Point de vue Yavana :
Je venais de récupérer Boromir sur la terre de milieu, nous arrivons enfin à Valinor dans les cavernes de Mandos, là où commencerait la prochaine étape du voyage :
-nous voici arrivées aux cavernes de Mandos, c'est lui que tu dois rencontrer avant de rejoindre les tiens. Il m'a chargée de vous emmener à lui, mais avant j'aimerais qu'on se parle si vous voulez bien.
-Oui bien sûr j'ai des choses à vous dire moi aussi.
-Pour commencer, je vous prie de m'excuser de mon comportement depuis le début de cette aventure, nous sommes partis sûrs de mauvaise base. Sachez que je n'avais rien contre vous pas plus qu'à un autre, juste que je peux être de mauvais poil quand on s'y prend pas bien avec moi.
-J'accepte vos excuses et je vous pardonne et je m'excuse également, car je n'ai pas été très gentleman avec vous et je l'ai bien méritée quand vous vous fâchiez contre moi. J'en ai même fini par faire exprès de vous chercher, car j'aimais bien comment vous partez au quart de tour dès que je vous titillais un peu trop.
-Ça, ce n'est pas très fer plaît ! Répondis-je avec un sourire mutin avant de rire de bon cœur avec lui.-J'ai une question à vous posée ? Dit-il gêner
-Oui ?
-Comment ce fait-il que vous êtes ici ? Êtes-vous morte ?-ahah non je suis en vie, seulement, il y a quelque chose que je ne vous suis pas avoué, car bien trop risqué pour ma vie. Eh bien je suis là réincarnation de la déesse Yavana, déesse de la nature de la régénération des végétaux et des étoiles. D'où ma présence en ses lieux et la même raison que je sois venue à vous.
-Je vois que vous êtes pleine de surprises me taquina-t-ilAprès plusieurs minutes à discuter de chose et d'autres, jusqu'à ce que nous arrivâmes devant le bureau de Mandos.
-bien je crois que nos chemins se séparent ici. Ne vous inquiétez pas tout ira bien.
-vous reverrai-je un jour Arwen ? Demanda Boromir d'un air penaud
-bien sûr nous nous reverrons plus tôt que vous ne le pensez, mais avant vous devez voir Námos et retrouver votre famille, nous aurons l'occasion de nous voir incessamment sous peu, ne vous en fait pas. Répondis-je en lui souriant et en lui donnant une tape amicale sur l'épaule pour l'encourager.
Il hocha la tête et après nous être dit au revoir, il frappa à la porte du bureau de Námos et entra. Quant à moi je partis retrouver Verda dans les jardins de Valinor quittant de ce fait les cavernes de Mandos.
Quelques minutes plus tard dans les jardins de Valinor
-Ah ! Yavana, vous voici de retour. M'appela Verda
-Oui, désolé si ça prie un peu de temps.-Ne vous en fait pas. Avez-vous pu faire ce que vous avez à faire ?
-Oui tout est en ordre. Boromir est dans le bureau de Námos en ce moment. On a pu discuter avant et j'en suis heureuse, car nous étions partis sûrs de mauvaise base au départ.
-Je comprends, tant mieux que tout soit rentré dans l'ordre. Maintenant j'ai besoin de vous !
-En quoi puis-je vous aider ? Qu'elle ait votre problème.
-Voyez-vous j'aimerais planter de nouvelles fleurs, mais j'ignore quoi choisir, et ce sera l'occasion pour vous de vous entraîner et familiariser avec vos pouvoirs.
-Oui bien sûr. Où voulez-vous qu'on modifie le jardin ?-ici, dit-elle en pointant du doigt un talus de terre qui n'attendait plus que de recevoir ses nouveaux propriétaires. Je m'avançai vers ce dernier, posa ma main sur la terre et fermer les yeux.
" Réfléchissons... Qu'est-ce que je pourrais bien mettre comme plantes ?" Pensais-je
À cet instant l'image du buisson des perles m'apparut, suivie de l'oranger du Mexique, accompagnée du myrte du Chili. Au milieu se dressa alors un cerisier du Japon, et tapis au sol griser des bleuets, des violettes...
Buisson des perles :
L'orange du Mexique:
Myrte du chili:
Cerisier du Japon:
Une fois les images assemblées dans mon esprit, je laissai la magie m'envahir. J'ouvris les yeux quelques secondes plus tard et l'image que j'avais en tête été maintenant devant moi bien réelle.
-prodigieux! Irmo regarde comme il est beau le jardin maintenant ! Dit Verda émerveillé.
