lui, avant de m'entourer de ses bras et se mettre au-dessus de moi.
-tu comptais partir quelque part ? Dit-il amusé, avant déposer un baiser sur mes lèvres, puis long de ma mâchoire et se dirigeant vers ma nuque.
Au contact de sa bouche dans le creux de mon cou, je me cambrais contre lui étouffant du mieux que je pus un gémissement de plaisir. Au vu de ma réaction, je le sentis sourire contre ma peau, puis il retourna vers ma bouche lentement en embrassant ma peau sur le passage jusqu'à mes lèvres. Au moment où nos lèvres se scellèrent de nouveau, je l'attirais un peu plus vers moi, mettant une petite pression contre sa nuque et son dos. Ce dernier me tenait de la même façon et me releva légèrement, me collant encore plus à lui, laissant échapper un râlement avant d'approfondir le baisé, ce qui me fit à mon tour gémir contre ses lèvres.
-I meleth you nín gúr. Dit-il d'une voix roc entre deux baisers
-Meleth you too nín Meleth, susurrais-je.
-J'ai hâte que nous soyons unis...
-Nous le sommes déjà, et, même si nous n'avons pas échangé officiellement nos vœux, je suis tienne depuis le début.
-Comme je suis tien. Veux-tu ? Demanda-t-il en me regardant dans les yeux, soucieux de ma réponse.
-Oui, bien sûr. Dis-je amoureusement.
-Même si nous ne sommes pas mariés ?
-Ça viendra en son temps, lui dis-je en reprenant ses lèvres avec passion en prenant le dessus sur lui et en inversant les rôles me retrouvant au-dessus de lui à califourchon.
Petit passage lemon âmes sensibles reprenez à la fin de ce passage :
Je pouvais dès lors sentir sa virilité durcir contre mon contact malgré nos vêtements, il laissa échapper un nouveau grognement de plaisir et passa ses mains contre ma robe de soir avant de la remonter par les épaules et de me l'enlever. Je fis de même avec sa chemise qui vola de l'autre côté du lit retrouver la mienne déjà au sol. Il me bascula sur le côté et reprit le dessus sur moi. Il revint déposer des baisers au creux de mon cou, je laissais échapper un soupir de plaisir et passais mes mains contre son torse, descendants vers son pantalon pour le retirait, mais je fus arrêté dans mon geste. Aragorn attrapé mes poignées et les mis au-dessus de ma tête en disant :
-Tutu, ne soit pas si pressé... Dit-il au creux de mon oreille, avant de mordiller le lobe en descendant.
-Que... Hoquetais-je surprise.
Avant de fermer les yeux est de me laisser aller sous ses baisers et caresse. Il descendit ses lèvres sur ma poitrine avant de continuer son chemin sur mon bas-ventre, un nouveau gémissement m'échappa et une vive chaleur me consumer de l'intérieur. C'était à la fois un plaisir et une torture...
-Aragorn, murmurais-je...
-Mmm, répondit-il en passant ses doigts sur mon intimité avec délicatesse avant d'y entrer un doigt.
Je me crispais instantanément surprise. Il s'arrêta dans son geste et je croisais son regard inquiet, mais je lui souris pour le rassurer, ce qu'il me rendit et je pouvais voir à travers ses yeux tout l'amour qu'il ressentait à mon égard. Il en mit un deuxième attendant d'être sûr que je me sois habitué, me cambrant sous ses caresses, une douce chaleur commencée à se faire ressentir dans mon bas-ventre. Il retira ses doigts et je laissais échapper un grognement de frustration alors qui venait récupérer mes lèvres ce qui le fit sourire d'amusement. Puis, il enleva son bas me laissant voir son membre durci et se plaça devant mon intimité, il revint m'embrasser et dit soucieux :
-Tu es sûr que c'est ce que tu veux mon amour.
-Oui seulement si tu le désires, également, murmurais-je amoureusement.
-Tu n'imagines pas à quel point, je te désire nín gúr...
Et tandis qu'il m'embrassait, il me pénétra, je me crispais instantanément à son contact et à une légère douleur qui était venue.
-Ça va ? Dit-il inquiet en plongeant ses yeux dans les miens en ce stoppant net une nouvelle fois.
