The Ghost Shooter [Avengers F...

By CapRoger

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Je sévis dans la nuit, échappant à toute surveillance. On ne peut m'arrêter, parce que je n'existe pas. Je... More

Prologue
[1] Chapitre 1
[1] Chapitre 2
[1] Chapitre 3
[1] Chapitre 4
[1] Chapitre 5
[1] Chapitre 6
[1] Chapitre 7
[1] Chapitre 8
[1] Chapitre 9
[1] Chapitre 10
[1] Chapitre 11
[1] Chapitre 12
[1] Chapitre 13
NDA
[2] Chapitre 1
[2] Chapitre 2
[2] Chapitre 3
[2] Chapitre 4
[2] Chapitre 5
[2] Chapitre 6
[2] Chapitre 7
[2] Chapitre 8
[2] Chapitre 10
[2] Chapitre 11
[2] Chapitre 12
[2] Chapitre 13
[2] Chapitre 14
NDA
[3] Chapitre 1
[3] Chapitre 2
[3] Chapitre 3
[3] Chapitre 4
[3] Chapitre 5
[3] Chapitre 6
[3] Chapitre 7
[3] Chapitre 8
[3] Chapitre 9
[3] Chapitre 10
[3] Chapitre 11
[3] Chapitre 12
[3] Chapitre 13.1
[3] Chapitre 13.2
Épilogue
Remerciements
TOME 2

[2] Chapitre 9

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By CapRoger

Des débris retombaient de tous côtés, formant des amas de planches et d'objets divers ça et là. Ils se détachaient dans un ciel noir, la lumière ne parvenant pas à filtrer à travers les épais nuages de cendres qui plongeaient le camp dans une atmosphère apocalyptique. Celui-ci prenait sa source au bâtiment central et semblait s'élever jusqu'à des dizaines de mètres de hauteur. Les flammes de l'explosion rongeaient les quelques restes éparses de ce qui avait été l'un des bâtiments du Shield. L'explosion avait tout ravagé sur son passage et la détonation avait été d'une puissance inqualifiable.

Margaux n'entendait plus un bruit. Ce fut comme si le monde avait placé d'énormes bouchons sur ses tympans.
Elle ouvrit les yeux, très sonnée, comme si elle sortait d'un profond sommeil.

La jeune femme resta allongée sur le sol, n'ayant pas la force de bouger. Ses muscles étaient douloureux et semblaient tendus des suites d'une situation particulièrement propice à l'anxiété, cependant, elle fit un effort pour se lever et ses yeux rencontrèrent le bâtiment, ou plutôt la ruine qui y avait pris place. Ses souvenirs mirent quelques secondes à lui revenir. Néanmoins, une fois cela fait, l'horreur de la situation la terrassa de toute part.

-Steve !

Même si elle ne put l'entendre, sa voix déchira les cieux et elle se laissa tomber à genoux, s'enfouissant la tête dans les mains. Ceux-ci s'écorchèrent contre les graviers mais la jeune femme ne prêta aucune attention à cette douleur qui pouvait être qualifiée, étant donnée la situation, de secondaire. Des larmes de tristesse mais également de rage lui brûlèrent les yeux. Rage contre Hydra, rage contre elle-même. Ils étaient de garde, et avaient échoué.

De faibles sons, comme des craquements de bois commençaient à lui parvenir, mais ils semblaient encore bien lointains.
Elle n'avait donc pas complètement perdu l'ouïe.

Margaux se retourna violemment, prenant conscience que tous n'étaient pas à l'intérieur du bâtiment. Clint était resté avec elle. Elle courut vers les grilles qui fermaient le camp. L'une d'elle était à terre et un corps gisait dessus. En s'approchant de plus près, Margaux reconnut son coéquipier. Du sang coulait d'une blessure ouverte sur son  front. Beaucoup trop de sang.

Margaux prit le pouls de Clint. Il n'y avait rien. Elle posa ses mains sur son torse et commença le massage cardiaque, que sa mère lui avait appris à effectuer lorsqu'elle était enfant.

Deux corps étaient allongés sur le sol. Une mare de sang les entourait. Leur visage était de cire, d'une beauté de poupée, les yeux perdus dans le vague, vides, sans vie. Seul un trou béant, sur leur front, d'où s'écoulait un filet de sang coupait leur beauté. Une tâche rouge ne cessait de s'agrandir sur leur chemisier. La petite fille parvint jusqu'à son père , dont elle ne voyait le corps que par vague, les images floutées par ses larmes. Elle posa ses mains sur sa poitrine et commença à appuyer de toutes ses forces. Pendant plus d'une heure, la fillette continua, infatigable, avant de se recroqueviller sur le sol. Rien à faire, il ne revenait pas.