- Impressionnant, Yavana vous vous êtes dépassé pour une fois, répondit Irmo
-pour une fois?! Vous n'êtes pas en train de chercher la mouise par hasard ? lui répondis-je outré.
-non je ne me serais pas permis ! Dit Irmo amusé
-mais bien sûr....
***
Pointe de vue Gandalf :
Pendant se temps-là en terre du milieu à Mirkwood.
J'Arrivai devant la demeure de Thranduil, Elendiell m'avait demandé de lui rendre visite afin de lui exposer le plan de la bataille qui allez avoir lieu à DolGuldur. -Halte qui va là ! Demanda un des gardes qui surveiller les portes de la cité. -je suis Gandalf le gris, j'ai une audience avec votre roi. Ils discutèrent entre eux quelques instants, puis ils ouvrirent les portes et me laissèrent entré. Je les remerciais et un garde m'escorta à la salle du trône. Quand nous fûmes arrivés là-bas, le roi Thranduil n'était pas assis sur son trône comme je l'aurais pensé, mais il était debout devant une table où gisait une carte que je supposais être celle la terre du milieu, n'étant pas suffisamment près pour en avoir la certitude. Mais le plus surprenant, c'est qu'il n'était pas seul, assez côté se tenait le seigneur Celeborn et la dame Galadriel. En nous entendant arriver, ils redressèrent la tête et nous regardèrent.
-Soyez le bienvenu parmi nous Mithrandir, m'accueillit Thranduil. Nous sommes désormais au complet, nous allons pouvoir commencer la réunion. Je vous en prie, venez prendre place.
-Nous vous attendions Gandalf dit la douce voix de Galadriel dans mon esprit. Je suis ravie que Elendiell vous ait transmis le message. Vous à telle donner des indications pour la bataille ?
-Oui, mais elle m'a demandé en premier de voir comment les choses se grouperaient avant de donner plus de détail. Après plusieurs heures de discussion, nous décidèrent de lever une armée pour détruire DolGuldur, une fois que le combat aura lieu les terres reviendront à Thranduil et aux seigneurs de la Lothlórien.
"Gandalf m'appela la voix de Arwen dans ma tête, il faut que tu ailles à Fangorn maintenant ! Tu me retrouveras au château d'or une fois avoir retrouvé ta compagnie. Il est temps de les retrouver. Je te donne ce cheval, il t'attendra devant les portes de Mirkwood, il se nomme Gripoil. Prend en soins, il te guidera et aidera lors de ta quête. Maintenant, va !"
-Je vous prie de m'excuser, dis-je aux autres.
-Mais votre heure est venue de rejoindre vos compagnons ? Dit Galadriel. Arwen vous a donné votre nouvelle quête.
-Oui en effet madame, répondis-je.
-dans ce cas mon ami il est temps que vous partiez, dit Thranduil avec bienveillance. Aller y, nous vous tiendrons au courant de l'avancée de la bataille. Et jusqu'à notre prochaine rencontre, soyez prudents. Passer le bonjour à mon fils s'il vous plaît ainsi cas Son Altesse Elendiell.
-Je vous remercie roi Thranduil, je ne manquerai pas de passer vos salutations à cette dernière et je suis sûre qu'elle vous la rendra. Quand la guerre aura fini, je serai heureuse de vous revoir. -Nous aussi mon ami, nous aussi dit Celeborne.
-Mithrandir. M'appela Galadriel. Avant que vous partiez, j'ai ceci pour vous, de la part de Elendiell. Elle me donna un kit de vêtements de magicien de couleur blanche et un nouveau bâton de la même couleur.
-Je vous remercie, dis-je humblement. Mais pourquoi tout ceci.
-allez vous changer, répondit-elle. Je ne puis vous en dire plus il faudra que vous voyiez cela avec Elendiell.
J'acquiesçai et pris les vêtements, Thranduil me montrait une pièce ou me changer ce que je fis une fois là-bas, Galadriel récupéra mes vieux habits avant de les faire disparaître comme par magie, je ne sais où. Une fois cela fait je partis de la cité. Une fois à l'extérieur, je tombais sur un magnifique étalon, le dénommé Gripoil je le montais et sans que j'aie besoin de lui dire où aller il m'y emmena.
***
Point de vue Pippin:
Au même moment, sur les terres du Rohan
Voici, plusieurs jours, que les orques nous ont enlevés. Nous galopons sur les chemins, ils nous portaient sur leur dos comme de vulgaires sacs à patates ! Hier j'avais décroché la broche, la faisant tomber sur le sol, dans l'espoir que nos amis puissent suivre nos traces et nous secourir. Je regardai Merry, et la vis endormie, dans un mauvais état.