-Oui, ce n'est rien, désolée, répondis-je tendrement en l'embrassant et en me laissant aller.
Il se remit à m'embrassait et reprit ses vas et viens. Je gémissais entre ses lèvres, passant ma main droite dans ses cheveux, tendis que l'autre était posé sur son dos, laissant échapper à son tour des grognements de plaisir. Toc-toc-toc. On se stoppa net, se regardant tous deux choquer. Est-ce qu'on avait bien entendu frappé ?
-Aragorn tu dors encore ? Dit la voix de Gimli derrière la porte.
-Oui, répondit-il à l'improviste, je me lève, je vous rejoins dans la salle une fois prêt.
-Tu n'aurais pas vu Arwen ?
-Non pas vu depuis hier soir, mentit-il
À ses mots, je le regardais amusée et voulant l'embêter un peu, je me cambrais et ondulé doucement contre lui et faisait des baisé le long de sa mâchoire pour le faire craquer. Celui-ci se crispa et avec un bon seft contrôles il réussit à se retenir de gémir, non sans me fusiller du regard, je souris faisant une mine innocente.
- On se voit tout à l'heure alors.
-Oui, à tout à l'heure, répondit-il.
On l'entendit s'éloigner et une fois sur d'aucun bruit, il reporta son attention sur moi.
-C'était quoi ça ? Demanda-t-il amusé en arquant un sourcil.
-Rien, dis-je d'une voix ingénue.
-Ça ne va pas du tout...
Il m'embrassait alors avec fougue, sauf que ce dernier au lieu de reprendre ses va et viens se retira de moi. Je le regardais sidérer et au moment où j'allais protester, je me retrouvais sur le ventre tirait vers l'arrière de sorte que mes pieds toucher le sol, la couette tomba par terre elle aussi. J'allais utiliser les mains pour prendre appui et me retourner vers lui, mais celui-ci les prit une nouvelle fois et les mit derrière mon dos me tenant fermement. Puis penchant sa tête vers mon oreille, il me susurra :
-Il est temps de rectifier le tire chéri.
-Comment, demandais-je confuse.
Je n'eus pas le temps de finir ma question que je fus prise par surprise, le sentant entrée en moi d'un coup, mais cette fois le gémissement, je ne réussis pas à le retenir tellement le plaisir était intense. La chaleur dans mon bas-ventre reparti de plus belle et à chaque va est vient je plongeai ma tête dans le coussin pour étouffer mes râles de plaisir. Le pire fut quand il se mit en plus à m'embrassait de nouveaux dans la nuque, suçant ma peau. Je n'allais pas tenir longtemps, je sentais que j'étais à deux doigts de l'extase et en l'entendent grogner contre ma peau, je me doutais qu'il en était de même pour lui.
Après quelques minutes, nous atteignîmes tous deux le septième ciel. Je sentis un doux liquide venir en moi, se mêlant à la chaleur que je ressentais déjà. J'en profitai pour reprendre mon souffle et je le sentis faire de même avant de se retirais et de me retourner, me retrouvent de nouvelle face à lui nos mains entre lasser. Il enleva une de ses mains de la mienne pour remettre une mèche de cheveux qui me tombait sur le visage.
Fin du lemon
-merci pour ce moment, murmura t'il a mon oreille alors que nous reprenions notre souffle.
-merci a toi. Je t'aime.
-je t'aime bien plus encore.
- bon je pense qu'on devrait s'habiller et tu devrais partir avant moi. Pour éviter les soupçon et dégager la voie.
-bien vu.
Après quelque minutes, nous mimes le plan à exécution. Il parti en premier et je les rejoins quelque minute après
-Cest a cette heure qu'on arrive me taquina Gimli.
-Oui je crois que j'avais quelque heure a récupéré, mentis je amusée. Il reste de quoi grignoter ?
-biensur! M'invita le roi theoden.
-bon quel est le programme ?
- on doit se rendre au gouffre de helem.
-un plan suicidere génial ! Dis-je sarcastiquement. Mais qu'attendons-nous pour s'y rendre.
J'entendis Legolas gimili pouffer de rire silencieusement et vit Aragorn sourire.
-Cest le seul endroit où nous pourrons nous défendre
-Vous êtes aller là bas récemment ?
