phantom h.s (version français...

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une histoire d'amour tragique entre une jeune fille triste et un garçon mort qui doivent travailler ensemble... Daha Fazla

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dix-neuf
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vingt et un
vingt-deux
vingt-trois
vingt-quatre
vingt-cinq
vingt-six
vingt-sept
vingt-huit
vingt-neuf
trente
trente et un
trente deux
trente trois
trente cinq
trente six
trente sept
trente huit
trente neuf
quarante
quarante et un
quarante deux
quarante trois
au revoir 2014, bonjour 2015
mortal

trente quatre

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5sxcondsofstyles tarafından

Je regarde Harry partir. Il saute du rebord de la fenêtre, sans un regard vers moi.

Le choc se déplace lentement à la confusion tandis que je me répète les événements qui viennent de se dérouler. Le calme étrange de Harry, la façon dont il vient de partir sans un mot. Certes, je lui ai dit de partir, mais il a raison, en regardant la grande image. Cela ne peut pas bien se terminer pour nous deux si je continue à l'aider et de me rapprocher de la vérité.

Tous les émotions me laissent sauf une: la colère. L'aveuglement, la chauleur, la fureur commence à se propager dans ma poitrine et mes orteils, la température de mon corps augmente plus je continue à penser à ce que dit Harry.

"Tu ne comprends pas. Je ne veux plus que tu m'aides."

De quoi a-t-il peur? S'il savait que ça ne se serait pas bien finit, pourquoi m'a-t-il demander de l'aider en premier lieu?

Ma température est proche de l'explosion dès que je revisite chaque moment avec Harry, tout ce qu'il a dit. Il ne peut pas s'attendre à ce que je laisse tout cela aller, si?Juste parce qu'il pense que c'est devenu 'de trop'?

Je regarde ma chambre, cherchant quelque chose à frapper, lancer ou détruire. Je jette tous les oreillers de mon lit, les expulsant, mais ce n'est pas suffisant. Je vais dans mon placard et trouve la boîte de vieux t-shirts de Harry et les jeter hors de la boîte dans le centre de ma chambre, les éparpillant partout, le tissu coloré vol dans toutes les directions. Mon œil s'arrête sur ​​le t-shirt noir Arctic Monkeys et je l'envoie voler à la porte de ma chambre. Je le ramasse et le jette à nouveau, la fureur jumelé avec l'adrénaline coule dans moi. Des larmes de colère brouille ma vision, je me penche et je prends un t-shirt dans mes mains, essayant de me calmer.

J'essaie de mon mieux pour me mettre à la place de Harry pour essayer de comprendre ce qu'il pense, mais je ne peux juste pas. Les choses allaient si bien, surtout après hier soir, je sens que je me rapproche des réponses que Harry a besoin pour traverser l'au-delà, alors pourquoi il a tout arrêter?

Quand je dis ça comme ça, ça sonne comme si nous étions ensemble ou quelque chose. Bien sûr, nous ne l'étions pas. Je ne faisais que l'aider à trouver son assassin, même si j'ai développer des sentiments profonds pour lui. Rien entre nous ne peut durer car, dans les mots de Robert Frost, nothing gold can stay.

Je jette la chemise, mon esprit se bat encore pour trouver une raison pourquoi Harry a coupé les liens qui nous connectés. La colère se construit encore plus quand je pense à la façon dont il a parlé à sa mère dans les vidéos, et la façon dont il ne s'en préoccupait guère à ce sujet, même en étant un fantôme.

"Je t'ai dit que j'étais égoïste et arrogant, je ne sais pas pourquoi le voir sur une vidéo fait une différence."

"Je n'ai jamais prétendu être un ange ou quoi que ce soit quand j'étais en vie, donc je ne vois pas pourquoi tu es si surpris de le voir par toi-même."

Je pense à l'époque où mon père m'a dit que les gens changent, mais ils ne transforme pas. Je vois maintenant qu'il avait raison. Même si la mort a changé Harry de la personne égocentrique qu'il était. Il a changé, mais il ne s'est pas transformé.

Et cela me rend triste et en colère et sans espoir, et je me convaint les deux derniers sont des effets secondaires de la colère. L'image de Harry fermant ma fenêtre derrière lui rejoue dans l'œil de mon esprit et ma colère déborde.

Je sors quelque chose aveuglément de ma table de chevet pour le lancer et trouver la petite boîte noire dans ma main qui était dans mon placard le premier jour que nous avons emménagé, celle de Harry et sa photo Polaroid. Avant que je ne peux m'empêcher de laisser ma colère prendre le dessus, je jette la boîte aussi fort que je peux, fermant les yeux quand j'entends un éclatement et un bruit sourd.