Aucun battement ne venait soulever légèrement ses deux doigts. Il ne respirait plus. Clint n'était plus. Elle était seule. Elle avait tout perdu. Rien ne la retenait. Des hélicoptères approchaient. Elle le sentait. De forts signaux électriques lui parvenaient. Ils viendraient l'arrêter. Probablement la torturer pour ses secrets. Avant de la tuer. Mais qu'importe. Elle n'avait pu sauver personne. Elle ne méritait pas de vivre. Elle n'avait rien pu faire pour sauver ses amis. Elle se trouvait actuellement dans un état de détresse mentale indéfinissable.

Margaux s'assit à côté de Clint et lui prit la main. Elle n'avait pas pu le sauver. Tout comme son père. Elle le regarda une nouvelle fois et le dévisagea, même si elle n'y avait jamais prêté attention, il ressemblait beaucoup à son père. Cette idée folle lui venait, constituée à partir de souvenirs vieux de plus de dix ans, les yeux perdus dans le vague.
Lui non plus elle n'avait pu le sauver.

Après quelques secondes elle se redressa. Une nouvelle venait de perler dans son esprit. Elle se mît face au cadavre de Clint et posa ses mains sur son torse. Au même instant, elle fit appel à toutes les forces électriques émanant des hélicoptères et les laissa traverser ses membres jusqu'à la poitrine de l'archer. L'impulsion électrique traversa les chairs et les tissus et se plaça dans la veine cave. Elle rejoignit le ventricule et stimula son cœur. Le sang reprit son rythme et l'impulsion électrique finit sa course dans son cerveau. Une force le traversa et un voile prit place devant ses yeux.

Son père se releva et prit Margaux au cou. Sa poigne était d'une force surnaturelle. L'adrénaline qui courrait dans ses veines ne plaidait pas en faveur de la pauvre femme. Elle ne pouvait plus respirer, ses poumons étaient vides de tout oxygène. Margaux ne comprenait pas ce qu'il se passait. Elle ne pouvait même plus réfléchir. Son cerveau n'était plus irrigué.
Les yeux de Clint étaient déments. Il n'était plus maître de ses mouvements. Ce choc électrique lui avait fait quelque chose. 

-Loki, murmura Clint.

La même sensation avait traversé son corps lorsque l'asgardien avait pris possession de son esprit. Cela avait ravivé le traumatisme de cet instant au point de l'aveugler.
Une seule pensée l'obsédait : tuer son gourou.

Margaux n'avait plus assez d'énergie pour se libérer de son emprise. Ses pieds ne touchaient plus le sol et la peau de visage commençait à tourner au bleu. Sa vision se brouillait, étalant un voile blanc devant son champ oculaire.

Soudain, tout se relâcha et l'air se remit à circuler normalement. Margaux tomba violemment sur le sol et eut du mal à reprendre sa respiration. Sa gorge était irritée et chaque toux lui arrachait une grimace de douleur. La tête lui tournait en raison de ce brusque regain d'air.
Était-elle morte ? En tout cas, c'est ce qu'elle croyait. Elle attendit quelques secondes, les yeux fermés, le front contre le sol dur et froid, légèrement humidifié par une rosée matinale. Le seul son qui lui parvenait était celui de sa respiration, rapide et irrégulière.

Elle sentit une légère pression sur son bras droit. Avait-elle rejoint sa famille dans un monde meilleur ? Ce geste la força à ouvrir les yeux et à croiser le propriétaire de la main : Natasha Romanoff.

A la réflexion, sûrement l'enfer.
Elle n'avait donc pas réussi a racheter ses coupables actions ?

Celle-ci avait des cendres dans ses cheveux roux et la regardait avec des yeux inquiets, très loin du regard qu'elle lui connaissait.

-Tu vas bien ?

Margaux hocha brièvement la tête, ne comprenant plus rien à la situation présente. Elle regarda autour d'elle. Elle se trouvait toujours au même camp. Rien n'avait bougé, les bâtiments étaient toujours en feu.

Natasha se releva et Margaux la suivit du regard. Elle se déplaça jusqu'à quelqu'un d'autre. Clint se frottait la tête, un bouclier aux couleurs de l'Amérique sur ses genoux. Margaux le fixa quelques secondes sans réaliser. C'était comme si son cerveau était resté bloqué sur cette image.
Tout à coup, un visage entra dans son champ de vision, de magnifiques yeux bleus bercés par l'inquiétude  accompagnés de beaux cheveux blonds, eux aussi couverts de cendres.

-Il t'a fait mal ?

Les bras de la jeune femme vinrent encercler son corps et sa tête s'enfouit dans son T-shirt. Elle le serra de toutes ses forces, comme pour vérifier qu'il était bien la, comme si elle n'y croyait pas. Son odeur de fleurs n'avait pas changé.

