Coucou bonjour
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Ça devait faire plus de trente minutes que nous étions en route et un silence de mort regnait dans le véhicule luxueux . La ville etait sombre et je voyais a peine les lumières éclairé le paysage froid de la Russie... Alvarez conduisait d une manière si sérieuse que je ne pouvais m empêcher de le regarder. Il "m'obligea" à me mettre a sa droite je ne sais pourquoi et suite a sa réaction lors du rendez vous je ne pouvais le contredire... A cette pensée une seule chose me revient en tête
Il refusa.
Alvarez Poloshkia refusa son contat pour moi, pour ne pas a me "donner". Et a cette pensée je rougis seule comme une pauvre idiote même si je savais qu il avait refusait parce qu il me preparait bien pire. D ailleurs, je me disais même qu il me tuerai des que nous serions sortis du restaurant mais non. Il nous guida juste vers sa voiture que je ne connaisais pas d ailleurs et me dis de monter côté co-pilote. Depuis il ne parla plus et pourtant la peur m habitait. J etoufais pres de ce mal dominant.
Puis soudainement, je ne sais pourquoi je lui lâcha
- merci ... D une petite voix
Il ne réagit que quelqu'un instant plus tard en deviant son regarf noire vers le miens. Et "comme par magie" mes mains devinrent subitement moite et mon pouls s affola
Mais calme toi donc !.
- merci ? Repeta t il de sa voix grave sans une once de douceur le visage toujours aussi impenetrable
A quoi pensait donc ce genre d homme ?.
- de... De ne pas avoir accepté la proposition de Demantes, je ne sais pas ce qu il m aurait fait et pour ça je tenais a te remercier
À mon plus étonnement il ne repondis rien et se contenta de conduire dans ce même silence... Merci ?. Pourquoi le lui ai-je dis ? Peut être pour briser ce silence ? Mais pourquoi je voudrai le briser ?.
Ou pour savoir si il l avais fait parce qu il me reservait pire comme je le pensais ?. Je n en sais rien et il ne dis rien... Je reposa donc ma tête sur la vitre de la voiture et posa mon regard sur lui.
Il était extrêmement concentré et son regards fixé sur la route d un sérieux à en coupé le souffle. Sa machoire carré légèrement contractée, ses lèvres dure et charnues pincé d une façon si... Arg
Son bras musclé et imposant posé sur le volant le serrant avec un charisme impressionnant, une veine le parcourait lui accentuant encore cet air bestiale qu il possedait en lui.
Mais Dio même en conduisant cet Homme ressemblait à un Dieu !. Pensais je en rougissais encore une fois
- a tu finis de me relooker ? Quelle note me donnes tu ? Me dis t il en me sortant de ma lethargie, ce qui me fit rougir encore de plus belle
- je... Je ne te relooquais pas.
Il roula simplement des yeux ce qui m etonna et continua le trajet que je commençait à trouver detendant. Avant que de ma voix je déclare
- 7,5
Il fronca ses epais sourcils ne comprenant sûrement pas où je voulais en venir. D'ailleurs ... Moi non plus
- je te donne 7,5 c'est mon verdict
Je crus voire un leger sourire ce former au coin de ses lèvres mais quand il braqua son regard encore une fois vers le miens je douta fort.
Il coupa subitement le moteur de la voiture et me dis
- donc tu admes m avoir relooqué ?
Bien jouer
- mouais dis-je de façon desinvolte en essayant de dissimuler ma peur
Ce dernier releva un sourcil l air... Amusé ?
Il avanca sa tête vers moi et je crus que j allais m effondrer d une seconde a l'autre !.
- Tes yeux ne m ont pas donné cette note hélas dit il pres de mes oreilles d une voix rauque et eveillant tout mes sens
Seigneur !.
- a présent sors... Petite chose. Fit il en m ouvrant la portière.
Je sortis aussi vite que j ai pu du vehicule afin de m echapper de ce piège malveillant. M avait-il appelé "petite chose"
Je souris à cette pensée je ne sais pourquoi et regarda devant moi pensant que nous serions "au bercail" mais non
Je me trouvais devant un grande batisse, bien-sûr pas aussi grande que celle du grand Poloshkia mais elle ne passait pas inaperçu malgré le faible eclairage de la lunem empechant de distinguer correctement l endroit. Et je ne sais pourquoi je me mis a paniquer... Vous direz sûrement que j abuse mais je ne sais plus a quoi m attendre avec cette homme qui me veux tout sauf du bien. Même si dans la voiture, il me paraissait plus sympa ?. Mais il ne fallait pas que je me leurre.