Je sais le sais avant d'ouvrir mes yeux, mais je ne veux pas faire face. Quand je regarde enfin jusqu'à que je vois la boîte sur le sol, le couvercle ouvert et la photo de Harry parsemé sur le dessus d'un des t-shirts sur le sol. Le miroir accroché à mon mur est brisé, des morceaux de verre partout.

Oh Jesus.

Je regarde le gâchis devant moi, ma colère glisse et est remplacé par la crainte. Mes parents vont m'enterrer vivante si ils rentrent chez eux comme ça Je dois nettoyer.

Je vais attention à esquiver les éclats de verre sur le sol, je me dépêche d'aller en bas pour prendre un balai et une pelle. Comment vais-je expliquer cela?

Je me maudit intérieurement pour être si négligente et stupide, je balaie le verre cassé (ce qui est assez difficile sur le tapis) et finir par trancher le côté de mon doigt avec ​​un morceau de verre tranchant. Je maudis sous mon souffle et l'enveloppe dans un pansement avant de ramasser tous de vieux t-shirts de Harry, les plier soigneusement et de les remettre dans leur boîte.

Je prends le cadre du miroir sur le mur et le missoigneusement sur mon lit. C'était le miroir qui etait avec la maison; il doit avoir appartenu à la famille de Harry. Cela me rend en quelque sorte encore pire.

J'examine le cadre du miroir. Il est sombre et en bois, sculpté dans un design fleuri. Il semble assez ancien et antique. La plinthe qui soutient le verre est désormais vide, avec tout le verre une fois brisé et soutenu dans ma pelle.

Soudain, mon œil attrape quelque chose sur le plateau du miroir. Je louche à elle, me penchant de plus près pour regarder.

Et puis je me rends compte de ce que c'est.

"Oh mon Dieu," dis-je, me redressant. Mon cœur bat tandis que je regarde la plinthe, mes yeux sont écarquillés sous le choc.

C'est immanquable. La plinthe du miroir est tachée de sang.

Mon esprit se mets à penser au rapport d'autopsie d'Harry:

"L'état du corps a des petits fragments de verre trouvés dans les vêtements et dans le dors et autres zones du corps, avec une fracture de l'arrière du crâne due à un traumatisme."

Je marche hésitante vers le miroir. Je regarde à l'arrière du cadre, et bien sûr, la plinthe est cabossé un tant soit peu, presque imperceptible.

Tout semble faire sens - Harry a du être claqué contre ce miroir, brisant le verre et cabossant le cadre. Les fragments doivent avoir coupé sa peau si il n'avait pas encore saigné, cela expliquerait les morceaux de verre trouvés sur lui durant l'autopsie.

Mais le verre a dut être remplacé s'il a été casser avant par Harry et qu'il y avait un nouveau verre avant que je le casse aujourd'hui. Je cherche le dos de la plinthe pour un timbre de la société de remplacement de verre, et le trouve dans un coin.

Clyde's Windows and More

Castle Hill, W.A

9 Juin 2013

Le verre a été remplacé le 9 Juin, et les parents d'Harry n'aurait pas pu être ceux qui l'auraient remplacer car ils étaient hors de la ville. Ce qui signifie une seule chose: le verre doit avoir été remplacé par quelqu'un d'impliqué dans la mort de Harry ou le meurtrier lui-même.

Je décide tout de suite que je n'ai pas finis d'aider Harry, pas du tout. Je vais trouver qui l'a tué, qu'il veuille mon aide ou pas, en grande partie à cause de ma récente conclusion que je suis en amour avec lui. Je suis en amour avec lui, et je vais descendre à Clyde's Windows and More pour savoir qui a réparer ce putain de miroir.

-

La porte de la boutique siflotte quand je la passe, portant le lourd cadre du miroir avec moi. Une femme aux cheveux rouges me regarde sur le comptoir, souriant.

"Bienvenue à Clyde's Windows and More, comment puis-je vous aider?" Elle demande, mettant de côté ses mots croisés sur le comptoir dès que je m'approche.

"Eh bien, j'ai ce miroir... et bien, de ce qu'il en reste, parce que c'est cassé," dis-je. "Et je voulais savoir si vous aviez remplacé le verre pour lui avant, car j'ai vu le tampon sur le dos."

La femme me fait signe de placer le miroir sur le comptoir et je le fais, le retournant où le timbre est. Elle hoche la tête.

"Oui, nous l'avons remplacé avant," dit-elle. "Voulez-vous remplacer le verre de nouveau aujourd'hui?"

J'hésite. "Peut-être pas aujourd'hui, j'ai quelques questions," je dis et la femme pince les lèvres.

"Très bien."

"Vous rappelez-vous qui l'a fait réparer avant?"

La moitié de femme sourit presque avec condescendance. "Chérie, nous réparons un grand nombre de miroirs," dit-elle. Son insigne dit "Nora".

