J'ai Prit Les Armes Pour Sauv...

Av letia_vauxdel

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« Hasan remet mes cheveux en place et me fait un sourire rassurant. Hasan : on va s'en sortir *sourire* Sofi... Mer

Presentation
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Interview
Rappel des personnages
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Revelation et Eclaircissement
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Av letia_vauxdel

"Il n'y pas pire que l'Homme, parce que même conscient de ces crimes, il ne s'arrête pas. Il n'y a pas plus dangereux que l'Homme, parce qu'il se prétend victime même quand c'est lui qui engage le combat"

Précédemment :

Une voix intérieure me crie de les suivre, que c'est peut être important. Je ferme les yeux en réfléchissant à toute vitesse et décide de ne pas céder, je pars de l'entrepôt rapidement, j'ai récupéré mes affaires, c'est tout ce que je voulais.

En partant, je me dis que j'ai fait le bon choix, ce ne sont plus mes affaires.

Retour dans le présent :

Je fronce les sourcils en regardant Youssef. Je m'approche rapidement du canapé où sont positionnés mes parents ainsi que mes frères.

Youssef : *sourit en s'affalant dans le canapé* J'ai entendu que les pompiers ont retrouvé son corps dans les décombres.

Mon cœur se serre violemment. Papa se lève d'un coup et pousse d'un coup la petite table basse brutalement tapant dans les jambes de Youssef qui grimace. Baba garde le pied sur la table pour ne pas qu'elle bouge tandis que Youssef essaye de ne rien laisser paraitre, cependant une expression de douleur le trahit pendant quelques secondes.

Papa : Parle vite Youssef avant que je ne te broie encore plus les jambes *regard noir et pousse plus fortement la table dans les jambes de youssef avec son pied*

Youssef : *sourit froidement* Le corps de votre fils a été retrouvé dans les décombres, vous n'avez plus rien à perdre, c'est le moment qu'on parle d'affaire vous et moi.

RETOUR DANS LE PASSE QUELQUES JOURS APRES LA MORT DE BACHIR

P.D.V de Sofiane :

Je regarde Hassan allongé dans le lit en soupirant violemment. Je passe plus de temps à la voir à moitié dans le coma avec des bandages de partout qu'à le voir vivre sa vie. C'est fou ça.

Moi : T'en dis quoi ?
Médecin : J'en dis que ça laissera des cicatrices, faut pas rêver.
Moi : Partout ?
Médecin : Non, le cou ça va aller mais l'épaule a sacrément morflé, je t'explique même pas pour les bras. Et le dos, c'est pas joli joli.

Je me frotte les tempes en soupirant de nouveau. Cet enfant me donne mal au crâne.

Médecin : Mais bon, au moins il va bientôt se réveiller *rigole* et je te conseille de pas être dans les parages. Ca va lui faire un mal de chien et il va pas être doux *se lève*
Moi : *surpris* Attends ! Parce que t'attends pas avec moi qu'il se réveille ?
Médecin : Je suis médecin, pas suicidaire. T'as peur d'être seul avec lui ? Sofiane t'as perdu tes couilles ou quoi ?
Moi : *hurle * MAIS QUI A DIT QUE J'AVAIS DES COUILLES DE BASE ? HEIN ?

Il éclate de rire et s'en va en rigolant. Avant de franchir la porte, il me lance une boite de médicament.

Médecin : Ca, c'est pour l'autre. Ca peut aider.

J'hausse les sourcils et regarde la boite dans ma main. Je soupire et m'assois, le dos contre le mur, les fesses et les jambes allongées à coté d'Hassan. Je ferme les yeux en sentant que la situation est déjà bien trop compliqué et m'endort comme ça.

Quelques heures plus tard :

P.D.V D'Hassan

Je suis réveillé par le putain de bras de Sofiane qui viens de m'éclater le nez. Je vais pour pousser son bras de mon visage quand je sens une violente douleur, un tiraillement horrible sur mon épaule. Je serre violemment les dents et je pousse Sofiane par terre avec mon autre bras.

Sofiane : *se réveille en sursaut* Putain de ?! QUOI ?
Moi : *serre les dents en ralant* J'ai l'épaule qui m'arrache la tronche.
Sofiane : *fronce les sourcils* C'est tout ?

Je vais le tuer. Vraiment je vais lui niquer sa race.

Sofiane : *rigole doucement* Allez... *se relève doucement* Ose me dire que ça valait pas le coup.
Moi : *le regarde sérieusement puis tourne ma tête à gauche en regardant ce qui est à coté de moi* Si, ça vaut toutes les brulures du monde.

Parce que Bachir est juste là en train de dormir à côté de moi.

