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Carys regardait les étoiles. Un amour ne pouvait pas être trahit. Elle méditait sur la question. Le froid d’une nuit d’automne ne la dérangeait pas tant que cela. Elle commençait à appréciée cette saison. Elle méditait sur beaucoup de choses par rapport à l’amour. Elle ne plantait pas un poignard dans l’amour, elle ne se planterait comme même pas un poignard dans son propre cœur, Carys n’est pas folle à ce point-là, mais elle se posait des questions sur l’amour et sur elle-même, sur la vie aussi. Carys avait l’impression que les étoiles lui répondaient. Ce n’était pas les étoiles, mais sa mère, qui de là-haut, répondait à toutes ces questions. Les mots de sa mère lui parvenaient à l’esprit, comme si c’était les siens. Les mots des mamans. Carys ne les a jamais connue. Mais ces mots-là, sont toujours les meilleurs, pour consolés mais aussi pour se posés les bonnes questions, et surtout trouvés des réponses aux questions que l’on se pose et dont on n’avait pas encore de réponse. Les mamans n’ont pas non plus réponses à tout, mais elles ont toujours les bons mots, les meilleurs et surtout, au bon moment. C’est comme si c’était génétique. Dès que l’on est mère, on est une déesse des mots, on saura quoi dire à quel moment. Carys n’avait aucun souvenirs de sa mère. Elle était morte, et c’était comme si elle n’avait jamais existée. Carys trouvait cela totalement injuste. Elle ne voulait pas qu’on oublie sa mère. Elle en a eue la preuve auprès des étrangers, des personnes qui la côtoyaient, mais personne ne l’avait jamais aidée sur le chemin pour retrouvée qui était sa mère. Tous les échos qu’elle entendait étaient des avis différents. Elle ne savait plus qu’y croire et qui ne pas croire. Carys se serait bien passée de certains commentaires d’autrui. Ils n’avaient pas dut bien connaître qui était réellement la mère de Carys. Elle était une bonne personne, une très gentille femme, voir même un peu trop gentille. Elle était aussi très méfiante. Beaucoup trop naïve. Un peu trop susceptible. Pas assez vantarde. Un peu trop timide. Un peu trop jolie. Un peu trop mince. Un peu trop grande. Un peu trop souriante. Un peu trop réservée. Un peu trop renfermée. Pas assez accessible. Pas assez accueillante. Carys n’aimait pas les messes-basses. Elle jugeait cela inutile, et que si on avait quelque chose à dire sur n’importe qui, elle devait le dire en face, cela ne servait à rien de se cacher. Pourtant, c’est ce que faisait Carys, se cacher. Mais elle ne se cachait pas derrière un rideau de mensonges. Elle se cachait derrière un rideau d’ombre et de secret, d’amour et de manque. Carys était allongée sur les feuilles mortes. À son tour, elle les écrasait. Les feuilles étaient mortes, elles n’avaient donc plus rien à cachée, comme aimerait être Carys. Elle ne veut pas être morte, mais juste n’avoir plus rien à cachée. Comme tout être humain, elle a des secrets, des choses qu’elle ne dira jamais à quiconque. Malgré le mince sourire qui restait scotché sur son cœur, elle avait comme même mal. C’était une douleur silencieuse, que même Carys ne ressentait pas. Le manque d’amour. Elle soignait ce manque, par le fait qu’elle persistait à croire que personne ne pouvait l’aimée. Romantique à souhaite, amoureuse désespérée de l’amour et de tout ce qu’elle apporte sur son chemin, elle n’avait plus qu’à comptée les secondes qui lui restaient sur terre, à apportée à toutes ses personnes, qui ne le méritaient pas tous pour autant, l’amour. Elle apportait tout cela à tout le monde, en ne s’attachant à personne, en ne regardant personne avec la vérité en face. En un regard, elle pouvait vous faire montrer votre amour à celle ou celui que vous aimez. Elle avait en elle quelque chose, que beaucoup pouvait redouter. C’était comme si elle cachait un arc dans ces yeux, et qu’elle tirait en un regard, une flèche invisible. Carys ne s’étonnait pas, que personne ne voulait la regardée, personne ne voulait à avoir à connaître l’amour, pour ne pas souffrir. Pourtant, ce n’est pas l’amour qui fait mal, ce sont les autres, ces individus qui ne savent pas comment aimés, qui ne savent rien faire à faire du mal autour d’eux. Carys voulait soignée toutes les plaies que tout le monde croit due à l’amour, en répétant bien que ce n’est pas l’amour le responsable de tout cela, mais il faudrait qu’elle aille partout dans le monde, tout le temps, être à plusieurs endroits différents. Carys ne sait pas se divisée en plusieurs parties. Elle est une seule et