Je sentis sa présence derrière et encore une surprise il deposa doucement ses mains derrière mon dos afin de me faire avancer. Ce que je fis robotiquement sans protester. Sa chaire brulant la mienne.
Il sonna deux fois devant la gigantesque porte et quand je vis la gourvernante qui vient m ouvrir je crus m evanouir
Olga...
quand elle me vit elle faillit sourire mais en voyant mon regard se retracta et compris pourquoi en voyant avec qui j etais accompagné
- nous pouvons ? Demanda Alvarez d un ton ferme mais avec un semblant de courtoisie
- bi... Bien-sûr veuillez m excuser Monsieur Poloshkiia, mademoiselle Skolf qu elle plaisir de vous revoir
- moi de même Olga . je fis priant pour les enfants dorment déjà.
Olga se precipita pour nous faire entré et disparu aussi vite que possible en signalant sans doute notre presence au pres de Francis.
Alors c'est a ça que ressemblait cette demeurre de l extérieur ...
- pourquoi as tu réagis comme si tu ne reconnaissait pas l endroits ? Me dit Alvarez
Mince !
- a vrai dire je n ai jamais fais attention a la batisse et je ne sortais jamais donc... Me contentais- je dire.
Il ne repliqua rien et c'est quelque instant plus tard que je revis cette homme, Francis avec son même airs de vieux pervers, ses même cheveux blancs avancé vers nous tout sourire aussi faux que ses dents !
- Ma cher Ziria,monsieur Poloshkia !. Quelle beau couple devant moi
Couple ? Mdr salop .
Je ne repondis rien et Alvarez se contenta de lui donner une simple poignee de main virile.
-suivez moi donc... Ziria ne fais pas ta timide tu es chez toi après tout. Dit il a mon égard.
Je ne repondis rien également toujours hanté par de mauvais souvenirs... Mais a vrai dire en cet instant je ne pensais qu a une seule chose
Mes enfants.
Où etait il ? Allaient - il bien ? Leur ai-je manqué ?. Oh mon Dieu mes bébés !.
- s'il-vous-plait ... Je voudrai me soulager . dis je d une petite voix afin de m eloigner des deux hommes et en profiter pour voire mes enfants. En priant pour que Alvarez ne se doute de rien .
Ce dernier me regarda pendant un long moment avant de m autoriser à y aller. Comme si j avais besoin de son autorisation... Mais bizarrement en cet instant, je me sentais plus en sécurité pres de lui
Quelle ironie !.
Alors c est timidement que je laissa les deux hommes entré dans une pièce discuter de je ne sais quoi que je ne voudrai pas savoir -fin je crois- et me metta a la poursuite de Olga. Et machinalement je me dirigea vers la cuisine
Quand cette derniere me vis ce fut une surprise pour moi de la voire se jetter tendrement sur moi et m enlacer. Je ne pus faire autrement que de la serrer aussi contre moi. Cette présence maternelle me reconforta tellement.
Elle recula après quelque minutes afin de m observer . Elle sourit avec tant d amour dans ses yeux que j en fus emus
- Tu es tellement belle dans cette robe Ziria... Mais tu as tellement maigris . poursuivis t elle avec tristesse. Je ne voudrai pas paraître indiscrète mais je connais la réputation de cette homme. Te traite t il convenablement ? Francis me dit que c'est le cas mais je peine a le croire.
- Olga !. Je l interrompu voyant qu elle s inquietait vraiment pour moi. Je vais bien je t assure et si j ai maigri c est parce que j etais malade entre temps -mentis je. Mais cest a peine si nous nous croisons je t assure que je vais bien. Je finis par lui dire en dissimulant avec peine ma tristesse intérieur.
- hum. Se contenta t elle de dire. Suis moi...
Elle compris que je voulais voire mes enfants et le guida vers eux... Heureusement pour moi ou malheureusement , j en sais rien, ces derniers dormaient a point fermé !.
Qu'ils sont beaux. Aussitot les larmes me monterent aux yeux et je pus retenir l'une d entre elle a cette vue si paisible pour mon coeur et mon âme.
- je rêve où Kaine à encore pris du poid Olga. Fis je en me fachant faussement
Olga souris
- ce garçon sera tellement costaud Ziria fit elle en riant tendrement'. Pourtant je surveille son alimentation mais je crois qu il tient ce gabarit de son père - a cette remarque je grimaça- ça sera un frère et un fils remarquable et protecteur.
Je souris a mon tours en m apporchant vers eux silencieusement et essayant de ne pas leur réveiller. Sinon je serai dans une grosse merde !.