Natasha lança un petit rire cristallin, à croire que cette scène la réjouissait.

-J'imagine que ça répond à ta question, commenta-t-elle.

Soudain, des hélices se firent entendre, coupant ce moment de pur bonheur. Les hélicoptères continuaient de se rapprocher de leur position. Il ne leur restait que quelques secondes.
Margaux prit peur et se tourna vers Steve et Natasha.

-Il faut partir sur le champ !

Elle se retourna vers Clint qui la regarda honteusement. Il s'en voulait terriblement. Malgré cela, il n'y était pou rien. Margaux connaissait les risques, et pourtant, elle avait choisi de les prendre. Après quelques secondes, Margaux lui tendit la main et l'aida à se relever, main qu'il accepta avec reconnaissance.

Moins de deux minutes plus tard, tous avaient quitté ce camp et se trouvaient dans le pick-up, sans aucune idée du chemin à suivre.
Tous se firent le récit des dernières heures qu'ils avaient vécues, des informations récoltées, et furent étonnés d'avoir réussi à survivre à une telle nuit.

Après une telle conversation, la question fatidique se posa :

-Ou pouvons-nous aller ?

Margaux put voir Natasha et Clint échanger un regard furtif, puis ce dernier déclara :

-Vous allez adorer.

Celle-ci ouvrit les yeux quelques secondes plus tard, sans même se souvenir de les avoir fermés.
Elle jeta un coup d'œil autour d'elle et scruta l'habitacle. Steve avait pris place à ses côtés, laissant le volant aux mains de Clint.
Le soldat semblait, lui aussi, plongé dans un profond sommeil.
Le soleil était déjà levé, et des paysages de campagne défilaient devant ses yeux. L'espionne n'avait absolument aucune idée du lieu vers lequel ils se dirigeaient. Néanmoins, elle avait confiance en tous ceux qui étaient présents dans ce véhicule, y compris Natasha.

Elle lança un regard furtif à sa montre et s'aperçut, à sa grande stupeur que les aiguilles indiquaient dix-huit heures.
Elle avait dormi plus de douze heures, signe de sa profonde carence en sommeil. Cela devait faire dix jours que la jeune femme n'avait pas eu un sommeil réparateur comme celui-ci.

La voiture tourna à droite et s'engagea dans un petit chemin de terre. Une charmante ferme apparut au loin, nichée au sommet d'une petite colline.
Margaux ne savait pas pourquoi, mais son nouveau foyer lui inspirait toute confiance. Le pick-up s'arrêta devant sa porte et Clint sortit sans un mot, suivi de Natasha.

La devanture de l'édifice, toute de pierre et de bois était très accueillante et donnait une impression conviviale avant même qu'on ait mis les pieds dedans. Une vraie maison de famille, pensa Margaux.

Margaux réveilla doucement Steve et l'invita à entrer à la suite de Clint.
Celui-ci ouvrit la porte et s'écria :

-Papa est rentré !

Margaux écarquilla les yeux et contempla la scène qui se déroulait devant elle sans y croire.

Deux petites filles arrivèrent, le sourire aux lèvres, se battant pour être la première a faire un bisou à leur père.
La première se jeta dans les bras de son père, suivie de très près par la seconde.

-C'est de la triche, cria la plus jeune, Anna est plus grande.

-Arrête de faire ta jalouse, Margaux, lui répondit la dénommée Anna.

Le père rit et embrassa les deux fillettes. Celui-ci en prit une sur chaque épaule et s'avança dans la cuisine. Là, son épouse l'attendait, heureuse de retrouver l'homme de sa vie. Il posa délicatement ses lèvres contre les siennes.

Et se retourna vers ses invités.
Cela ramena Margaux à la réalité. Elle avait les larmes aux yeux et Steve la dévisageait. Elle détourna le regard et se concentra sur ce que disait Clint :

-Steve, Margaux, je vous présente ma femme, Laura, ainsi que mes deux filles, dit-il en montrant les enfants dans ses bras.

Celle-ci leur sourit gentiment et ajouta :

-Captain America et The Ghost Shooter, oui, je les connais.  

Clint avait une famille. Cela semblait impensable étant donné le poste qu'il occupait. Mais Laura paraissait être au courant. Margaux trouvait la scène qui se présentait devant elle d'une beauté extrême.
Clint se tourna vers sa femme avant de lui dire :

-Oui, et tu connais déjà Natasha.

Les deux jeunes femmes hochèrent la tête et échangèrent des regards froids. Leurs relations avaient dû être houleuses par le passé.

