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Carys était chez elle. Elle repensait au fait que dès qu’elle cherchait avec qui Edward irait bien, qui était son âme-sœur, elle ne voyait personne puis, elle voyait elle au bout d’une certain, temps. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Elle ne devait pas se voir. Elle ne pouvait. Personne ne pouvait l’aimer, donc, elle ne pouvait pas être celle qui est destinée à finir sa vie avec Ed. Carys ne devait pas finir avec quelqu’un. Pour elle c’était totalement impossible. Pour l’amour, non. Carys se souvenait de beaucoup de chose dans sa vie. Elle savait donnée des explications pour beaucoup de choses, mais elle n’avait jamais pensée à ce que l’amour pouvait faire pour elle. Elle était comme une aide, une épaule sur laquelle l’amour se porte. Carys n’avait jamais pensée que l’amour puisse la remerciée pour ce qu’elle a fait. Carys se torturait la tête. Elle repensait sans cesse à Ed, sans savoir qu’elle avait un sourire béat sur les lèvres. Elle souriait bêtement, allongée sur son lit, avec un coussin qu’elle serrait contre sa poitrine. Elle ne pouvait pas niée qu’elle trouvait Edward beau, mais elle n’avait pas envie de se dire amoureuse. Elle ne sait pas les sensations que l’on ressent lorsqu’on est amoureux. Elle les sait, mais elle ne les a jamais ressenties. Carys savait que c’était sa mère qui avait choisie son prénom. Elle savait aussi les origines de son prénom. Mais ce qu’elle ne savait pas, c’était pourquoi sa génitrice l’avait appelée ainsi. Elle avait peut-être sentie qu’elle était une Cupidon moderne ? Ou même la réincarnation de Cupidon ? Mais est-ce que Cupidon à déjà existé à la base ? Une multitude de questions tournaient autour de Carys. Pendant ce temps, Edward était chez lui, à écrire tranquillement une nouvelle chanson, après c’être fait remonté les brettelles pour ne pas avoir été au studio, et ne de pas avoir répondu au téléphone ou même d’avoir prévenu. Il n’avait pas vraiment l’habitude de se faire remonté les brettelles. Il était souvent à l’avance au studio. La musique c’était comme toute sa vie. Il était toujours à l’heure pour la musique. Il ne perdait jamais une seconde pour jouer un morceau. Et là, il venait de perdre une après-midi de musique. Il composait la nouvelle chanson chez lui, qu’il proposerait le lendemain, pour ne pas perdre de temps. Il était en plein dans l’amour. Il ne savait pas pourquoi, mais c’était le sujet qui l’inspirait. Le visage de Carys lui revenait souvent en tête. Il ne savait pas les raisons qui trimaient derrière. Il savait que cette fille était spéciale, qu’elle n’était pas comme toutes les autres, qu’elle était différente, et qu’elle ne sera jamais comme les autres. Mais, il y a quelque chose qui l’attire chez cette fille. Même si elle est belle, il y a autre chose. Ce n’est pas le fait qu’elle soit bizarre, ou peut-être folle, il y avait quelque chose et Ed aimerait bien savoir ce que c’était, cette chose. Il faut dire qu’Edward fut bouleversé par le récit de Carys. L’une des seules choses qu’elle lui avait dites, il avait suffit de cela pour qu’il soit bouleversé. Elle jouait aux jeux vidéos, elle ne travaillait pas, elle vivait comme elle le pouvait, elle recevait de l’argent de son père, elle était tout le temps dehors, vivre à la rue ne la dérangerait pas, elle aime les papillons et les oiseaux, elle était une désespérée de l’amour pour les autres, elle aimait la nature, elle aimait l’été et le printemps mais pas l’automne et l’hiver. Carys est loin d’être la personne qu’il a rencontrée la plus normale. Carys n’a jamais été normale non plus. Toujours différente, toujours à l’écart, toujours aussi croyante en l’amour pour les autres. Carys n’a jamais eue de premier baiser. Ni de première fois. Ni même de petit ami. Ed s’en doutait, mais il ne voulait pas se l’avoué, parce qu’il devrait avouer qu’il ne comprendrait pas, puisqu’elle est belle et intelligente, qu’elle comme même drôle et aussi très attachante. Edward ne comprendre jamais rien non plus. Il sera toujours à l’écart par rapport à Carys. Elle était une fille de l’amour, une fille à la mémoire et au cœur battant au rythme de l’amour et des battements d’ailes des oiseaux et des papillons du monde. Carys n’était pas la preuve que n’importe quel amour était possible. Non. Elle était simplement la preuve que le vair amour existe partout, qu’il faut juste trouver la bonne personne, et souvent au bon moment. Carys n’était pas une folle malade mentale. Elle était ce que l’on pouvait dire sereine. Elle n’était juste pas comme tout le monde. Elle était