Closer /Griezmann\

By Juudddy

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- Aller Anto, faut te lever ! - Hmmpfg - Debout Graisse-man ! - Répètes là ? - Je t'aime bien tu sais ? ... More

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Fin...?
À Vous !
Épilogue ♥
Mot De La Fin.

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By Juudddy

All Falls Down - Alan Walker. 


Mardi 01 Aout

18h38


- On va vous préparer pour la césarienne, annonce la sage-femme.

Je sens mon cœur rater un battement à l'annonce des médecins. Mes mains tremblent de fatigue et de peur.

- Antoine, Antoine, pleurais-je.

- Je sais, mais ça va aller bébé, ne t'inquiètes pas, me dit Antoine en passant une main sur le front.

- Monsieur on va vous préparer aussi, l'interrompt une infirmière.

- Non, non, Antoine, reste, s'il te plait, ne me laisses pas, pleurais-je en le retenant.

Antoine se penche vers moi et dépose des dizaines de baiser sur ma peau avant de reculer un peu.

- Je reviens dans 5 minutes bébé, je te promets que je ne pars pas et que tout va bien se passer. Je t'aime d'accord, ça va aller. 5 minutes pas plus. Je t'aime et on va avoir une petite fille en bonne santé, d'accord ?

Je hoche la tête tandis qu'il essuie les larmes de mon visage. Antoine suit une infirmière tandis que la sage-femme me rassure à son tour. On me couvre avec une couverture et les médecins et infirmiers me poussent d'un pas rapide pour sortir de la chambre. Je ne fixe que la sage-femme qui essuie mes larmes et me rassure tandis que nous longeons les couloirs. On vient de me donner un nouvel anesthésiant pour l'opération. La sagefemme m'explique tout ce qu'il se passe mais rien ne percute à mon cerveau. Je pose une main tremblante sur mon ventre et me met à parler à mon bébé.

- Je veux Antoine, suppliais-je la sage-femme quand on entra dans le bloc opératoire.

- Il arrive, ma belle, ne t'inquiète pas, regardes il est là, me dit-elle en pointant du doigt un fenêtre.

Je vois Antoine à travers la fenêtre. Une personne lui donne des protections en tissus bleu tout en lui parlant. Je le vois hocher la tête avant d'essuyer son visage. Je ne peux le quitter des yeux avant qu'il entre enfin dans le bloc, accompagné d'une infirmière. Mon compagnon accourt vers moi et s'assoit sur un tabouret à côté de moi. Il essuie mes larmes avant de m'embrasser.

- On va avoir notre princesse dans quelques minutes, mon amour, me fit doucement Antoine.

Je hoche la tête tout en regardant son visage et ses yeux humides. J'apporte ma main à son visage et le caresse doucement. La sage-femme nous donne toutes les informations en temps réel tandis qu'on l'écoute attentivement, la peur ne nous quittant pas. Antoine ne cesse de me murmurer des « je t'aime » à foisons. Il me change les idées au maximum en me racontant ce qu'on fera dès qu'on rentrera à la maison.

- La voilà votre princesse, je la vois !

Mon cœur loupe un battement aux paroles du médecin. J'attend avec impatience le premier cri de mon bébé qui tarde à venir. Mais mon cœur explose d'inquiétude quand je l'entends mais ce n'est pas un cri c'est un gémissement.

- Pourquoi je l'entends pas pleurer ? Pourquoi mon bébé ne pleure pas, paniquais-je.

- Ce n'est rien, ne vous inquiétez pas, votre princesse est fatiguée de tout ce travail. On va l'emmener faire quelques soins et la préparer pour vous l'emmener.

- Non, je veux voir mon bébé, s'il vous plait, pleurais-je. Antoine tu la vois ?

Antoine cherche notre bébé des yeux tandis que de nombreuses larmes coulent le long de mes joues.

- Antoine s'il te plait dis-moi que tu la vois ?

- Ne paniquez pas, ça va aller, essaye de ma rassurer la sage-femme, elle va bien, on va simplement la nettoyer un peu.

- Antoine, s'il te plait, va vers elle, s'il te plait, ne la laisses pas toute seule, pleurais-je.

- Je vais voir notre princesse d'accord, tout va bien, je la lâche plus, me souffle Antoine.

Il embrasse mes lèvres longuement avant de se redresser.

- Tu as fait un boulot magnifique mon cœur, je t'aime, dit-il un dernière fois avant de sortir non sans m'avoir lancé un dernier regard inquiet.

Voyant que je paniquais encore la sage-femme enleva ses gants et prit la place d'Antoine.