-Non pourquoi?
-Car si telle est le cas, vous ne m'aurai pas dit qu'on pourrait se défendre. C'est en ruine, y a des armes rouillé et c'est comme la cuvette des toilettes. Impossible d'y sortir une fois qu'on est coincé dedans. Si l'ennemie rentre on est mort...
Un grand blanc s'installa.
-Pourquoi ne pas appel le Gondor ? Demanda Aragorn.
-où était Gondor quand le Westfold est tombé? Gronda theoden
-Occuper a combattre sur d'autre endroit stratégique. Dis-je calmement.
Je me pauser et réfléchissait au plan a suivre.
Oui saroumane et c'est troupe n'en resterai pas la. Ici aussi château d'or le combat n'était pas idéal. Mais le gouffre... La route serait dangereuses et dure pour les enfants et les vieillards... Mais si j'appellais des renforts et qu'on raffisstiler le gouffre on aurait des chance de s'en sortir. Ça vaut le coup d'essayer mais c'est un pari risquer. Tout façon avions nous le choix....
-on peut essayer mon amour, pensa Aragorn.
Je levais mon regard et plongeai dans le siens.
-Bien c'est entendu, allons au gouffre, mais il reste à peaufiner et faut que je voie ça avec Gandalf sur un point important du plan. Pensais-je
-Je vois, dit-il sérieusement. Tu ne m'en diras pas plus.
-Non sinon ça gâcherait la surprise !
-Mmm tu seras prudente n'est-ce pas.
-Tu me connais, dis-je ingénue.
-Justement ! Dit-il en arquant un sourcil.
-Je resterai à tes côtés si cela peut te rassurer, dis-je doucement
Ce dernier se détendit et au moment où il allait casser la distance, Eowyn l'interpela. J'étouffai un juron d'agacement et nous nous retournâmes vers elle. Elle regardait Aragorn avec des yeux doux, m'ignorant superbement.
"Je vais lui faire la peau ! Quelle Pimbêche ! " Grognais-je intérieurement en bouillonnant de rage.
-Voici votre cheval.
"Quoi ! Tout ça pour ça?!!! "
-Vous plaisantez, dis-je amèrement. On discute et vous nous couper juste pour nous nous montrée un putain de cheval qu'il va monter?!
Du calme Bibi, joie, bonheur, zénitude on a dit... Poursuivis-je en serant les dents en essayant de me calmer.
-Tout doux nín meleth, ditAragorn tentant de m'apaiser...
-Oh, c'est de l'elfique, s'émerveilla Eowyn reportant l'attention vers elle et minaudant devant Aragorn. C'est beau et votre façon de le dire est...
-Aaaarrh, grognais-je en tournant les talons et en marchant vers la sortie des écuries avant de sérieusement m'énerver et lui refaire le portrait.
"Ça m'agace de ne pas pouvoir dire qu'on est ensemble, être loin de l'autre quand il y a du public. Et pendant ce temps là cette garce en profite!! Merde a la fin!! Je sais que Aragorn ni est pour rien, et je ne lui en tiens pas rigueur, mais cette fille... Je jure quelle a intérêt d'arrêter de lui tournée autour sinon ce n'est pas la guerre son pire cauchemar, mais moi ! "
-Ah Elendiell vous êtes là ! Dit Gandalf en m'interceptant à la sortie.
-Mithrandir répondis-je un peu froidement.
-Quelque chose ne va pas ? S'inquiéta-t-il.
-Non rien d'important. Je voulais te voir d'ailleurs. Au sujet du plan pour la bataille au gouffre de helm.
-Mmm, dit-il peu convaincue du "rien d'important".
Entendu qu'as-tu en tête ?
-Vous allez partir chercher les rohirims bannis, moi, je vais envoyer un message à Galadriel pour qu'ils nous prêtent main-forte.
-Entendu. Soyez prudent, je reviendrai le troisième jour, à l'aube regarder à l'ouest, dit-il avant de prendre Gripoil et partir.
***
Quelques minutes plus tard...
Nous étions sur la route vers le gouffre, j'étais à côté de Theoden et de Legolas, derrière moi était Eowyn, Aragorn et Gimli. Tandis que nous rigolions, un aboiement nous sortit de cette bonne humeur.