Flash Back

Sofiane : *râle fort* Ca fait des jours qu'on les suit putain de merde Hassan, si ca se trouve tu as halluciner.
Moi : *pose mon bras sur le rebord de la fenêtre de ma voiture* Je te dis qu'il y a un truc qui se prépare
Sofiane : C'est comme ça que tu comptes arrêter la merde ?
Moi : *fronce les sourcils* Je te dis qu'il y a quelque chose bordel.

Sofiane râle comme un enfant avant de s'affaler dans le siège et de glisser pour montrer son mécontentement. 3 jours a pister des hommes comme ca dans une voiture avec Sofiane, un de nous deux sortira pas vivant de cette bagnole.

Sofiane : Mais je m'ennuie !

Je sens ma veine sur ma tempe se contracter d'énervement. Je vais le tuer, je vois pas d'autres options possibles je vais le tuer.

Sofiane : *souffle* C'est nul d'être en planque, en plus j'ai faim.

On inspire et on expire. On se calme.

Sofiane : En plus fait trop chaud dans ta twingo de mes deux.

Le secret s'est de respirer lentement, de faire abstraction des parasites environnant.

Sofiane : Et vas-y viens on joue à pierre feuille ciseau ? Ou si t'as un jeux de carte moi je dis pas non.

Je ferme les yeux en serrant les dents.

Sofiane : Ou au pire on remonte les vitres, on mets de la vieille musique a fond et viens on chante. Wallah ca peut être cool.

Ne pas écouter ces envies meurtrières. Juste zen.

Sofiane : Eh Hasan
Hasan : *me tourne violemment vers Sofiane* QUOI PUTAIN DE MERDE BORDEL DE ! QUOI ?
Sofiane : *pointe des mecs* t'as vu ? Ils sont sortis de l'entrepôt.

Je regarde dans la direction des mecs surpris et je démarre la voiture. Si je montre, si mon instinct se trompe et que je m'embarque encore dans de la merde, je vais pêter un plomb.

Quelques heures plus tard, on s'est fait semer par les voitures des mecs. Je frappe mon volant de nerf. Putain, je suis sur qu'il se trame une merde colossale et je perd des putains de grosse berline noire. On tourne un peu dans les alentours avec Sofiane en espérant les repérer des nouveau cependant c'est un cri déchirant qui nous arrête dans notre course.

... : BACHIR

Je freine violemment et accélère direction le cri. Je commence a avoir le ventre contracté. Je me mord la lèvre violemment et serre comme un fou le volant entre mes mains. On arrive par le chemin arrière et on voit la maison de Dayena en feu. Ma gorge se noue, je vois des mecs avec un masque à gaz dans la maison, putain les enfoirés. Je me précipite dans la maison en mettant mes bras devant moi. Directement je sens la fumée rentrée dans mes poumons. Mes yeux commencent a piquer et j'entends Sofiane m'appeler derrière moi. Ce malade m'a suivi.

On commence a monter quand on voit au loin, Dayena se faire porter sur l'épaule d'un mec entièrement habillé de noir. Je vais lui éclater la tronche. Je commence à m'avancer direction Dayena quand d'un coup je sens Sofiane qui me tire le tee-shirt pour me retenir.

Moi : *crie à cause des flammes* LACHE MOI PUTAIN JE VAIS ALLER L'ETRIPER.
Sofiane : *crie* LAISSE TOMBER POUR L'INSTANT, IL LA FOUT PAR LA FENETRE. ELLE VA S'EN SORTIR.
Moi : *sent la rage monter* QU'EST CE QUE T'EN SAIS ?!
Sofiane : *paniqué* HASAN REGARDE PAR LA !

Je me tourne dans la direction indiquée même si ca me fait chier de détacher mon regard de Dayena. La vue que j'ai devant moi me brise le coeur. Khalti Hizya, le voile détruit, tombant, les habits recouverts de cendres en train de pleurer et de tenter de toutes ces forces d'enfoncer une porte malgré les brulures, malgré la chaleur.

Khalti Hizya : *pleure en toussant violemment* BACHIR ! Pitie pitié pas mon fils

Je m'approche rapidement d'elle après avoir lancé un dernier regard inquiet à l'endroit ou été Dayena et j'essaie d'aller le plus vite possible vers elle. Un mec derrière elle est plus rapide que moi et la sort de force comme il fait avec Dayena. Je fronce les sourcils, je ne suis pas assez rapide. Je regarde la direction qu'à pris l'homme avec Khalti et la porte bloquée ou j'entends les pleures de Bachir. Mon choix est vite fait.