loin d’être schizophrène. Carys souriait toujours aussi bêtement. Elle ne savait pas ce qui lui prenait à sourire comme ça. Elle ne savait pas ce qui pouvait si bien la rendre heureuse. Edward écrivait sa chanson. Les paroles et les mots venaient tout seul. Les rimes se faisaient petit à petit. La chanson prenait forme. Il se perdait en lui-même au fil de la chanson. Il ne faisait plus vraiment attention aux mots qu’il employait. Il pensait trop à Carys pour s’en rendre compte. Il était dans sa chanson, et on ne savait pas l’en faire sortir. On pourrait sonner à la porte, lui crié dans l’oreille, personne ni rien n’arriverait à le faire sortir de ces pensées, à le faire sortir de sa chanson. Il écrivait ce qu’il pensait, en ne se retenant pas. Il s’en foutait de ce qui pourrait bien apparaître dans la chanson. Tout ce qui comptait pour lui, était de trouvé les mots juste, pour exprimer ce qu’il ressentait. Il ne se souciait pas vraiment de ce que dirait son producteur. Il savait que ce monsieur, qu’il connaissait depuis des années, aimait tout ce qu’il faisait. Il savait que peu importe les mots qu’il mettrait dans la chanson, tant qu’elle signifie quelque chose d’important, comme là maintenant, aux yeux d’Ed, il n’allait en rien lui refusé de la produire et de l’enregistré. Edward n’avait pas vraiment besoin qu’on l’épaule pour écrire une chanson. Même, s’il avait quitté l’école à 16 ans, il avait déjà un très bon vocabulaire. Personne pouvait lui retiré son cerveau et son inspiration, et encore moins sa voix. Au bout d’un petit temps, des heures avaient défilées. Carys était encore sur son lit à pensée et à réfléchir, à essayée de comprendre des choses qu’elle ne devrait même pas essayée de comprendre. Ed était quand à lui, entrain de chanté sa chanson. L avait la chanson en entier, et aussi les notes pour accordé avec. Il la chantait avec tout son cœur. Ce qui faisait la différence entre les paroles et ce que la chanson donnait, c’était bien le cœur qu’on y mettait. Edward mettait toujours tout son cœur dans ces chansons. Il se libérait, se lassait allé. Il n’avait pas besoin qu’on le retienne lorsqu’il allait à fond. Il était dedans, on ne pouvait pas l’en sortir. C’était toujours comme cela avec lui. Quand il était dans quelque chose, on ne saura jamais l’en faire sortir. Depuis tout petit, c’était comme ça, et Ed n’allait pas changé. Il avait déjà bien changé depuis qu’il était petit. Il avait mûrit, et grandit en taille. Il était la personne à qui il fallait se confié si on avait besoin d’aide. Il avait toujours les bons mots, comme les mamans. Il n’était pourtant pas encore père. Il ne le sera pas encore maintenant. Depuis sa dernière petite amie, qui l’avait trompée, il n’en a plus jamais eue depuis lors. Il n’était pas déçu par l’amour. Il était déçu de cette fille. Il n’en voulait pas à celui avec qui elle l’avait trompée. Il en voulait à elle, et rien qu’à elle. Il s’en voulait aussi à lui, pour avoir été stupide de croire qu’elle n’allait pas le trompé. Il n’avait pas besoin d’amour pour le moment. Il voulait se concentré sur sa musique et su lui-même, mais Carys était entré dans sa vie. Il ne sait pas ce qui se passera dans le futur. Alors, cette chanson exprime tout ce qu’il a sur le cœur. Il parle d’un sujet dont beaucoup de célébrités parlent dans leurs chansons, l’amour. La différence qu’il y a entre lui et certaines autres célébrités, c’est que lui, il a vraiment un message à faire passé. Edward passait toujours un message dans ces chansons. Il prenait peut-être beaucoup plus longtemps que certaines stars pour produire un album en entier. Mais son album, il l’avait fait avec son cœur, et avait fait entièrement toutes les chansons, presque tout seul et avait aussi attendu pour être sûr que tout soit parfait. Il faisait patienter ses fans, pour ne pas les décevoir. Il n’avait pas vraiment l’habitude d’être hué par un public. On l’avait vite apprécié. Il aimait la compagnie de Carys. Il en était sûr. Il avait pensé à elle durant toute la chanson, et cela fit qu’il en écrit une sur l’amour, la folie, la solitude, les secrets, la distance, ma méfiance, le futur et les peurs de l’avenir. Ed était encore un peu un enfant Peter Pan. Il avait peur de grandir, parce qu’il avait peur des conséquences que les actes du présent auront sur le futur. Il n’était pas le seul à avoir cette peur, Carys l’avait, tout le temps. Carys était noyée dans cette peur du futur. Et dès qu’on est entré dans cette peur. On ne sait plus s’en sortir, on ne voit même plus l’entrée.

Mémoire volatile||e.sOù les histoires vivent. Découvrez maintenant