- oui ... Je les aime tellement ils sont toute ma vie. Je dis en m asseyant pres d eux et caressant les cheveux de Zola . Kaïne s est-il calmé au moins ?
- oui je crois qu il a vraiment pris vos menaces au sérieux dit elle en souriant . Mais Ziria quand reviendrez vous ?. Je ne veux pas me mêler de ce qui ne me regarde pas encore une fois mais ils ont besoin de vous plus que vous ne l imaginez... Y a des jours où j ai du mal a leurs coucher .
A cette aveux j explosa en sanglot. Olga compris sa "bêtise" et s assis pres de moi afin de me prendre dans ses bras. Mais je n arrivait plus a m'arreter. Mes enfants me manquait tellement et je ne savais pas que eux aussi pouvait autant souffrir que moi.
- je suis une mère Affreuse Olga je ne mérite même pas de porter ce titre j ai tellement mal vous ne pouvez pas savoir
- ne racontez pas n importe que moi mon enfant !. Vos enfants savent que vous les aimez. Je sais me doute que ce n est pas si facile que ça mais je serai toujours là pour toi, pour vous jusqu'à ce que tu règle tous tes problèmes cesse donc de pleurer si tu ne veux pas les réveiller
- non Olga tu ne comprend pas. Je suis incapable de m occuper d eux, je ne quis jamais présente pour eux je me dégoute tant
- voyant je sais que tu fais du mieux que tu peux !. Sinon ils ne t aimerai pas autant. Tu t occupes a merveilles d eux quand tu es presente Ziria et tu leur donnes l amour dont il ont besoin même a travers ton regards on sent cette protection alors cesse de te maltraiter ainsi car ce n est pas de ta faute.
Je ne repondis rien et essayait de me calmer avant que l on me surprenne.
- Ziria ? Repris Olga avec hésitation
- Oui.
- Puis je me permettre de te poser UNE question mon enfant ?
Cette femme etait devenu comme une mère pour moi et avait toujours les mots pour me remonter le morale alors j accepta sans hésitation
- où est le père de tes enfants ?
Bien !. Cette fameuse question. Je laissa un silence envelopper la pièce un instant, avant de reprendre mes forces et dire
- il est justement en train de parler avec Francis
À cette aveux Olga ne pus s empêché d hoqueter et former un 0 parfait de ses lèvres fines entouré de légère rides
- Al... Alvarez ?
Je baissa mon regard honteuse ne voulant pas entrer dans les profondeurs de l histoire. Je n avais plus de force
- le sait il ? Se contenta t elle de demander a plus grand soulagement
- biensur que non je repond brusquement... Il ne faut pas Olga jamais, d ailleurs Francis le sait il connait l histoire.
- et il me l avais raconté vaguement je l avoue... Mais je ne savait pas qu il s agissait de Poloshkia oh ma pauvre enfants
Fit elle avec plus de compassion et me reprenant dans ses bras
- tu es sûre qu il te traite bien ? Ziria tu te rend compte que tu es la mères de ses heritiers ? Et si il l apprenait ?
- je ne veux même pas y penser Olga... Tu peux me laisser me laisser un instant seule avec eux stp
Elle se contenta de me sourire et sortis de la pièce sans un mot de plus
Je redirigea alors mon regards vers ses deux petits être qui etaient pour moi ma seule raisons de vivre .
Pdv Alvarez Poloshkia
Je conclus mon accord avec Francis et ce n est qu en levant afin de m en aller que je remarqua que Ziria n etait pas revenu de ses sois disant toilettes
Je sortis neanmoins de la pièce suivis par Francis et me retrouva au salon. En appercevant la servante je lui fis signe de venir pres de moi. Et ce fus un étonnement' pour moi de voire qu elle me souriait.
Hum
- Monsieur Poloshkia ?. Dit elle tout de même avec crainte sans masquer son fin sourire maternelle.
- où se trouve Ziria ? Dis je en la penetrant volontairement de min regard afin qu elle ne me mente point
- dans la chambre avec les enfants que je l appelle ?
Soudain je me rappela qu il y avait effectivement des enfants dans maison. Et en repensant a ce minuscule garçon courageux je souris interieurement
- non conduisez moi vers celle ci
- elle peut bien l appeler Alvarez comme ça on en profiteras pour discuter encore... Intervint soudain Francis, se qui m intrigua
- NON !. Dis je d un ton sans replique. Conduisez moi à elle....
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Voilà un chapitre comme a mon habitude 😊
j espère qu il vous a plus et a tres bientôt pour la suite !. 😏