-Merry, l'appelais-je. Tu vas bien ?
-Pippin ? dit-il d'une voix pâteuse. Oui, tu penses qu'on est bientôt arrivée ?
-Je pense qu'on est plus très loin d'Isengard...
J'appelais, alors le chef des orques
-S'il vous plaît, mon ami est souffrant, il lui faudrait de l'eau.
Le chef des orques fit un signe de main pour leur demander de s'arrêter, il s'avança vers moi d'un pas nonchalant... il me regarda puis regarda Merry. Il sortit alors une gourde, l'ouvrit, et la vida dans la gorge de Merry, ce dernier recracha le liquide visqueux qu'on lui avait donné à boire ! -Mais qu'est-ce que vous lui donnez?!
-Ton ami, n'a pas l'aire d'aimer notre breuvage ! Dit-il en laissant échapper un rire machiavélique suivit quelques secondes plus tard de la troupe.
Nous allons nous arrêter là pour aujourd'hui. À cet instant, les deux orques qui nous portaient, nous jetèrent au sol sans ménagement, mon dos, vint se cogner contre une pierre et je ne pus m'empêcher se laissai échapper un gémissement de douleur. Ensuite je cherchais du regard Merry, je le trouvais à ma droite, à un mètre de moi. J'allais m'avancer vers lui, quand un orques défiguré me regardait avec envie, s'approchant de plus en plus de moi. J'essayai de reculer, mais comment dire les pieds et les mains liées, c'est quelque peu compliqué... fort heureusement je fus sauvée d'in extrémiste, par le chef des orques.
-Toi là-bas, ne touche pas au Semi-Homme, le maître, les veut vives et en entier !
-Je peux goûter au moins un bras ou une jambe. Dit-ce dernier en se léchant les babines. De toute façon, il n'a pas besoin dès ses jambes, vu qu'on le porte. Juste un tout petit bout.
-J'AI DIT NON ! TU NE TOUCHERAS PAS UN CHEVEU DES SES HOBBITS ! Hurla le chef en s'avançant dangereusement de l'orque.
Ce dernier baissa la tête et recula, s'éloignant de moi. Puis soudain, un corps se fit entendre et le bruit des pas des chevaux résonna dans la vallée. Je parvins à ramper tant bien que mal, vers Merry. Ce dernier était endormi, je le secouai et il ouvrit les yeux. Surgi alors, une cavalerie d'hommes, tuant les orques un à un. Je me dépêchais de trancher mes liens, avec une épée qui gisait à mes côtés, puis je tranchai les liens de Merry et nous rampâmes au sol en direction de la forêt. Mais au moment où nous arrivâmes à la lisière de la forêt, je sentis quelqu'un m'attrapais à la cheville, me faisant tomber au sol. En regardant ce qui m'avait faits tomber je remarquais, que c'était les mêmes orque qui avait voulu me manger quelques minutes plus tôt, je le regardai d'effrois, me reculant du mieux que je pouvais. Et je vis Merry surgir de nulle part, et frapper l'orques à coup de bûche, il m'aida à me relever et nous courûmes dans la forêt, essayant d'échapper à notre poursuiveur. Nous montâmes alors dans un arbre, et nous vîmes l'orque arriver, il nous chercha...
Soudain, l'arbre se mit a bouger,il sorti ses racine de la terre, ressemblant à deux gigantesque jambes faites de branches, il écrasa l'orque avec l'une d'elle. Merry et moi-même, nous nous regardâmes effarer et nous nous accrochâmes à ma branche. Mais deux immenses mains, vains nous attrapez nous soulevant de notre perchoir et nous tenant fermement au-dessus de 15 m de hauteur du vide. C'est alors qu'on vit, visage en haut du tronc, il nous observait. Et dit :
-Qu'est-ce que c'est que sait orque là
-Nous ne sommes pas des orques, nous sommes des hobbits. Répondit Merry-Des hobbits ?
-Nous venons de la Comté, on était poursuivis par des orques dont l'un que vous venez d'écraser. Dis-je. Moi, c'est Pippin et lui Merry et vous qui êtes-vous ?
-Peut-être bien que oui, peut-être bien que non, dit-il lentement chaque mot. Moi, je suis Sylvebarbe, un Ent. Je vais vous conduire au magicien blanc, seul lui pourra dire, qui vous êtes réellement.
-Le magicien blanc ? dit Merry
-Oui... répondit Sylvebarbe, en avançant lentement, toujours en nous tenant dans ses grandes mains.