- Tout va bien, ne vous inquiétez pas, je suis sur qu'elle casse déjà les oreilles de papa à ce moment-là. Alors dites-moi, comment vous avez décorer sa chambre, me demande la sage-femme.

Je commence à lui décrire la chambre en essayant de me calmer avant de voir noir.

21h04

Je cligne des yeux plusieurs fois avant de les ouvrir complètement. Il me manque quelque chose, je pose mes mains sur mon ventre qui n'est plus aussi gros qu'avant. Instantanément, mon cœur fait un bond et je me rappelle de l'accouchement, l'opération.

- Hé, regardes bébé, maman est réveillé, j'entend à ma droite.

Je tourne la tête et découvre Antoine torse nu avec notre bébé sur lui, recouverte du petit pyjama blanc qu'on lui a choisi. Les larmes me montent directement aux yeux en comprenant que notre princesse est bien là. Je me mets à pleurer tout en levant les bras vers Antoine. Antoine me sourit et me dépose le nourrisson sur moi.

Mon cœur gonfle d'amour en découvrant pour la première fois le visage endormi de notre bébé. Je lève les yeux vers Antoine qui essuie une larme qui coule le long de sa joue.

- On a notre princesse, Anto, pleurais-je.

Antoine hoche la tête et se penche pour embrasser mon front.

- J'ai eu tellement peur, murmure Antoine.

- Moi aussi, dis-je en hochant la tête.

Je ne peux quitter des yeux cette petite chose posée sur moi et qui cherche du contact.

- Je vais chercher quelqu'un, m'avertit Antoine.

Je hoche la tête sans le regarder et caresse du bout des doigts le visage de ma princesse. Je trace tout le contour de son visage puis ses mains, ses dix doigts.

- Maman est là mon bébé, soufflais-je en déposant un baiser sur le crâne du nourrisson.

La porte s'ouvre doucement sur une aide-soignante, je pense, suivie d'Antoine.

- Bonjour maman, me sourit la femme.

- Bonjour, souriais-je à mon tour.

- Comment vous allez ?

- Ça va, un peu dans le gaz, j'avoue. Mais ça va bien.

- Et la petite demoiselle ?

- Elle avait hâte de rencontrer sa maman, sourit Antoine en s'installant à ma droite pour caresser la joue de bébé.

- Je n'en doute pas ! Vous allez allaiter ?

- Oui, souriais-je.

- Alors c'est parti je vous montre.

La femme monte le dossier du lit doucement pour me mettre mi- assise, mi- couché. Elle prend bébé dans ses mains et demande à Antoine de défaire le nœud de la chemise dans ma nuque. Je baisse la blouse et l'aide-soignante me redépose bébé dans les bras. La petite dame me guide dans mes gestes et voilà que bébé prend son premier vrai repas. Elle me donne ensuite plusieurs consignes dont le fait de bien me reposer de l'opération et nous laisse, dans la chambre, partager ce moment en famille après m'avoir rappelé que le médecin viendrait m'examiner demain. Je lève les yeux vers Antoine qui nous regarde avec des étoiles dans les yeux. Il embrasse mon front puis celui de notre bébé avant de s'assoir sur le fauteuil à coté du lit. On regarde notre fille manger en silence, c'était comme dans un rêve.

1 semaine plus tard.

Mardi 8 Août, 9h52

Je pousse la porte d'entrée doucement et la referme une fois Antoine passé avec la nacelle dans laquelle se trouve notre princesse. Ce dernier me fait signe qu'il va la poser dans le salon tandis que je m'approche de la baie vitrée où je vois Marley sauter comme un fou derrière. Aujourd'hui nous rentrons enfin de la maternité ; on y est resté aussi longtemps car j'ai accouché un peu plus tôt que prévu donc ils ont voulu nous garder en observation un peu plus longtemps. Mais maintenant tout va bien, enfin. Je salue mon gros bébé dès qu'il me saute dessus avant de me relever et de regarder autour de moi. Je souris en voyant qu'Antoine à essayer de ranger un peu, tout en laisser encore quelques trucs par-ci, par-là. J'envoie un rapide message à mes proches pour les avertir de notre retour à la maison avant de me diriger vers le salon quand je ne vois pas Antoine revenir.

Je trouve mon compagnon au-dessus du petit lit installé dans le salon en train de regarder notre bébé dormir. Je m'approche doucement de lui et l'encercle de mes bras en déposant ma tête sur son épaule, celui-ci sursaute avant de me sourire. Il passe un bras autour de mes épaules et de m'embrasser le front. Je souris et souffle de soulagement en comprenant que nous sommes bel et bien rentrés chez nous. Nous regardons bébé dormir jusqu'à ce qu'elle se mette à pleurer. Je la prends dans mes bras et pars m'installer dans le canapé. Antoine s'installe à côté de nous et regarde notre princesse. Je la vois ouvrir la bouche et faire comme si elle tétait.