-Venez avec moi, intima Laura à Steve et Margaux, qui lui emboîtèrent immédiatement le pas. Je vais vous montrer votre chambre. Les deux espions échangèrent un regard étonné et le malaise s'installa alors que Laura ouvrit la première porte du palier.

Steve se décida enfin à briser le silence :

-Laura, Margaux et moi... ne sommes pas ensemble.

Celle-ci ouvrit de gros yeux et regarda Margaux comme si elle allait démentir cela. Voyant que la jeune femme ne disait rien, elle continua :

-Oh, j'était pourtant persuadée que...
De toute façon, je suis vraiment désolée, mais il ne nous reste que cette chambre de libre.

Sur ce, le visage empourpré, elle s'empressa de repartir d'où elle venait, les laissant seuls. Un silence gênant s'installa, brusquement coupé par des pas dans l'escalier.

Deux petites filles passèrent en courant devant la porte entrouverte.

-Anna, attends-moi !

Margaux déposa son sac, un poids prenant possession de son cœur et quitta la chambre en marmonnant quelque parole incompréhensible. Elle descendit les escaliers à la hâte et s'empara d'une bouteille de Vodka sur le bar de la cuisine avant de passer par la porte de derrière. Celle-ci ouvrait sur un petit jardin calme. Margaux déboucha la bouteille, s'assit dans l'herbe fraîche et prit une gorgée  avant d'encercler ses genoux de ses bras.
Cette boisson, il fallait bien se l'avouer, avait un goût ignoble. Pourtant Margaux continua, gorgée après gorgée de laisser le liquide lui brûler la gorge.

Elle laissa les larmes qu'elle avait retenues toutes la journée couler le long de ses joues. Il faisait froid, et ses muscles tremblaient, mais elle n'y prêtait guère attention. Elle laissait libre cours à ses émotions. Le manque de sommeil, la fatigue, la tristesse, la colère, elle ne retenait rien.

Après quelques minutes, elle entendit la porte s'ouvrir. Son ouïe était bonne, mais loin d'être ce qu'elle fut.

Une veste fut posée sur ses épaules. Elle releva ses yeux rougis par les larmes et croisa le regard de Steve.
Un sourire illumina son visage et elle s'exclama :

-Oh salut beau gosse !

Steve la regarda, les sourcils froncés.

-Margaux, ce n'est pas raisonnable, donne-moi cette bouteille.

Celle-ci éclata d'un rire franc.

-Oh tu connais ça toi, hein Captain, être raisonnable, suivre les ordres, la police.

Elle se leva et commença à danser en chantant Hey mister policeman, I don't want no trouble...

-Margaux, s'il te plait, sois raisonnable.

-Si tu veux que je sois raisonnable, t'as qu'à enlever ton T-shirt.

-C'est pour ça que tu es saoule ? demanda-t-il en arquant un sourcil.

Margaux se remémora la journée passée. Elle se sentit brusquement honteuse de se présenter de cette manière devant lui, faible.
Elle se laissa tomber sur le sol en pleurant et lacha sa bouteille de vodka.

-Je suis désolée, murmura-t-elle.

-Tu n'as pas à t'excuser, conclut Steve. Tout le monde à le droit de craquer, tu as eu une journée difficile.

Margaux ne savait pas pourquoi, mais la présence de ce beau soldat avait le don de l'apaiser. Il s'assit à ses côtés et passa son bras autour de ses épaules. Ses larmes cessèrent aussitôt et elle se tourna vers lui pour le contempler.
Margaux se remémora toute sa journée et se souvint du moment de détresse qui l'avait terrassée lorsqu'elle avait cru Steve mort.

-J'ai cru t'avoir perdu, aujourd'hui, avoua-t-elle.
Et avant qu'elle ne songé à les arrêter, de nouveaux mots franchirent ses lèvres.

-Je ne sais pas ce que j'aurais fait sans toi. Ne me laisse plus jamais.

Elle le regarda dans les yeux et celui-ci croisa son regard.
Elle ne savait pas si c'était l'alcool ou le fait de l'avoir cru mort, mais elle se devait de lui dire la vérité.

-Depuis que tu es arrivé dans ma vie, quelque chose à changé. J'ai besoin de toi à mes côtés.

Ses yeux brillaient. Et aucun alcool n'influençait ses paroles à cet instant. Seul son cœur en était maître.

-Je te le promets. Je ne te quitterai plus jamais, conclut-il.

Leurs regards ne se lâchaient plus, comme si le monde autour d'eux n'était qu'un décor sans importance, seulement la pour sublimer le rapprochement qui s'effectuait entre ces deux êtres. Steve posa sa main sur sa joue et attira son visage jusqu'à ce que leurs lèvres se touchent.

-Je t'aime.

Ces mots, Margaux les avait entendus distinctement, il n'y avait aucun doute possible.

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