-Des Wargs ! Criai-je. Protéger les femmes et les enfants. Eowyn, guider votre peuple au gouffre on se charge d'eux.
-Je n'ai pas à vous obéir protesta-t-elle avec dédain.
-fait ce qu'elle dit ordonna Theoden, j'allais dire la même chose. Va ! Elle lança un regard mauvais et parti en avant.
-Arwen, va avec elle. Dit doucement Aragorn.
-Tu dérailles ! Non je me bats.
-Oui, mais avec eux, ils vont vous suivre autant se séparer, rajouta-t-il sérieusement.
-Non Aragorn, tu sais très bien comment ça ce fini à chaque fois qu'on est loin de l'autre.
-S'il te plaît...
-Soit prudent, capitulais-je avant de partir au galop rejoindre l'autre morue.
Quelques minutes plus tard nous étions presque arrivés au gouffre, quand une violence douleur me saisit de l'intérieur, me faisant tomber de cheval. Je me fit rattraper par un garde qui me regardait soucieux, je vis Eowyn me regardait confuse.
Je fermai les yeux et me focaliser sur la douleur. Aragorn. Il était tombé, son corps était dans l'eau et saignée de la tête. Oh non... Je le servis de notre lien et de ma magie pour le sauver la vie. Il respira ouvrit faiblement les yeuxet son cheval arriva. Ouf sauver...
Je rouvris les yeux être montais sur le cheval sens porter attention aux autres qui me regardait intriguer. Nous ouvrîmes les portes de la cité du gouffre de helm et nous entrèrent et ce fut à cet instant que le roi Theoden et les autres arrivèrent. Legolas et Gimli vinrent à moi. Et au moment où ils allaient dire quelque chose, Eowyn se précipita vers eux et dit inquiet :
-Où est le seigneur Aragorn ?
-Il est tombé dit Gimli tristement.
-Oh non, répondit-elle en s'enfuyant en courant. Je poussai un soupir exaspéré en roulant des yeux...
-Pourquoi cela ne vous fait rien, dit confus Legolas.
-Car je sais qu'il est en vie et qu'il va revenir sous peu.
-Comment ? Demanda-t-il encore plus troublé.
-Nous avons un lien si on peut dire... Je l'ai vu et senti tomber. J'ai ressenti la douleur et me suis même cassé la gueule du cheval au moment de son impacte dans la rivière... Je l'ai soigné par télépathie, il va donc revenir. Salement amoché certes, mais en vie.
-Je vois, dit-il plus rassurer. Alors comme ça, sa Majesté c'est cassé la gueule ?
Je riai à sa taquinerie en lui donnant une tape amical sur l'épaule.
-Ouvrez les portes, dit un garde qui faisait le Guet.
À cet instant Aragorn entrée allongée sur son cheval.
-qu'est-ce que je te disais, dis-je à Legolas avec un clin d'oeil.
-Salement amoché, répondit-il amuser à la pensée de notre échange.
-Seigneur Aragorn ! S'écria Eowyn en se précipitant vers lui.
" Mais ce n'est pas vrai ! Mais elle toujours la quand il ne faut pas. Ou non simplement elle est toujours la tout cour "
-laissais le respirait, dis-je froidement en faisant barrière, Legolas tu m'aides à l'emmener, s'il te plaît.
-Oui, dit-il en prenant son autre épaule.
Et nous nous dirigeas vers l'intérieur du donjon. Nous l'allongeâmes et je demandai un Bol d'eau avec un linge propre. Je mis ma main sur sa blessure à la têteet la guéris. Eowyn arriva alors avec le bol d'eau m'ignorant superbement et posant le Linge sur son front.
-Surtout fait comme si je n'existai pas, dis-je énerver cette fois sans été trop.
Je me levais et avant de partir, j'ajoutai froidement :
-Au fait, ne vous bercez pas trop d'illusions contre la réciprocité de vos sentiments. Cela pourrez vous faire mal. Je vous laisse veiller sur lui, mais prenez garde toute fois, il n'ai pas ce que vous croyez et pas aussi libre que vous l'espéreriez.
-Que voulez-vous dire ? S'offusqua-t-elle.
Je n'ajoutai pas un mot et quittait la pièce.