- Ouh, t'as déjà faim, riais-je.

Je posais bébé dans les bras d'Antoine avant de me lever pour me rendre à la cuisine. Je sors du sac que j'ai ramené de la maternité tout un tas de truc pour faire ses biberons. Pendant cette semaine, nous avons eu un petit problème qui fait que nous sommes passés au lait en poudre. Le deuxième jour, j'ai eu énormément mal aux seins, et je pensais que c'était normal. Sauf qu'il s'avère que bébé réclamait beaucoup trop à manger, on était à presque toutes les heures. Quand le médecin m'a examiné, il a constaté que je ne produisais pas de lait en quantité suffisante pour la nourrir. Du coup, elle tirait énormément mais sans rien, d'où mes douleurs.

J'étais très déçu de ne pas la nourrir naturellement, j'ai eu une énorme crise de larme pendant plusieurs minutes, mais ma mère et Isabelle ont su me réconforter. Ces dernières ne s'étaient d'ailleurs encore jamais rencontrées mais elles s'adorent, je vous promet !

Donc depuis, nous faisons les biberons de bébé avec du lait en poudre. Et je savais Antoine heureux de pouvoir nourrir sa fille, donc j'étais heureuse aussi.

J'apportais le biberon à mon compagnon qui était tranquillement en train de parler à notre bout de chou. Je souris en les regardant quelques minutes avant de tendre le biberon à Antoine. Je m'assis à côté d'eux et déposais ma tête sur le dossier du canapé pour pouvoir profiter de notre petit moment en famille. Mais je me laissais rapidement emporter par les bras de Morphée.

Je sursautais quelques minutes plus tard quand j'entendis ma fille hurler de pleurs. Je me redressais en panique ne voyant aucun de mes deux amours à côté de moi. Je montais les escaliers en catastrophe pour trouver Antoine en train de changer la couche de notre bébé. Je posais une main sur le mur à côté de moi et l'autre sur ma poitrine, essayant de calmer les battements de mon cœur qui battait tellement fort que j'avais peur qu'il ne sorte.

Antoine prit notre fille dans ses bras et elle s'arrêta de pleurer dès qu'elle senti le contact de son père. Mon cœur avait du mal à se calmer malgré le fait que tout se passe bien. Je te tendis les bras vers Antoine qui fronça les sourcils en me voyant. Il approcha sa main de mon visage et passa ses doigts sous mes yeux. Je ne m'étais même pas aperçu que j'avais lâcher quelques larmes. Je passais à mon tour mes doigts sous mes yeux et pris ma fille dans mes bras pour la câliner.

Antoine embrasse mon front et passe un bras autour de mes épaules pour me rapprocher de son corps tout en gardant une distance raisonnable pour ne pas l'écraser entre nous deux.

- Qu'est-ce qu'il y a, me demande Antoine soucieux.

- Rien, j'ai paniqué quand je l'ai entendu hurler et qu'elle n'était pas à côté de moi, avouais-je.

Antoine souffle avant de prendre mon visage entre ses mains. Il pose son front contre le mien et me regarde droit dans les yeux.

- Ecoutes, je sais que tu as du mal à te remettre de tous ces problèmes qu'on a eu pendant l'accouchement. Mais notre princesse est là et elle va bien. Tout va bien aller. Tu sais que je t'aime et que je serais toujours là pour vous deux alors ne t'en fais pas, ok ?

Je souffle aux paroles d'Antoine avant sourire sachant qu'il me connait tellement mieux que moi que ça en devient frustrant. J'approche mes lèvres des siennes en souriant avant de baisser la tête vers notre petit bout qui gigote dans mes bras.

- Aller, viens, on va se mettre se poser un coup dehors, propose Antoine.

- Mais, pas longtemps, d'accord ?

- Je sais bébé, on y reste juste 10 minutes pour prendre l'air, me sourit Antoine avant de poser sa main dans le bas de mon dos.

Comme bébé est encore fragile, les médecins nous ont conseillé de ne pas trop la sortir dehors, même si le temps y prêtait. Elle avait encore un système immunitaire trop faible pour combattre les choses de l'air extérieur.