même personne et le restera. Elle ne sait pas non plus aidée tout le monde. L’amour est comme un travail à temps plein, avec lequel tu n’as pas le droit au sommeil. Elle n’est pas payée pour tout ce qu’elle fait. Si elle devait l’être, Carys serait déjà riche, parce qu’elle fait un excellent travail, il n’y a pas de doute pour cela. Sa mère n’était pas comme elle. Elle n’avait pas ce don pour l’amour, au contraire, elle a souvent été déçue par l’amour, même si cela en valait vraiment la peine, elle s’en était privée jusqu’au père de Carys. Elle en était follement amoureuse, éperdument même, tellement qu’elle était devenue aveugle d’après ces parents. Carys ne connut jamais ses grands-parents. Ceux de sa mère ne voulaient pas entendre parlée d’elle, et ceux de son père sont morts. Carys accusait, à tord certes, les parents de son père de ne pas avoir assez montrés ce que c’était l’amour à leur fils pour qu’il le montre ensuite à sa fille. Carys avait comme même sue trouvée ce que c’était vraiment l’amour, sans avoir besoin l’aide de quelqu’un. Elle avait réussie, toute seule. Encore une fois, elle avait une longueur d’avance sur tout le monde. En un regard, elle savait trouvée l’élu de ton cœur, sans même que tu ne le connaisses encore. Carys ne songeait pas à ce dont elle était capable de faire. Elle n’y avait jamais vraiment pensée. C’était un don, que l’on ne voyait nulle part, que personne n’en avait réellement conscience. Elle était éperdument amoureuse, de l’amour, mais de rien d’autre. De l’amour pour les autres, rectification, pour elle-même, elle en oubliait l’idée instantanément. Carys regardait les étoiles. Elle avait entendue dire, que celle qui brillait le plus, était celle qui représentait quelqu’un qui nous était chère. Carys n’avait jamais pensée à sa mère. Pas une seule fois. Elle n’avait jamais non plus regardée les étoiles comme elle le faisait. Jamais elle n’y avait accordée de l’importance, à ses petites lumières du ciel. Carys n’avait jamais vue le visage de sa mère. Elle n’avait jamais vue une seule photo d’elle, une seule note qu’elle avait pue rédigée. Carys ne savait rien sur sa mère, à part ce que disait les autres. Mais ce que disaient les autres ne lui suffisaient pas, et de toute façon, elle n’y croyait pas un traitre mot. Une personne comme sa mère ne pouvait pas existée, trop parfaite, bien trop parfaite surtout pour finir avec un homme comme est le père de Carys. Pourtant, elle en était tombée amoureuse de cet homme, peut-être le bon amour. Carys peignait dans le ciel, à la simple pensée le visage d’une mère souriante. Carys avait remarquée, qu’elle ne ressemblait pas à son père, au niveau du visage, et avait tout ce que lui avait déjà dit toutes les personnes qui avaient côtoyés sa mère, elle lui ressemblait comme deux gouttes d’eau. Pour une fois, il n’avait pas tord et Carys le savait. Il n’avait jamais eu tord, en ce qui concerne son apparence. Si Carys et sa mère n’avaient pas été mère et fille, qu’elles avaient vécues à la même époque, on aurait pu dire qu’elles seraient jumelles. Carys était fière d’avoir tenue d’énormément de chose de sa maman, et presque rien de son papa. Elle n’avait jamais eue besoin de l’espérée et c’était ce qui était arrivée. Les astres avaient continués à tournés, les secondes a défilés, les minutes à passés, la terre a tournée, le cœur de Carys a battre, le cœur du père de Carys a battre, l’amour a vivre, les habitants du monde entier à vivre et aller au travail ou en revenir, les adolescents a faire des bêtises. Toute la terre avait continuée de fonctionnée, alors que la mère de Carys venait de mourir. C’était comme cela pour chaque personnes qui meurent, et pourtant Carys aurait tant aimée que tout s’arrête, en honneur à sa mère. Mais ce ne fut pas le cas, et ce ne sera jamais le cas. Sa mère était morte, c’était du passé, elle ne reviendra jamais à la vie, alors on n’avait plus qu’à l’oubliée. Carys était d’accord pour une chose. Le jour où elle est née et où sa mère est morte, il pleuvait. Il avait bien que le temps, qui était d’accord, que c’était une très grosse perte, qu’il n’aurait fallut qu’elle parte, qu’elle vive éternellement, mais tout le monde doit mourir un jour, la mort est comme déjà tracée et écrite dès notre naissance. La mort de la mère de Carys devait se passée comme cela, alors elle se passa comme cela et personne n’aurait pu rien y faire, ni même le vent, la pluie, un humain ou un animal. C’était comme ça. Point.

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