"Mais il a..." J'éstompe ma voix, tournant soigneusement le miroir sur le côté où tu peux clairement voir le sang séché. J'essaie de ne pas trembler.

Le sourire de Nora tombe de son visage quand elle regarde les taches sombres horribles. "Oh," dit-elle. "Oui. Je crois que mon mari en sais plus sur ce miroir particulier." Elle s'éloigne du comptoir et se dirige vers l'arrière de la boutique. "Clyde"

Un sourd "quoi?" sort de l'arrière-salle.

"Sors ici!"

Je suis tranquillement derrière le compteur. Quelques instants plus tard, un grand homme aux cheveux grisonnants sort de l'arrière-salle, me faisant un sourire amical.

"Bonjour," il me salue. "Comment pouvons-nous vous aider?"

"Nous avons réparé ce miroir avant," dit Nora à son mari, Clyde. "Elle veut savoir si nous nous en souvenons."

Clyde passe à côté de sa femme pour regarder le miroir, posant une main sur son menton. Il est évident que son regard tombe sur les taches de sang, car il élargit ses yeux et déplace son poids légèrement.

"Ah," dit-il lentement. "Je me souviens. Le gamin est arrivé dès que la boutique a ouvert ce matin, à huit heures précises. Il semblait pressé."

"Qui?" Je demande, essayant d'ignorer le sentiment nauséabond qui se construit à l'intérieur de moi. "Vous souvenez-vous qui l'a amener?"

Clyde sillonne son front dans ses pensées et mon pouls s'accélère. Ça y est. Ça pourrait l'être.

"Je me souviens de qui il s'agissait," explique Nora à côté Clyde. "C'est le fils du détective. Quel est son nom, Aidan?"

"Ian," dis-je. "Ian Whitmore."

"Oui, Ian Whitmore," dit Clyde en hochant la tête. "Il l'a apporté très tôt ce matin là, comme je l'ai dit. Il a déclaré que le verre devait être remplacé dès que possible."

Le fils du détective. Ian Whitmore.

Nora et Clyde continuent de parler, mais ça devient muet après s'être éloigner du sujet de Ian. Est-ce Ian le meurtrier? Est-il la réponse à tout cela?

"- Quoi qu'il en soit, vous avez besoin que ce soit réparé?" Clyde me demande.

"Non," dis-je, ramassant le cadre et rentrant sous mon bras. Ils me regardent bizarrement, et je me rends compte que je viens dans leur atelier de réparation et de ne pas demander une réparation. "Je veux dire," je dis. "Pas pour le moment. Je vais certainement revenir dans un meilleur moment," je souris, en espérant que ça va couvrir pour mon manque d'excuse.

"Bien sûr," dit Clyde, souriant. "Passez une bonne journée."

Je sors de la boutique et mets le miroir dans le coffre de ma voiture. Je suis assis derrière le volant pour quelques instants, rassemblant mes pensées.

Où puis-je aller? Devrais-je trouver Harry et lui dire? Devrais-je trouver Ian et le confronter? Dois-je parler au détective Whitmore?

Maintenant que j'y pense, tout prend son sens. Ian dit que sa mère voit Harry comme presque un fils pour elle. Cela expliquerait pourquoi l'affaire a été clôturée de manière anticipée, si sa mère le sait, elle aurait bien pu protéger son fils. La jalousie a-t-elle obtenu le meilleur de Ian? Est-ce un motif suffisant pour tuer Harry?

Je suppose qu'à ce stade, il n'a pas d'importance si le motif est grand. Ce qui est fait est fait, et maintenant tous les signes pointent vers Ian.

Je démare ma voiture et commence à conduire.

-

"Hey."

Harry se retourne, le choc ornant ses fonctions quand il me regarde. J'essaie de garder mon esprit de mon vertige quand je le regarde.

"Qu'est ce que tu fais sur mon toit?" Je demande.

"Je suis malade du cimetière, je suppose," répond-il.

Je hoche la tête, machant ma lèvre. Je ne sais pas quoi lui dire. Je ne sais pas par où commencer.

"Harry, je sais que tu as dit que tu ne voulait plus de mon aide.."

"Jane, s'il te plaît ne -"

"Quoi? Qu'est-ce qu'il y a? De quoi as-tu peur?"

Il ferme sa bouche, enfoncant ses mains dans ses poches. Il secoue la tête. "J'ai peur de tomber amoureux de toi."

Les mots sortent de ses lèvres et je ne suis pas sûr si je les ai entendus ou si je les ai imaginé. Il me regarde, pleinement confiant de sa déclaration, tandis que j'ai du mal à trouver une réponse.

"Es-tu.. je.." J'essaie de former une phrase cohérente, mais je ne peux pas. Je sais que je dois l'aimer en retour, je l'ai réalisé avant. Mon esprit et ma voix semblent être déconnectés dès maintenant, en particulier sous son regard.