Je commence a taper sur la porte avec mon épaule malgré l'état de la porte, malgré les flammes et les brulures. Je ne réfléchis même pas, la douleur, la sensation que ma chair est en train de bruler ne me fait pas arrêté. C'est rien, pour moi c'est rien si je peux sauver Bachir. Sofiane arrive quelques minutes plus tard vers moi en se couvrant la bouche.

Sofiane : *choqué* Putain Hasan ton épaule !

Je sais. Je ne la vois pas avec toute cette fumée mais je sens que mon épaule, mon bras doit être dans un sale état. D'un coup une planche du plafond tombe vers nous, Sofiane me tire en arrière en toussant violemment.

Sofiane : Faut qu'on trouve une autre solution *tousse fort* on va crever dans cette baraque si on continue, il faut qu'on passe autre part pour atteindre Bachir !

Je retourne cogné contre la porte en serrant les dents de douleur sans l'écouter.

Sofiane : *crie* HASAN !
Moi : Si on fait demi tour, si on passe par un autre chemin, ça sera trop tard.

Sofiane me regarde surprise puis serre les dents en enlevant son bras de devant son visage, ce qui lui permettait de couvrir sa bouche et son nez.

Sofiane : Et merde ! *me retient en toussant fort* A trois on y va ensemble

J'hoche la tête et on fait la manoeuvre ensemble, on projette notre corps contre la porte, avec tout notre poids possibles mais celle-ci ne cède pas.

Moi : *tousse violemment en ayant de plus en plus de mal a respirer* Putain de porte à la con

D'un coup on sent le sol flanché légèrement sous nos pieds.

Sofiane : *commence à voir trouble* On va crever ici
Moi : Une dernière fois Sofiane

Sofiane tousse violemment en hochant la tête. J'ai l'impression qu'il va s'évanouir a n'importe quel moment mis il me suit et on recommence en y allant le plus fort possible car on sait que c'est notre dernière chance. D'un coup la porte cède enfin, on se retrouve dans une pièce en feu avec Bachir évanoui par terre. De nouveau une planche en feu s'effondre et menace d'écraser Bachir. Mon premier instinct a été de me mettre au dessus de Bachir. La planche me tombe sur le haut du dos et sur mon épaule déjà brulée. Je serre violemment les dents. Wallah niveau douleur je supporte bien mais là. Sofiane hurle mon prénom, la planche sur moi, je le vois qui arrive et qui hurle de douleur en portant la planche en feu pour nous libérer.

Sofiane : *gémis violemment de douleur* PUTAIN ! Allez on se casse !

Je serre les dents de nouveau, je ne pense pas avoir une seule fois desserré les dents d'ailleurs et je me lève en portant Bachir. On arrive a sortir de cette baraque in extremis avant que celle-ci s'effondre. J'entends Sofiane toussé violemment, je me tourne vers lui avec Bachir dans mes bras et je vois ces mains brulés, sa peau a vif;

Moi : Sofiane

Sofiane se retourne vers moi surpris mais je vois à son expression qu'il est horrifié. Ouais je sais, je dois avoir l'épaule et le bras dans un sale état.

Moi : *commence à voir trouble* Faut que tu gères le reste

J'ai pas le temps d'attendre sa réponse que d'un coup je ne vois plus rien, ma vue se brouille, tout devient noir, je l'entend m'appeler. Bordel j'y crois pas... Je me suis évanoui.

FIN DU FLASH BACK

Moi : *gémis de douleur en me relevant* Combien de temps qu'on est dans cet état ?
Sofiane : Quelques jours, le médecin est passé.
Moi : *tousse encore un peu* alors ?
Sofiane : Moi qui était fier de n'avoir jamais fumé, je t'explique pas l'état de nos poumons là, au point ou j'en suis je peux aller dans les bars à chicha maintenant.
Moi : *rigole légèrement* Ferme la abruti
Sofiane : *rigole en penchant la tête en arrière* On va avoir de joli cicatrice surtout toi, tas tout le haut du dos, l'épaule et le bras de marqué Hasan *sourit* par contre le petit bonhomme a eu de la chance, brulure superficielle et il a ce masque sur la tronche pour lui procurer de l'oxygène de ce que j'ai compris. Genre une intoxication dû à la fumée ou je ne sais quoi donc faut le laisser respirer 100% d'oxygène. Il a faillit le foutre sous intubation endotrale
Moi : C'est pas plutôt intubation endotrachéale ?
Sofiane : Ouais c'est pareil.

Je caresse doucement les cheveux de Bachir en souriant. Je l'ai fait. On l'a fait putain. Dayena... j'ai réussi à faire quelque chose de bien pour une fois.