On reste plusieurs minutes à l'extérieur, sous les arbres dans la pelouse avec bébé. Antoine s'amuse avec Marley tandis que je garde bébé sur moi. Cette dernière s'est endormi quand je descendais les escaliers. Elle a le chic pour dormir la journée mais en revanche la nuit, c'est la fête. A la maternité, je n'en pouvais plus, voilà une semaine que je ne dors presque rien parce que quand je ne suis pas réveillé par la petite, je suis réveillé par des cauchemars. C'est très usant et fatiguant. Mais je sais qu'Antoine est à la maison en ce moment et qu'il va pouvoir me supporter plus qu'à la maternité, non pas qu'il ne me supportait pas, mais je ne voulais pas qu'il dorme à la maternité avec nous, préférant qu'il dorme mieux dans notre lit à la maison. Et puis je ne voulais pas laisser Marley et nos familles seules à la maison non plus.

Je finis par remonter à l'intérieur quelques minutes après et dépose bébé dans le petit berceau que nous avons installé au salon. Je m'assois sur le canapé et prend mon téléphone que j'ai laissé de côté pendant ces derniers jours pour me consacrer pleinement à ma fille. Je sais qu'Antoine a déjà tweeté à propos de la naissance de notre fille des emojis mais je n'ai encore rien fait de mon côté. J'allais poster une photo quand Antoine me rejoint. Je m'empresse de me coller à lui tout en soufflant de soulagement.

- Théo vient de m'envoyer un message, mais tu sais qu'on n'a toujours pas choisi le parrain et la marraine, me dit-il.

- Humm, c'est vrai, grognais-je dans son cou, le faisant lâcher un rire.

- Alors, comment on choisit ? Je choisis le parrain et toi la marraine, propose le sportif en passant la main dans mes cheveux.

- Huum, pas mal, soufflais-je.

Je fermais les yeux me laissant bercer par les battements du cœur d'Antoine et par le mouvement de sa poitrine. Antoine lâche un petit rire avant de me faire relever la tête.

- Bébé il faut qu'on choisisse et je te promets que je te laisse dormir après, sourit tendrement le sportif.

- La question ne se pose pas Julie est la marraine, lâchais-je.

- Oui, c'est vrai, je ne sais pas pourquoi je pose la question en fait, rit-il me faisant rire.

Je passe mes doigts sur les contours de son visage en le voyant réfléchir à son tour.

- En vrai, j'avais pensé à Diego, avoue doucement le brun.

- Oui pourquoi pas ?

- Non, parce qu'en vrai, s'il nous arrive quelque chose, notre fille va chez la marraine ou le parrain, donc il faut quelqu'un de responsable. Et je ne vois pas quelqu'un d'autre que Diego à ce rôle.

- Non, c'est vrai, je l'aime bien, avouais-je à mon tour.

- Voilà problème réglé !

Je ris face à son idiotie et me blottis de nouveau contre lui. Je passais ma tête dans son cou et attrapais mon portable dans la main pour finir ce que j'étais en train de faire. Je sentis Antoine sourire dans mes cheveux quand il vit la photo que je postais.

Je déposais ensuite mon téléphone sur la table et fermais les yeux pour me laisser porter une nouvelle fois dans un sommeil pas très profond mais reposant.

@MathyFa : Elle est enfin parmi nous. Je vous présente notre magnifique Alia. ️😍

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Hola ! Voilà un petit chapitre mignon mignon ! 

J'ai relu un peu mais vu que j'ai eu une grosse journée, j'ai surement du louper quelques fautes par-ci par-là.. L'erreur est humaine aussi ! 

J'espère que vous allez tous bien et ça y est notre bébé est là ! Punaise on la vachement attendue ! Enfin je sais pas vous mais moi j'attendais tellement l'arrivée de bébé Griezmann alors que je suis l'auteur ! Mais bon vous devez avoir l'habitude ! 

Je sais que mes publications ne sont plus très régulières mais j'essaie de faire de mon mieux, de même sur le compte instagram, je poste quand je pense à le faire surtout ! 

Mais voilà vous vous doutez bien que les études supérieures ce n'est pas suuuper facile quoi ! Surtout qu'en plus de tout ça, je suis à la recherche d'un nouvel appartement, d'un boulot pour cet été et d'un lieu de stage pour l'année prochaine, donc ne m'en voulez pas si j'ai pas énormément de temps pour poster aussi régulièrement qu'au début ! 

En espérant que vous ne m'en voulez pas trop ! Mais je suis sur que je me fais pardonner avec l'arrivée de bébé ! Ma foi, je vais retourner à ma triste vie d'étudiante ! Tchaaaao ! 

Par contre, je peux vous jurez que je vois tous les commentaires que vous mettez et même si je réponds pas à tous (enfin ça m'étonnerait) sachez que ça me boooooste un truc de fou !! 

Pleins de bisous ! ❤️❤️

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