"Attends," dit-il en mettant une main. "Permets-moi de me corriger. Je n'ai pas peur, je suis en train de tomber en amour avec toi, j'ai peur que je suis tombé en amour avec toi. Ce sont deux choses différentes, tu vois. On peut changer l'un à tout moment et l'autre est certain, et je suis certain que je suis en amour avec toi."

Chaque mot qu'il dit est comme la poésie et pourtant je n'ai pas de mots pour décrire ma réaction. Je le regarde avec étonnement, en essayant de trouver ma voix.

"Je suis désolé d'être si maladroite," j'ai finalement dit et il rit, regardant vers le bas.

"J'aime les maladroits."

Je lui souris et regarde vers le bas, poussant mes cheveux de mon visage. "Le truc c'est, Harry-"

"Oh, mon Dieu," dit-il avec humour, son sourire en coin. "Est-ce que tu me rejettes?"

Je fermai les yeux et riai en secouant la tête. "Non," dis-je, ouvrant les yeux pour le regarder à nouveau. "Non c'est juste que... je suis tombé en amour avec toi aussi. Et ça me rend triste, parce que je me sens comme si plus je t'aimais, plus je te perds."

"Parce que mon passage à l'au-delà est inévitable." Il hoche la tête, brisant mon regard.

"Vrai." Une légère brisse souffle dans l'air autour de nous.

"J'y ai pensé aussi," dit-il, assis sur le toit. "Et je suppose que c'est inévitable, et je déteste ça. Je veux aller à l'au-delà, mais je ne veux pas te quitter."

Je marche et m'assis à côté de lui. "C'est pour ça que tu as dit que tu ne voulais plus de mon aide?"

"Oui."

Je suis reconnaissante pour sa simple réponse, et je pose ma tête sur son épaule, sentant la douceur de son chandail contre ma joue et son aura froid refroidissant ma peau. Son bras s'enroule autour de moi, me tirant plus près.

"Même si tu vas finir par partir, je t'aime encore," je dis. "Et je vais encore le faire une fois que tu seras partis. La vie après la mort ne peut pas changer cela."

"Je suis heureux d'entendre ça," dit-il. "Dieu, tu ne sais pas combien je suis heureux de l'entendre. Mais ne parlons pas de se quitter, d'accord?"

Je hoche la tête. Il incline mon menton pour le regarder, ses yeux tracent sur mon visage avant de se pencher pour m'embrasser doucement. Je voudrais pouvoir l'embrasser pour toujours. Je souhaite qu'il ne partira jamais

Nous restons silencieux pendant un moment après que nous nous sommes séparé, en regardant le vent déplacer les arbres. Je sais que mes parents seront bientôt à la maison, mais j'ignore ça pour l'instant.

"Tu sais ce que je pense," dis-je. "Je pense que le mot 'amour' est gaché parfois. Tu ne trouves pas?"

Harry fronce les sourcils dans la concentration, en regardant au loin dans les arbres. "Peut-être un peu," dit-il. "Mais c'est un de ces mots qui peuvent être appliquées à de nombreux égards. De mère en fils, d'ami à ami, d'amant à amants."

"Ouais," dis-je. "Mais je pense que ça a commencé à perdre un peu de son sens depuis qu'il a été tant utilisé. Je ne sais pas. Peut-être que c'est stupide."

"Non, ça ne l'est pas," dit-il. "C'est un mot fort, mais comme tout mot, il peut être gaché."

"Ouais," Je suis d'accord, en hochant la tête. "C'est ce que je veux dire."

"Alors," dit-il. "Au lieu de te dire je t'aime, si je te dit que tu es le produit à long terme de mon adoration écrasante?"

Je souris. "J'aime ça," dis-je.

"Eh bien, alors. Tu es le produit à long terme de mon adoration écrasante."

"Et tu es le produit à long terme de mon adoration écrasante," je réponds.

Nous nous regardâmes et riions. "Je ne sais pas, peut-être que nous devrions toujours dire l'autre," dit Harry.

"Ouais," Je suis d'accord, riant encore. "Pourquoi ne pas avoir les deux?"

Harry me tire à lui pour que ma tête repose sur son épaule. Je ferme les yeux et prétend que ce moment ne finira jamais.

Mais il faut que je me souvienne de ce que j'ai découvert aujourd'hui. Il est extrêmement probable que Ian a tué Harry, et Harry a besoin de le savoir. Harry mérite de le savoir. Je ne peux pas le garder loin de lui, même si ça ruinera ce moment. C'est pourquoi je suis venu ici en premier lieu, de toute façon. Je prends une grande respiration.

"Harry, il y a quelque chose que je dois te dire..."

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