Je ferme les yeux en imaginant déjà les larmes et le bonheur de Dayena, de toute sa famille. Une explosion se fait entendre d'un coup au rez-de-chaussée. Sofiane tombe par terre sous la violence des ondes, je me redresse violemment en me mettant devant Bachir au cas ou il recevrais des débris ou de la saleté venant du toi. Il a déjà besoin d'oxygène pure, autant pas le contaminé au reste.

Sofiane : *se redresse lentement* putain c'était quoi ça ?

D'un coup, on entend des voix, des cris en bas. Je grince des dents en comprenant qu'on se fait clairement attaqué. Je me lève difficilement en prenant l'arme qui est dans la table basse.

Sofiane : *surpris* t'espères faire quoi avec ça hein ? Regarde ton état !
Moi : *rigole doucement* ils nous trouveront forcément. Tu crois qu'avec tes mains tu vas pouvoir tirer ?

Sofiane regarde ces mains entièrement recouvertes de bandage. Il serre les dents en pestant contre lui même sauf qu'on a pas le temps de parler que la porte s'ouvre dans un gros fracas. Je pointe mon arme directement dans la direction de la personne qui vient de rentrer en cachant bachir derrière moi.

Marouane : *sourit froidement* Salut petit frère.

Sans qu'on comprenne, une dizaine d'homme armé rentre dans la chambre et nous encercle en pointant leur flingue sur nous.

Marouane : T'as rendez-vous avec Papa

Il éclate de rire et les hommes commencent a embarquer Bachir. Sofiane se fait maitriser par plusieurs mecs et je tente de rejoindre Bachir sans réussite. Un des mecs pose sa main sur le masque de Bachir.

Moi : Espèce de fils de... *pointe mon arme sur lui* Ne le touchez pas ! Ne lui enlevez pas ce masque putain !
Marouane : *sourit* vas-y tire, tire si t'as les couilles mais faudra pas te choquer des conséquences.

Il lance un regard vers Bachir endormi qui est dans les bras d'un des mecs, une arme sur la tempe. Avant que je ne puisse dire quoi que ce soit, je sens un violent coup dans la nuque qui m'assomme. Putain de merde...

RETOUR DANS LE PRESENT

P.D.V Dayena :

Je regarde Baba qui continue de tenir fermement avec un pied la table basse contre les jambes de Youssef. Il a tenté de se libérer mais papa a encore de la force.

Youssef : Crois moi, c'est une mauvaise idée.
Baba : *froidement* En quoi ?
Youssef : *rigole en sortant des photos de l'intérieur de sa veste* Parce que j'ai quelque chose qui pourrait bien vous intéresser.

Il lance les photos sur la table qui lui écrase les jambes contre le canapé. Maman pose sa main sur sa bouche en écarquillant les yeux, surprise de sa réaction je men penche pour regarde les photos. Les larmes me montent directement, ma gorge se noue et l'envie de vomir me prend. Mon petit frère, mon sang est allongé dans une salle lugubre, un masque sur le visage. A coté, Hasan et Sofiane par terre, blessé et couvert de bandage.

Anis : *regard noir et se lève violemment* Enfoiré je vais te-
Marouane : *sourit doucement* tu devrais pas finir ta phrase. Enfin pas si tu tiens à ton petit frère.
Youssef : *joue avec une photo entre ces doigts* Je vous avoue que le plan de base ce n'était pas ça, c'était de vous éliminez un par un, que chacun d'entre vous voit la mort de l'autre en commençant par le dernier.

Je serre tellement fort mes poings que je sens mes ongles me rentrer dans la peau.

Youssef : Mais finalement, mon fils est assez traître, faut encore que je le cadre un peu. Le bon point c'est que ça m'a donné une idée.

Une énorme tension est présente dans la pièce. Jai la furieuse envie de me jeter sur eux et de les étrangler maintenant cependant, qui sait ce qui se passera pour eux trois.

Yemma : *froidement* Tu veux quoi Youssef ?
Yousef : *rigole* Tu vois, la tu m'intéresses, la ça devient intéressant.

On les regarde froidement avec une rage indescriptible dans le regard tandis que ces enfoirés sourient, fiers de leur coups.

Youssef : On va faire un échange. C'est le seul que j'accepterais. Pas de négociation. C'est deux là *montre sofiane et Bachir sur la photo* contre vous deux *montre Yemma et Baba du regard*

Fortsätt läs

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Kézia⚽️🇰🇲 ❌AUCUN PLAGIAT S'IL VOUS PLAIT❌ ?Écrivez vos propres Histoires ? Début : 10/04/2018 Fin : 20/02/2019 ©AYSHA__DYA Cover : IamNawell 💙